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Gagnez du temps en toute sécurité grâce à la signature électronique
16Fév

Gagnez du temps en toute sécurité grâce à la signature électronique

Nous sommes nombreux à nous équiper d’objets connectés. À la maison comme en entreprise, la dématérialisation est devenue une nouvelle manière de vivre. De même, avec l’arrivée de la signature électronique, la gestion administrative devient plus facile et plus rapide. Si certains doutent encore de son efficacité et de sa sécurité, les plus grandes entreprises françaises l’ont déjà adoptée depuis longtemps. Découvrez 3 raisons de passer à la signature électronique dès maintenant. 1/ Plus d’efficacité avec la signature électronique Tous les jours, vous avez à gérer et trier un grand nombre de documents. Entre vos différentes factures, vos devis et tous les contrats, vous avez l’embarras du choix dans les documents qui peuvent faire l’objet d’une signature. La gestion de tous ces documents est fastidieuse et vous perdez beaucoup de temps et d’énergie à vous déplacer et envoyer des courriers qui comportent votre signature pour prouver leur validité. De plus, vous allez réaliser une réelle économie en envoyant vos documents par e-mail compte tenu du prix des envois postaux qui ne cesse d’augmenter. Alors, plutôt que de vous atteler à la signature répétitive de documents en version papier, vous pouvez passer à la signature électronique qui vous permettra en un clic de signer vos documents. En adoptant la dématérialisation, vous gagnez beaucoup de temps au quotidien pour pouvoir réaliser des tâches à valeur ajoutée. Finalement, vous vous évitez ainsi qu’à vos collaborateurs des déplacements inutles en agence ou dans vos locaux pour contractualiser vos transactions commerciales par exemple. Vous n’avez également plus besoin d’attendre plusieurs jours que certains collaborateurs se déplacent pour signer leurs documents, sans compter que vous évitez d’imprimer, trier et stocker les contrats, les devis et les factures. Vous économisez une place considérable dans l’archivage. Besoin de signer des documents bancaires ? C’est pareil ! Grâce à la signature électronique, vous pouvez échanger l’ensemble de vos documents avec votre établissement bancaire en quelques clics. La signature électronique permet un gain de temps mais également de productivité considérable. 2/ Transmettre une image pro et moderne de votre entreprise avec la signature électronique Dans le milieu professionnel, la signature électronique est devenue quasi indispensable. La majorité de nos échanges commerciaux se passent désormais en ligne. Et pour fluidifier les transactions, il est important d’adopter la signature digitale qui est révélatrice du dynamisme de votre entreprise. La signature numérique vous permet de gagner du temps lorsque vous éditez de nouveaux contrats. Elle facilite également la consultation de tout document sur n’importe quel appareil électronique. Quelques clics suffisent pour retrouver des documents alors que l’archivage papier donne davantage de contraintes pour rechercher un document qui date parfois des années précédentes. Ainsi vous transmettez une image professionnelle, moderne et efficace de votre entreprise. Vous concluez bien plus rapidement des transactions et évitez de perdre du temps avec des documents au format papier. L’expérience utilisateur de vos clients et vos fournisseurs est alors grandement améliorée lorsque vous utilisez la signature numérique. Les interactions sont fluides, rapides et peuvent se réaliser de n’importe quel lieu et à n’importe quel moment. Que vous soyez au bureau, à votre domicile ou en vacances, vous n’avez plus à attendre pour conclure un accord. Depuis votre mobile personnel, vous consultez et validez à tout moment un document, même sur le pas de la porte ! 3/ Dématérialisation et sécurité, c’est possible ! La signature électronique est légalement aussi bien encadrée que la signature manuscrite classique. Ainsi, vous pouvez signer tous vos documents en toute sécurité directement en ligne, depuis votre ordinateur ou votre mobile. Grâce à la signature numérique, vous signez puis vous authentifiez les signataires rapidement. Vos documents sont ainsi classés automatiquement, et le cryptage des données vous garantit la sécurité de vos transactions et engagements. La signature électronique est également appréciée car elle permet d’éviter les erreurs. Si vous contrôlez manuellement vos documents, il peut arriver d’oublier quelque chose, ou d’omettre un détail. Avec la dématérialisation de vos processus administratifs, vous n’avez plus à vous en soucier. C’est votre logiciel de signature électronique qui se charge de contrôler la conformité des pièces numériques ainsi que la protection et l’authenticité des différentes signatures électroniques. Source : Dynamique Mag

Le budget de trésorerie, essentiel en temps de crise
08Fév

Le budget de trésorerie, essentiel en temps de crise

Le budget de trésorerie permet de prévoir les entrées et les sorties d’argent sur une période donnée et d’anticiper les éventuelles difficultés financières que peut rencontrer l’entreprise. A ce titre, il est très apprécié des partenaires bancaires de l’entreprise. Il peut être extrapolé à partir du budget d’exploitation, s’il existe, en paramétrant les principaux décalages de trésorerie ou directement construit à partir d’une feuille blanche. POURQUOI FAIRE UN BUDGET DE TRÉSORERIE ? Le budget de trésorerie présente les avantages suivants : Identifier les causes des difficultés de trésorerie (augmentation du BFR, retards de paiement ou défaillances de clients) ; Anticiper les besoins de financement moyen et long terme et les solutions correctives à mettre en œuvre ; Mieux communiquer avec les différents partenaires financiers de l’entreprise ; Réconcilier la trésorerie long terme avec la trésorerie quotidienne opérationnelle. COMMENT CONSTRUIRE SON BUDGET DE TRESORERIE ? Au même titre que le budget d’exploitation, le budget de trésorerie distingue deux flux principaux : les flux entrants et les flux sortants. Dans un budget de trésorerie, il convient de transformer les recettes et dépenses en flux d’encaissement, ou de décaissement, en tenant compte des crédits clients et fournisseurs, de l’impact de la TVA, des financements et des placements. Les encaissements Ils représentent les sommes d’argent que l’entreprise est supposée encaisser sur une période prévisionnelle. A titre d’exemple : Le règlement des ventes clients ; Les financements externes ou internes ; Les éventuels produits financiers ou remboursements de crédit de TVA. Les décaissements Ce sont les sommes d’argent que l’entreprise est supposée décaisser sur la même période. A titre d’exemple : Les règlements des achats fournisseurs ; Le paiement des salaires et des charges sociales ; Les investissements ; Le règlement des impôts et des taxes ; Le remboursement d’emprunts ou le versement des dividendes. Le budget de trésorerie, à la différence du budget d’exploitation – purement commercial – est un budget commercial ET financier dont les valeurs sont TTC. Aussi, il conviendra de positionner ses encaissements et décaissements TTC dans sa feuille budgétaire pour calculer son solde de trésorerie en fonction du pas choisi : décade, mois trimestre sur la période choisie (1 année ou plus) En résumé, le budget de trésorerie offre de la visibilité sur sa trésorerie moyen et long terme, et en temps de crise, il devient indispensable pour piloter la trésorerie de son entreprise. Sa construction et son suivi peuvent paraître un peu rébarbatifs de prime abord. Pourtant, il existe des progiciels connectés aux principaux produits de trésorerie. Ces logiciels faciles à implémenter, facilitent grandement la vie du trésorier – ou du comptable, notamment pour élaborer son budget de trésorerie. Ils sont également utiles pour travailler sur plusieurs hypothèses budgétaires : hautes, basses, en fonction des prévisions de ventes ou de l’évolution du coût des matières premières, par exemple. Tout ceci, à condition de disposer de budget d’exploitation qui contient ces données… Découvrez aussi Mata IO

Le rapprochement bancaire en 2021
01Fév

Le rapprochement bancaire en 2021

Le rapprochement bancaire est un contrôle réalisé par le comptable, qui consiste à vérifier la concordance du compte banque en comptabilité et de l’extrait de compte bancaire. La technique de l’état de rapprochement permet de justifier les différences de soldes. Quels sont les enjeux du rapprochement bancaire ? Le principal intérêt du rapprochement bancaire : vérifier que tous les encaissements saisis en comptabilité ont été crédités sur votre compte, et que tous les décaissements saisis ont bien été débités. La confrontation du compte comptable et de l’extrait de compte permet de détecter des anomalies potentielles : Des oublis ou des erreurs d’enregistrement, Des frais bancaires, Le décalage de certaines opérations, Ou bien même des tentatives de fraude. Le rapprochement bancaire consiste donc à pointer les opérations enregistrées dans la société et à la banque afin de faire apparaître des écritures isolées, c’est-à-dire enregistrées uniquement à la banque ou dans les comptes de l’entreprise. Quand on sait que les factures peuvent faire l’objet d’un règlement immédiat ou différé, que les opérations comptables peuvent apparaître sur l’extrait de compte de la période suivante, le rapprochement bancaire prend toute son importance. Comment réaliser un rapprochement bancaire en 2021 : On commence par vérifier les soldes de départ afin de les équilibrer (solde du compte Banque de la comptabilité de l’entreprise et solde du relevé bancaire) ; Il faut ensuite pointer toutes les opérations enregistrées en comptabilité et à la banque. Un point d’attention : les colonnes débit et crédit du compte Banque sont inversées par rapport aux colonnes du relevé de compte bancaire. Enfin, on termine par la réalisation de l’état de rapprochement bancaire. Celui-ci relève l’ensemble des opérations non rapprochées. Comment automatiser son rapprochement bancaire en 2021 : On peut réaliser son rapprochement bancaire à la main ou avec Excel, mais cette tâche peut vite devenir fastidieuse et chronophage, surtout si vous avez beaucoup d’opérations. Pour automatiser votre rapprochement bancaire, il faut connecter vos comptes bancaires à votre logiciel de comptabilité ou ERP. Le plus simple consiste à choisir un progiciel intégré qui embarque la communication bancaire et le rapprochement comme Secure e-Link. Une fois vos comptes et vos banques connectés, le rapprochement du relevé de compte avec votre compte comptable se fait automatiquement. En conclusion : Votre rapprochement bancaire peut se faire au fil de l’eau, tous les jours, ou bien toutes les semaines ou mois, en fonction de votre organisation. Mais, il faut bien se souvenir que même si le processus est automatisé, plus sa fréquence est importante, et plus vite vous détecterez les dysfonctionnements comptables. Car, la finalité du rapprochement bancaire reste bel et bien de s’assurer que la comptabilité de l’entreprise reflète fidèlement sa situation bancaire en temps réel. Découvrez aussi Mata IO

Fin du SMS pour sécuriser un achat en ligne : la grande majorité des Français n’est pas au courant
20Jan

Fin du SMS pour sécuriser un achat en ligne : la grande majorité des Français n’est pas au courant

Le renforcement de l’authentification des internautes voulu par la Commission européenne pour améliorer la sécurité des paiements en ligne est peu connu des Français. Seulement 38% des Français déclarent avoir entendu parler de la fin de l’envoi par SMS d’un code à ressaisir sur la page d’achat et 30% de l’arrivée de la double authentification pour sécuriser leurs achats sur internet. C’est ce que montre l’étude du cabinet Enov, réalisée via internet du 14 au 21 octobre 2020, auprès d’un échantillon représentatif des acheteurs en ligne français, composé de 1 016 personnes, âgées de 18 à 70 ans et plus. Une très faible connaissance des nouveaux dispositifs de sécurité Un principe de double authentification a été mis en place, mais seulement 30% des personnes interrogées en ont entendu parler et seulement 1/3 de ces 30% eux déclare savoir sur quels critères elle repose. Cette notoriété est plus importante chez les jeunes et chez ceux qui déclarent avoir déjà subi une fraude en ligne. Pour leurs paiements, 38% des Français sont passés à l’authentification forte. Ils sont 24% à avoir utilisé leur application bancaire, 12% un double code et 7% à avoir utilisé un dispositif physique tel qu’un générateur de code, une clé USB ou un lecteur de QR Code à brancher sur l’ordinateur. Ils se montrent rassurés par ces changements. Le profil-type de l’utilisateur est un homme de moins de 35 ans, CSP+, ayant souvent déjà subi une fraude. 1 Français sur 5 déjà touché par une fraude en ligne A noter que la proposition d’être enregistré sur ses sites e-commerce préférés afin de ne plus avoir à ressaisir ses coordonnées bancaires ne suscite guère d’enthousiasme : 29% des acheteurs y sont favorables sans condition contre 50% qui y sont défavorables. Enfin, la proportion de personnes victimes d’une fraude sur internet paraît extrêmement élevée, puisqu’elle atteint 22% des répondants. Source : La Revue du digital

Comment exercer un contrôle de tiers conforme et sur ?
18Jan

Comment exercer un contrôle de tiers conforme et sur ?

Pour les entreprises, les enjeux sont forts pour mettre en place un contrôle de tiers conforme et sûr. En un an, ce sont 312 poursuites & 253 condamnations qui ont été prononcées en France pour des faits de corruption, de trafic d’influence, de concussion, de prise illégale d’intérêt, de détournement de fonds publics ou de favoritisme. Le contrôle du tiers est une clé de sécurité pour tout transfert de fonds. Que ce soit d’un point de vue corruption (loi « Sapin 2 » du 9 décembre 2016), devoir de vigilance (loi du 27 mars 2017) ou bien RGPD (règlement européen en vigueur à partir du 25 mai 2018), ces règlementations imposent avec plus ou moins de fermeté des diligences à mettre en œuvre par les entreprises vis-à-vis de ses tiers, et notamment ses fournisseurs. Contrôle du tiers – évaluer la conformité des tiers En préambule, il est essentiel de relever que TOUS les tiers ont vocation à être évalués. Le périmètre des tiers à évaluer en priorité est défini sur le fondement de la cartographie des risques de corruption préalablement effectuée. Evaluer la conformité et la sureté d’un tiers, c’est de collecter les informations et les documents sur un tiers afin d’identifier et d’apprécier les risques de corruption : Avant que la relation ne soit formellement engagée ou en cas d’évènement impactant le niveau de risque du tiers ; Périodiquement, tout au long de la relation. L’objectif est bien sûr de permettre la relation commerciale avec ce tiers – conforme et sûr – de la poursuivre ou d’y mettre fin. Pour chaque tiers, le niveau de vigilance peut varier. Les mesures de prévention et de détection de la corruption mises en œuvre sont optimisées selon la famille du tiers. Pour ce faire, il faut recenser l’ensemble des tiers classés selon leur nature, leur statut, leur taille… et mettre en place une base de données informatisée, sécurisée et à jour, recensant les tiers pour faciliter la gestion. Contrôle du tiers – évaluer l’intégrité des tiers Pour établir si les tiers sont conformes et sûrs, il faut définir les 3 composants incontournables : Qui participe à l’évaluation ? Au niveau opérationnel, il faut un responsable des évaluations qui collecte les informations et émet une première appréciation. Ensuite, un responsable de conformité accompagne le niveau opérationnel en apportant son expertise dans les cas les plus risqués. Le dernier échelon est celui de l’instance dirigeante qui décide des suites à donner aux cas les plus risqués. Quels sont les informations et documents utiles ? En interne, il peut déjà exister des listes comme des annexes de pays à risques ou interdits selon l’organisation. Mais il faut également s’appuyer sur l’évaluation par outil logiciel, décisions de justice publiées… et même au besoin des bases de données payantes. Il est recommandé de recueillir des informations afin d’approfondir le contrôle et vérifier quelles sont les catégories d’acteurs et les bénéficiaires effectifs. Quel est le contenu des évaluations des tiers ? La liste est non exhaustive mais elle doit en priorité permettre de renseigner : l’identité du tiers, le risque pays, l’expertise, la conformité, puis permettre de définir la nature et l’objet de la relation. Il faut aussi regarder s’il y a des interactions avec agents publics, PPE, quelles sont les modalités de rémunération, l’actionnariat, le secteur d’activité. Et enfin, il faut définir le degré de sureté : intégrité et réputation, coopération, s’il y a d’autres intervenants et quels sont les aspects financiers en jeu ainsi que les modalités et flux de paiements. La conformité et la sureté de vos tiers passent par ces étapes incontournables, facilitées par les fournisseurs de solutions dont les éditeurs de logiciels font partie. Ils permettent d’implémenter l’outil d’évaluation servant de première sélection pour l’analyse par l’organisation. Les indicateurs de sureté et de conformité qui définissent la nature du risque (scoring) sont définis en relation avec l’organisation. Le but étant de mettre en place un outil adapté au métier et à la situation commerciale de l’organisme concerné, qui permette le suivi dans la durée, de chaque tiers en relation avec l’entreprise.   Découvrez aussi Mata Conseil Source

L’arnaque au faux RIB
12Jan

L’arnaque au faux RIB

L’arnaque au faux RIB – mise en situation Une société asiatique se faisant passer pour un fournisseur contacte une entreprise et l’informe par courriel de son changement de domiciliation bancaire. Une facture et un relevé d’identité bancaire mentionnant les nouvelles coordonnées y sont joints. Confiante l’entreprise victime effectue immédiatement 2 virements pour un montant supérieur à 20000€. Les dirigeants ne s’aperçoivent de l’escroquerie que quelques temps après. Lors des vérifications, ils constatent que l’adresse mail utilisée diffère légèrement de celle habituellement employée par le fournisseur. L’arnaque au faux RIB, si simple et cruellement efficace L’escroquerie au « faux RIB » ou plus exactement au « changement de domiciliation bancaire » connaît un certain essor. Variante de l’escroquerie dite « au faux président », cette arnaque est la plus simple à réaliser ! Elle ne nécessite aucune connaissance en informatique et peu de recherches d’informations par le biais de la relation sociale. Pour y parvenir, il suffit de créer de fausses adresses mail, de fausses factures à entête de fournisseurs réels et d’y joindre un RIB. Le tour est joué. Comment se protéger contre l’arnaque au faux RIB ? En amont il faut établir des procédures écrites strictes concernant les virements, mais il est aussi recommandé de contrôler et limiter la diffusion d’informations concernant l’entreprise. A ce titre, il est préférable d’éviter de diffuser l’organigramme précis et nominatif de la société pour ne pas faciliter le travail des escrocs. Les réseaux sociaux sont aussi à protéger en veillant à ne pas révéler avec précision les fonctions de dirigeants. Un exercice de finesse à un époque où la puissance de la relation client se construit aussi par ces canaux. De même, il ne faut pas communiquer d’informations sensibles (factures, baux, etc.) par téléphone, fax ou mail sans avoir formellement identifié le demandeur. Ensuite, la pédagogie est le levier à activer régulièrement : sensibiliser les salariés et ce quel que soit le niveau de responsabilité exercée. Il est possible d’envisager de les responsabiliser en adoptant une charte d’utilisation des moyens informatiques, d’internet et des réseaux sociaux. L’arnaque aux faux RIB, comment traiter la réception d’e-mails ? La discipline est une clé de sécurité non négligeable. Il faut donc s’y plier ! Il ne faut jamais se contenter des seules informations affichées. Ne pas répondre à un mail en utilisant la fonction « répondre » de la messagerie. La victime risquerait alors de ne pas s’apercevoir qu’elle a affaire à une fausse adresse. La vigilance soit être accrue en cas de demande de modification du RIB (domiciliation bancaire). Que faire en cas de constat d’arnaque au faux RIB ? Il est conseillé de contacter immédiatement par téléphone le véritable fournisseur en utilisant de préférence un téléphone portable, le serveur téléphonique pourrait être piraté par l’escroc en vue de rediriger les contres appels de sécurité. La mise en place d’une veille régulière permettra d’anticiper et de s’adapter aux nouvelles menaces. Tous nos conseils et nos solutions sont au BOUT DU FIL ! Découvrez aussi Mata Io

Les cybercriminels ont profité de la pandémie de coronavirus
07Déc

Les cybercriminels ont profité de la pandémie de coronavirus

Les cybercriminels ont profité de la pandémie de coronavirus0 La pandémie de coronavirus a servi d’appât pour un grand nombre de cyberattaques au premier semestre. Globalement, le nombre d’attaques dues aux rançongiciels a de nouveau augmenté. Les cybercriminels exploitent régulièrement pour leurs attaques les grands événements bénéficiant d’une importante couverture médiatique, comme la pandémie de coronavirus, relève jeudi la Centrale d’enregistrement et d’analyse pour la sûreté de l’information (MELANI) dans son rapport semestriel. Un virus inédit, dont on ne sait pas grand-chose et qui peut infecter n’importe qui, est une aubaine pour de telles attaques, qui tirent parti du sentiment d’incertitude, des craintes ou de la curiosité. Offres mensongères La pénurie initiale de masques ou de désinfectant a conduit les agresseurs à diffuser des offres mensongères en la matière afin d’attirer l’attention. Le développement et le lancement de vaccins sont également susceptibles d’être utilisés par les criminels comme sujet d’attaque, prévient MELANI. Tous les acteurs impliqués dans la recherche et le développement en lien avec la pandémie doivent par ailleurs s’attendre à des attaques d’espionnage d’origines diverses. Déjà avant la crise du coronavirus, les hôpitaux figuraient parmi les cibles des cybercriminels. Dans son rapport, MELANI souligne également les risques du télétravail. L’utilisation d’infrastructures informatiques privées, en particulier les ordinateurs privés, augmente les possibilités de cyberattaques. Plus de 5000 signalements Toutes les cyberattaques ne sont cependant pas liées au coronavirus. Au premier semestre, le Centre national pour la cybersécurité (NCSC) a enregistré au total 5152 signalements. Les tentatives d’escroquerie représentaient, avec 2938 annonces, plus de la moitié des incidents. Quelque 825 cas de courriels de fraude à la commission figuraient dans cette catégorie. Par ailleurs, 270 cas concernaient un abonnement abusif lié à un faux paquet. L’arnaque repose sur principe du piège à l’abonnement. Des offres prétendument gratuites se transforment, quelques jours plus tard, en abonnements payants. L’information figure à dessein en petits caractères. Les variantes mises en circulation durant l’été invitaient à s’acquitter d’une taxe modique afin de recevoir un prétendu paquet. Or, là aussi, la victime contractait un abonnement à son insu. Il lui fallait indiquer les coordonnées de sa carte de crédit ou transmettre un code à un numéro court. Les escrocs se sont spécialisés dans cette nouvelle variante durant la crise du coronavirus. Beaucoup de personnes avaient en effet passé des commandes en ligne et attendaient un paquet. Attaques par rançongiciels Des incidents liés à des maliciels ont été rapportés à 232 reprises au premier semestre. En particulier, 42 cas impliquaient des rançongiciels, dont le nombre d’attaques a de nouveau augmenté. Les agresseurs chiffrent les données et réclament une rançon en échange de leur déchiffrement. Jusqu’à présent, les rançongiciels avaient épargné les infrastructures informatiques de leurs victimes et n’avaient causé que des dégâts collatéraux aux systèmes de contrôle. Un rançongiciel observé au premier semestre a toutefois été spécialement conçu pour s’attaquer au pilotage des processus des systèmes de contrôle industriels. ‘De telles attaques peuvent avoir des conséquences désastreuses pour les entreprises et la population’, relève le rapport. Extorsion Des courriels d’extorsion ont également été envoyés à grande échelle. Il s’agissait principalement, dans 578 cas, de tentatives de sextorsion. Le pirate prétend s’être introduit dans l’ordinateur de la victime et avoir eu accès à sa webcam, qui aurait réalisé des photos compromettantes. Ce n’est généralement que du bluff, précise le rapport de MELANI. L’arnaque au nom de domaine a connu un regain de popularité au premier semestre, avec 63 annonces. Concrètement, un prétendu administrateur de noms de domaine communique au propriétaire d’un site du domaine ‘.ch’ qu’une autre société s’intéresse au même nom, mais avec l’extension ‘.com’. Le propriétaire du site peut alors l’en empêcher en achetant ledit nom de domaine ‘.com’, à un tarif souvent prohibitif. Enfin, dans 94 cas, des entreprises ont signalé une arnaque au président (CEO fraud). Celle-ci consiste à contacter la comptabilité ou le service financier d’une société, au nom du chef de l’entreprise, pour lui demander de procéder en son nom à un paiement urgent. Source : RTN

E-MERCURIUM 100 % DIGITAL
24Nov

E-MERCURIUM 100 % DIGITAL

A l’occasion du E-Mercurium 2020 de notre partenaire MERCURIA, nous aurons le plaisir de vous faire découvrir notre solution de sécurisation des paiements : Pour assister à notre web présentation, qui aura lieu le mardi 8 décembre 2020 à 15h00, inscrivez-vous au parcours finance, sur le site de notre partenaire :

Trésorerie des entreprises : les financements par affacturage sont accélérés
09Nov

Trésorerie des entreprises : les financements par affacturage sont accélérés

Grâce à un dispositif d’affacturage renforcé, les entreprises vont pouvoir obtenir le paiement de leurs factures clients plus rapidement. L’affacturage (ou factoring) consiste pour une entreprise à transférer la gestion de ses créances clients (autrement dit à transmettre ses factures) à une société spécialisée, appelé factor (ou affactureur) – qui est souvent un établissement de crédit –, qui se charge de procéder à leur recouvrement (au risque de devoir supporter l’éventuelle insolvabilité de ces clients) et qui garantit leur paiement à l’entreprise. Intérêt de l’opération : l’entreprise est payée de manière anticipée pour les factures qu’elle a cédées à la société d’affacturage. Pour soutenir la trésorerie des entreprises, mise à mal pour beaucoup d’entre elles et même parfois exsangue pour certaines en raison de la crise économique liée au Covid-19, les pouvoirs publics viennent de mettre en place un dispositif d’affacturage accéléré. Un nouveau dispositif qui, grâce à la garantie de l’État apportée à ces financements aux sociétés d’affacturage, permettra aux entreprises d’être réglées de leurs factures dès la prise de commande confirmée par les clients, donc sans attendre la livraison et l’émission des factures correspondantes. Selon les pouvoirs publics, les entreprises pourraient ainsi gagner en moyenne 45 jours de trésorerie par rapport à l’affacturage classique. Précision : pour bénéficier de la garantie de l’État, les affactureurs devront respecter un cahier des charges défini par arrêté du ministre de l’Économie. En pratique, ce nouveau dispositif a vocation à s’appliquer aux financements de commandes prises entre le 1er août et le 31 décembre 2020. Art. 41, loi n° 2020-935 du 30 juillet 2020, JO du 31 Source : Les Echos

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