Quelles sont les étapes pour produire sa liasse fiscale ?

déclarations fiscales uloa

La liasse fiscale est composée Bilan + compte de résultat + annexes comptables. Ces documents sont normalisés, il s’agit de documents CERFA, et du fait sont exploitables par tous les partenaires financiers de l’entreprise, et c’est d’ailleurs un document important de la communication financière de l’entreprise. Il faut savoir que la liasse fiscale qui est fréquemment sous-traitée à l’expert-comptable peut être réalisée assez facilement en interne pour peu que vous disposiez d’un progiciel qui vous permettra de produire le bilan une fois par an, mais aussi des situations intermédiaires, à la fréquence souhaitée. Quelles sont néanmoins les questions à se poser avant de se lancer dans la production de sa liasse fiscale ? 1. AI-JE VÉRIFIÉ QUE MES DOCUMENTS ET MON LOGICIEL SONT A JOUR ? D’une année à l’autre, les formulaires d’une liasse fiscale sont susceptibles d’évoluer. Il est nécessaire de vérifier que l’on produit ses états fiscaux dans le bon millésime. Si on choisit une solution WEB comme ULOA par exemple, les formulaires seront automatiquement mis à jour. Vous serez également informés en temps réel des évolutions règlementaires. 2. AI-JE PENSÉ À RÉFÉRENCER TOUTES LES SOCIÉTÉS DÉCLARANTES ? Un exercice fiscal c’est long, et il peut s’en passer des choses : Rachat ou cessions de sociétés, changement de SIRET…  Evènements qu’il faudra remonter à l’éditeur, qui sera également votre partenaire EDI. Celui-ci mettra à jour le périmètre des sociétés déclarantes pour permettre la télétransmission de vos liasses fiscales. 3. AI-JE CRÉÉ TOUS MES EXERCICES COMPTABLES ? Un exercice comptable doit forcément être créé pour chacune de vos sociétés déclarantes. Si vous produisez votre liasse fiscale pour un grand nombre de sociétés, vous avez la possibilité de créer des exercices en multi-sociétés. Cette opération peut facilement être réalisée sur la base d’une société modèle. Une solution comme ULOA, par exemple, offre un réel confort de travail pour les collaborateurs comptables et superviseurs, car elle permet une gestion des données en multi-sociétés et en multi-utilisateurs. 4. AI-JE PENSÉ À CHANGER LE FORMAT D’IMPORT DE MA BALANCE COMPTABLE ? Lorsque vous importez des données qui proviennent de votre logiciel de comptabilité, il est nécessaire de définir un format d’import. Théoriquement c’est le même que pour l’exercice précédent, sauf si vous avez changé de logiciel de comptabilité depuis. Dans ce cas, il faudra procéder à un changement de format d’import. Mais, ce n’est pas très compliqué : la balance comptable qui est la matière première de la liasse se récupère par interface ou par un copier-coller. C’est à la portée de n’importe quel comptable, pas besoin du service informatique pour ça. 5. AI-JE BIEN CRÉÉ MA SIGNATURE ÉLECTRONIQUE, NÉCESSAIRE À LA TÉLÉTRANSMISSION DE LA LIASSE FISCALE ? La télétransmission est obligatoire. Pour télétransmettre vos états fiscaux en toute sécurité, il est nécessaire de créer votre signature électronique pour valider l’échange de données entre votre solution de déclarations fiscales et la DGFiP.  Ensuite, vos fichiers sont hébergés dans un portail déclaratif dédié. Chaque échange de données est crypté par une procédure unique. La télétransmission se fait simplement et l’archivage est réalisé par l’éditeur 6. AI-JE PENSÉ À VÉRIFIER LA DATE LIMITE DE DÉPÔT DE MA LIASSE FISCALE ? Pour la majorité des entreprises qui clôturent leur exercice le 31/12, le dépôt de la liasse se fait le 30 avril de l’année suivante. On peut noter cependant, que généralement, la DGFiP octroie un délai supplémentaire de quelques jours à toutes les entreprises qui effectuent leur déclaration par voie électronique. Néanmoins, toutes les déclarations, et je pense à la TVA, l’IFU, la CVAE, ne se font pas à la même date. Et si vous travaillez sur un grand nombre de sociétés, vous aurez probablement à gérer un grand nombre d’échéances. Et, c’est pourquoi dans ULOA, qui permet de répondre à l’ensemble des obligations déclaratives, vous disposez d’un workflow de suivi spécialement pensé pour les échéances fiscales, et vous êtes assisté grâce à des alertes push pour les dates limites de dépôt. Donc ce qu’il faut retenir, c’est que la meilleure solution pour automatiser la production de ses déclarations, consiste en une a solution 100% WEB, accessible depuis tous les navigateurs et complètement sécurisée avec des données hébergées dans des datacenter en France. Pour en savoir plus sur ULOA, contactez- nous au 0 806 110 020 !  

Pourquoi la fonction de consolidation est souvent externalisée dans les groupes de moyenne taille ?

Le recours à l’externalisation des comptes consolidés existe depuis de nombreuses années. L’évolution du métier des consolideurs et de l’environnement technologique tend à renforcer la pertinence de cette solution adoptée par de plus en plus de Daf de groupes de moyenne taille.   Pour un Daf de groupe, le recrutement puis la fidélisation d’un consolideur sont des objectifs délicats à atteindre tant cette profession vit dans le plein emploi depuis son émergence. Par ailleurs, la consolidation des comptes étant, par essence, ponctuelle dans l’année, le coût significatif d’un consolideur est difficile à optimiser pour un groupe de petite ou moyenne taille. Par ailleurs, la réalisation d’une consolidation nécessite des expertises connexes à celles du consolideur dont le groupe ne dispose pas forcément non plus : modélisation financière lors d’acquisitions ; techniques d’évaluation pour vérifier la réalité de la valeur comptable des actifs et des passifs ou apprécier la valeur d’engagements à long terme pris par le groupe ; connaissances fiscales, juridiques et comptables lors d’opérations complexes au sein du groupe ; maîtrise des normes comptables, notamment si le groupe a adopté les IFRS. L’externalisation est ainsi une solution pour un Daf de s’assurer de la disponibilité pérenne de l’expertise nécessaire à la réalisation des comptes consolidés. Se pose toutefois la question de la maitrise des données consolidées en cas d’externalisation. La modularité de l’externalisation, l’utilisation d’outils de visualisation des donnée et la rapidité de mise en place sont des éléments de réponse à ce risque. La modularité de l’externalisation et les outils de visualisation des données La crainte de ne plus maitriser ses données financières en interne est un élément de réflexion en cas de recours à l’externalisation. Cette crainte est parfois alimentée par les Commissaires Aux Comptes qui peuvent évoquer de façon légitime, notamment pour les groupes cotés, le risque d’une dilution de la responsabilité de l’établissement des comptes. Il est donc nécessaire de clarifier le rôle que souhaite conserver le groupe dans l’établissement des comptes consolidés. En effet, un processus de consolidation n’est pas monolithique : il peut se décomposer en plusieurs parties qui peuvent être externalisées ou confiées aux ressources internes en fonction de leurs complexités, des compétences des uns et des autres et du souhait de maîtrise et d’appropriation des données de consolidation par la direction financière. L’exemple ci-dessous de décomposition d’un processus de consolidation et de ventilation des travaux montre l’imbrication possibles entre les ressources internes et externes tout au long de ce processus : Par ailleurs, l’absence de maîtrise du système de consolidation par l’équipe de direction financière, parfois évoqué comme un écueil à l’appropriation de ses données, n’est aujourd’hui plus une difficulté. En effet, les outils de data visualisation actuels utilisés par les fonctions financières permettent de mettre à disposition du directeur financier, du directeur comptable, des contrôleurs de gestion ou des contrôleurs financiers, l’information de consolidation sans que ces populations soient des utilisateurs des systèmes de consolidation. La direction financière peut néanmoins toujours craindre de se retrouver  » pieds et poings liés «  avec un prestataire disposant de l’expertise qu’elle ne détient plus en interne. Les exemples ne sont pas rares, de groupes de moyenne taille qui, au cours de la décennie passée, ont alterné les périodes d’internalisation et d’externalisation au gré, par exemple, du départ d’un consolideur unique, de l’arrivée d’un Directeur comptable ancien consolideur ou encore de l’évolution du consolideur interne à un autre poste dans le groupe. Il est à noter que le passage par une période d’externalisation permet souvent au groupe de se doter d’outils méthodologiques qui simplifient et sécurisent le processus de consolidation, facilitant d’autant plus la réinternalisation de la consolidation auprès de ressources internes moins expertes mais guidées par un processus très abouti. L’essentiel sera donc, pour un Daf, de collaborer avec un prestataire agile à se réadapter à ses besoins et à l’évolution des ressources dont il dispose en interne. La plateforme de consolidation La modularité possible d’une externalisation et la facilité, dans l’environnement technologique actuel, à installer une externalisation, à la faire évoluer ou à en sortir, ainsi qu’à partager les données de consolidation ont fortement atténué la frontière entre le renfort des services internes et l’externalisation. Ainsi, un Daf souhaitant optimiser la fonction consolidation de son groupe recherchera, plutôt qu’une externalisation, la mise à disposition d’une plateforme de consolidation modulable, sur laquelle il viendra s’appuyer en fonction des besoins de son groupe tout en maitrisant la durée de cette solution externe. Source : DAF-MAG

Avec GEC Connect, gérez le processus « order to cash » en un seul clic !

Modifiez, valorisez et exportez toutes vos écritures dans votre comptabilité en mode full web. Nous avons échangé avec Valérie Konarski, Directrice BU Finance chez Dimo Software, partenaire de Mata depuis plus de 15 ans sur l’automatisation des opérations comptables. Leurs solutions se complètent parfaitement : accompagnement, amélioration continue et performances en mode full web, une collaboration gagnant-gagnant qui permet surtout aux clients d’atteindre un niveau d’efficacité et de satisfaction optimal, quel que soit leur environnement technique initial. Le groupe Dimo Software en quelques mots Dimo Software est éditeur de logiciels, intégrateur et distributeur de solutions qui complètent la ligne de service de Mata, notamment en termes de gestion de trésorerie. Ces solutions logicielles, s’intègrent aux ERP des entreprises et permettent d’importer de manière automatisée tous types de fichiers : voyages, notes de frais, gestion de maintenance assistée (GMAO), business Analytics, CRM et gestion de la relation clients, GED et bien sûr solutions de trésorerie… GEC Connect et Cash on Time, des logiciels innovants Mata sécurise la gestion des devises, du change et des opérations de trésorerie, mais avant de procéder à cette étape, il faut récupérer cette trésorerie. Deux logiciels full web et full Saas sont alors utilisés par Mata et Dimo Software : GEC Connect: ce logiciel, générateur d’écritures comptables, permet l’automatisation et la comptabilisation automatique des flux dans l’ERP sur n’importe quel système d’exploitation. Téléphonie, essence ou même e-commerce, il supprime les saisies manuelles en se basant sur le relevé de compte. Cash on Time: le logiciel d’allocation et lettrage automatique des flux. Il permet de contrôler et pointer les paiements par rapport aux factures de manière automatisée pour 70% à 90% du poste. Au-delà du gain de fiabilité, cela garantit une économie de temps de travail considérable, une comptabilité à jour et une standardisation optimale des process. Ces logiciels intelligents s’enrichissent à l’usage de connaissances grâce à l’intelligence artificielle, augmentant ainsi le score de lettrage au fil du temps. Ecritures, factures et règlements ainsi traités permettent aux équipes de se recentrer sur des tâches à forte valeur ajoutée et, de réduire les en-cours clients : la durée de recouvrement des créances diminue en moyenne de 5 points. C’est avec cette volonté d’optimisation, de gain de temps, de qualité, que Dimo Software propose au sein de la brique Cash on Time, un service automatisé de recouvrement des créances. En plus des fonctionnalités courantes, ici on va scénariser, segmenter et opter pour une variation du risque selon les comptes clients. Le flux est couvert jusqu’au paiement final en ligne, proposé via un portail dédié. Un partenariat solide pour des solutions sur-mesure accessibles et incontournables L’association de Mata et Dimo Software permet aux deux partenaires de proposer tout ou partie des fonctionnalités en s’appuyant sur : La parfaite connaissance de leurs clients, équipés d’autres solutions proposées ou éditées par ces deux fournisseurs, L’expertise finance de Mata, qui permet d’optimiser tous les process et d’automatiser la comptabilisation d’un maximum d’éléments, souvent plus que prévu ! La gestion en mode projet des dossiers avec une véritable assistance au démarrage, Le professionnalisme des équipes parfaitement formées sur le sujet et ayant une bonne connaissance des ERP du marché, La réactivité de la hotline. Pour conclure, Valérie Konarski appuie que « La possibilité de déployer ces solutions à l’international comme en Europe, en s’appuyant sur un processus complet « order to cash », avec une seule interface full web et full Saas, en vue de diminuer les impayés tout en fidélisant vos collaborateurs, constitue un projet plus qu’inspirant et un objectif atteignable à court terme. » Si vous voulez en savoir plus, contactez- nous au 0 806 110 020 !  

Transformation financière : automatisation en retard, quels impacts sur les CFO ?

arnaques bancaires

Alors que les directeurs financiers sont généralement conscients des avantages de l’automatisation, 78 % des entreprises n’ont déployé qu’une automatisation financière de base.   La majorité des processus de clôture financière de la plupart des entreprises repose sur des processus manuels et des outils obsolètes. Il est temps aujourd’hui pour les directeurs financiers de repenser leurs processus et d’accélérer leur automatisation. Car pour ces 78%, l’année de pandémie s’est révélée bien difficile, les obligeant à bricoler des solutions et demandant des efforts herculéens à leurs équipes pour mener à bien leur clôture financière. Il est temps pour eux de considérer le coût réel de ce retard sur l’automatisation de la clôture financière de leur entreprise. Des conséquences face à la concurrence Selon Gartner, les directeurs financiers les plus efficaces consacrent 6 % de temps en moins que leurs pairs moins productifs aux activités de la fonction financière. Ils réaffectent ce temps à l’analyse, à la manière dont l’entreprise peut créer de la valeur, et assument plus pleinement leur rôle de CFO pour mettre la finance au défi de remplir une mission agressive et une vision à long terme, tout en guidant leur équipe dans l’exécution de ces objectifs. L’automatisation financière permet aussi aux équipes F&A d’accélérer la croissance de l’entreprise et de réaliser leurs objectifs commerciaux. Plutôt que de perdre du temps sur des processus répétitifs et de se concentrer uniquement sur la clôture des comptes, elles peuvent fournir des analyses cruciales pour l’entreprise. 38 % des cadres déclarent d’ailleurs qu’au cours des douze derniers mois, c’était leur plus grand défi concernant la clôture financière(2). Car l’analyse des données leur permet de se montrer stratégiques, et donne les clés au bureau des finances pour contribuer davantage à la vision à long terme de l’entreprise. Autrement dit, ces dernières années, l’automatisation de la clôture financière est passée d’ » incontournable  » à  » indispensable « , car elle apporte aux entreprises et aux directeurs financiers un avantage concurrentiel certain. Et, inversement, en retardant l’adoption de l’automatisation, les directeurs financiers perdent le potentiel d’ajouter plus de valeur à l’ensemble de l’entreprise et d’élaborer efficacement des stratégies pour l’avenir. Des risques pour les états financiers Le risque est toujours au coeur des préoccupations des directeurs financiers. La fonction finance est toujours sous pression : elle doit assurer la publication des états financiers dans des délais impartis, et garantir leur exactitude. Cette mission est d’autant plus complexe lorsque l’on utilise des processus manuels sujets aux erreurs. Or, 88 % des décideurs utiliseraient plus de 100 feuilles de calcul pour soutenir leurs décisions commerciales[1]. Bien que ce soit un outil nécessaire dans certains cas, les feuilles de calcul sont extrêmement sujettes aux risques. L’absence de contrôles inhérents et le risque d’erreurs dues à une intervention humaine font de la dépendance aux feuilles de calcul un énorme facteur de risque pour les directeurs financiers alors qu’un logiciel d’automatisation financière met en évidence les exceptions, permettant aux comptables de se concentrer sur les erreurs et d’améliorer la qualité des données financières. Inefficacités et goulots d’étranglement De nombreux aspects de la comptabilité et de la finance sont de nature plutôt répétitive mais absolument essentiels pour évaluer et analyser la santé financière d’une entreprise. Les justifications, les rapprochements et l’audit nécessitent la préparation et l’approbation de plusieurs personnes, ce qui rend l’ensemble de la clôture financière vulnérable aux goulots d’étranglement et aux inefficacités. L’utilisation de méthodes manuelles et d’outils obsolètes tels que les feuilles de calcul sont chronophages et compromettent souvent le calendrier de clôture. Les goulots d’étranglement peuvent entraîner des échéances manquées, prolongeant ainsi l’achèvement de la période de clôture financière. La fuite des meilleurs talents Le département comptable et financier est connu pour son déséquilibre entre travail et vie privée, de nombreux comptables sacrifiant leurs vacances, leurs soirées et leurs week-ends pour respecter les délais de chaque période de clôture financière. Cela est particulièrement vrai pour les entreprises qui reposent essentiellement sur des processus manuels et des applications obsolètes, car ces méthodes augmentent souvent le nombre d’heures nécessaires pour clôturer. Au fil du temps, ces tâches chronophages conduisent à l’épuisement professionnel, contribuant à des départs au sein de l’organisation. Pourtant, grâce à l’automatisation de la clôture financière, les entreprises et CFO pourraient réduire le nombre d’heures nécessaires par ETP pour effectuer les tâches de clôture, tout en créant simultanément une charge de travail plus équilibrée. La digitalisation et la consolidation des compétences des équipes F&A sont ainsi essentielles non seulement pour retenir les (meilleurs) talents, mais aussi pour développer davantage leurs compétences en matière de données et d’analyse. L’automatisation financière est le facteur clé qui distinguera les CFO efficaces de ceux qui prendront du retard sur le marché. Les entreprises ayant une automatisation établie ou même avancée disposent d’un avantage concurrentiel supplémentaire, de la gestion des risques à l’obtention d’informations critiques. Avec l’évolution du paysage commercial, il appartient au CFO de se tenir au courant des technologies financières et de comprendre que les coûts liés à la non-implémentation de l’automatisation financière peuvent avoir des conséquences à long terme pour l’entreprise. Tirer parti de l’automatisation de la clôture permet aux équipes financières d’élaborer efficacement des stratégies pour l’avenir tout en améliorant considérablement les flux de travail et les processus existants. Source : DAF-MAG

Sage fait équipe avec Zapier pour renforcer le travail des PME avec la robustesse de l’automatisation

Sage (FTSE: SGE) le chef de file du marché en solutions de gestion d’entreprise en nuage, annonce aujourd’hui la mise à disposition de Zapier, la plateforme d’automatisation des flux de travaux pour les entreprises, dans Sage Marketplace au Canada, aux É.-U., au RU et en Irlande. Ce partenariat permet aux petites entreprises et aux comptables de ces quatre pays d’améliorer leurs tâches et d’automatiser leurs flux de travaux, en connectant en continu Sage Comptabilité à 4 000 applis.   Dans l’univers numérique d’aujourd’hui, les petites entreprises utilisent en moyenne 72 applis différentes pour simplifier leurs processus, éliminer les erreurs et obtenir des informations financières pertinentes en temps réel sur la performance de leur entreprise. Ces applis aident les PME à exploiter les technologies qui n’étaient autrefois disponibles que pour les grandes organisations. Cependant, le stockage des données sur plusieurs applis comporte son lot de problèmes. Zapier permet donc aux clients de connecter les applis qu’ils utilisent au quotidien à Sage Comptabilité, et de transférer leurs données en toute sécurité, afin de présenter une vue globale des activités de leur entreprise. Le partenariat de Sage avez Zapier aidera les petites entreprises et les comptables à consacrer moins de temps aux tâches administratives, et plus de temps à accroître la valeur pour leurs clients. Par conséquent, les comptables disposeront de temps pour s’investir dans le développement de leur entreprise sans recourir à un effectif supplémentaire. De plus, le nouveau partenariat de Sage et Zapier offre plusieurs avantages clé aux clients, entre autres : Flexibilité : Les clients de Sage peuvent intégrer 4 000 applis et personnaliser les applis intégrées pour créer des flux de travaux automatisés sur mesure qui répondent à leurs besoins spécifiques. Sécurité : Des millions de clients à travers le monde font confiance à Zapier pour transférer et synchroniser en toute sécurité leurs données sur des applis pour accomplir le travail, grâce à des ingénieurs de fiabilité de site répartis dans le monde entier et des équipes de sécurité sur appel 24 h / 7 j. Conformité : Les clients peuvent utiliser le logiciel avec confiance et tranquillité d’esprit, car Zapier détient des certifications d’auditeur tiers avec AICPA’s SOC de Service Organizations, SOC 2 Type II et SOC 3. Gain de temps : Les clients d‘entreprises de toute taille peuvent automatiser leurs travaux en quelques minutes, et gagner en moyenne dix heures par semaine1 sur des tâches manuelles qui prenaient auparavant des heures à accomplir. Rentabilité : Les clients économisent en moyenne un équivalent de $11K en temps chaque année, en créant efficacement les flux de travaux nécessaires pour automatiser les tâches. « Sage s’engage à soutenir les petites entreprises et les comptables qui contribuent à leur prospérité, en offrant des solutions innovantes qui éliminent le fardeau des tâches manuelles et répétitives, » déclare Alex Fawcett, Directeur principal, Ecosystem and Technical Fellow chez Sage. « En partenariat avec Zapier, nous soutenons les PME pour concrétiser la robustesse de l’automatisation et leur réseau numérique, afin qu’elles puissent s’occuper de l’essentiel : leurs clients ». Il enfile : « L’importance de se lancer dans un parcours de transformation numérique est une priorité qui réunit les petites entreprises et les pratiques comptables à travers le monde. Les clients de Sage Comptabilité peuvent facilement sélectionner des flux de travaux prédéfinis dans Sage Marketplace pour s’attaquer rapidement à leurs besoins d’automatisation avec Zapier. De plus, nous comprenons que chaque PME est unique, de même que ses besoins technologiques. À cet effet, Sage et Zapier offrent une expérience de bout en bout aux clients, en plus de leur permettre d’acquérir de nouvelles intégrations pour leurs applis sur lesquelles ils s’appuient, auquel cas elles ne seraient pas présentement disponibles ». « Nous sommes emballés de nous associer à Sage, afin de proposer plus de possibilités d’automatisation à nos clients, » affirme Andrew Edelman, Chef du service des partenariats stratégiques et plateformes chez Zapier. « Dotés de Zapier, les clients peuvent créer des flux de travaux automatisés dans le service des finances, ventes, marketing, inventaire et plus encore … Au bout du compte, les utilisateurs auront plus de temps pour se pencher sur ce qui est le plus important pour leurs entreprises ». L’intégration de Zapier à Sage Comptabilité est maintenant offerte dans Sage Marketplace au Canada, aux É.-U., au RU et en Irlande. À propos de Sage Sage est le chef de file mondial du marché de la technologie qui offre aux petites et moyennes entreprises la visibilité, la flexibilité et l’efficacité de gérer leurs finances, leurs opérations et leurs ressources humaines. Accompagné de nos partenaires, des millions de clients à travers le monde font confiance à Sage pour offrir la meilleure technologie infonuagique et le meilleur soutien. Fort de nos années d’expérience, nos collègues et partenaires comprennent la façon de servir nos clients et nos communautés à travers les meilleures périodes, et les plus difficiles. Nous sommes là pour vous aider, en vous offrant des conseils pratiques, des solutions, de l’expertise et des perspectives. À propos de Zapier Fondé en 2011, Zapier aide ses utilisateurs à développer leurs entreprises grâce à la robustesse de l’automatisation. Plus de 2,5 millions d’utilisateurs convergent vers Zapier chaque mois pour répondre à leurs besoins d’automatisation. La société connecte 4 000 applis afin d’aider les gens à être plus productifs, et leur fait économiser en moyenne dix heures par semaine. En aidant à découvrir et à regrouper des applications Web qui renforcent la productivité et accroissent le succès, Zapier offre une nouvelle manière de travailler. Source : Zonebourse.com

Simplifiez votre gestion de trésorerie avec Sage XRT Solutions

Nous avons interviewé Mr Brière, Partner Account Manager chez Sage – partenaire depuis 1999 avec Mata – sur la gestion de trésorerie et les nouvelles innovations de Sage XRT Solutions. La version Cloud de l’outil permet de visualiser et de gérer les flux financiers n’importe où, tout en conservant un niveau élevé de sécurité.   Pourquoi se préoccuper de sa trésorerie ? La dernière crise a fait que la trésorerie des entreprises a été malmenée, alors même qu’elle est primordiale pour la confiance que les partenaires peuvent accorder. D’autant qu’avec la crise de la COVID-19, les délais de règlement se sont allongés. Une PME sur trois doit supporter des délais de paiement supérieurs à 60 jours. La trésorerie est redevenue un sujet dans les entreprises aujourd’hui. Le trésorier doit réaliser des prévisions de trésorerie à moyen/long terme, pouvoir mettre à jour les données en temps réel, activité qui peut se relever chronophage si l’entreprise n’a pas les bons outils. Et sans visibilité rapide sur la situation du cash, l’entreprise peut même se mettre en danger. Sage XRT Solutions : l’outil spécialisé pour la gestion de trésorerie Sage XRT Solutions est l’aboutissement de la convergence des composants du cash management sur une plateforme collaborative et globale. Sur cette plateforme, vous pouvez : gérer les flux financiers banque entreprise, optimiser les financements et placements, gérer les comptes courants, automatiser l’intégration des flux de trésorerie en comptabilité, produire les tableaux de reporting réclamés par la Direction Générale. « Sage XRT Solutions est la solution adaptée aux trésoriers exigeants qui veulent un maximum d’automatisation dans les traitements tout en garantissant une sécurité maximale ». Quels sont les avantages pour une entreprise de passer sur Sage XRT Solutions ? Simplicité : l’expérience utilisateur est simplifiée grâce à une interface graphique conçue pour répondre aux besoins de l’utilisateur. L’outil est plus facile à prendre en main et plus souple que les générations précédentes du logiciel. Nomadisme : La technologie full web permet de travailler de n’importe où et de répondre à la problématique des confinements successifs et du télétravail de tout un chacun. En effet, il n’y a plus besoin de mettre à jour les postes utilisateurs puisque les données sont décentralisées sur le cloud. Néanmoins, dans le souci de répondre favorablement aux services informatiques qui préfèrent installer les solutions sur leurs propres serveur ou cloud, Sage continuera de proposer sa solution en version on premise. Productivité : vous améliorez votre productivité en automatisant les tâches chronophages, telles que le rapprochement bancaire et comptable. La plateforme « améliore l’automatisation traitements des relevés de comptes par le scan des libellés, une bibliothèque de formats modifiable, et la lecture des caractères Unicode particulièrement intéressante pour interpréter des relevés à l’international. » Technique : la technologie full web vous affranchit du matériel dédié. Les opérations quotidiennes sont automatisées et planifiées au maximum ; les accès distants permettent un accès à tout moment (24/7) et en tout lieu ; les mises à jour de sécurité sont réalisées automatiquement. Sécurité : la solution est hautement sécurisée. La gestion des droits des utilisateurs est très fine, vous pouvez attribuer des droits d’accès à des niveaux de lecture différents à vos collaborateurs. L’ajout de la validation « 4 yeux » renforce le contrôle de la trésorerie. Toutes les opérations sont tracées, les tiers et les paiements sont contrôlés par MATA I/O qui est parfaitement interopérable avec SAGE XRT Solutions.   Quelles entreprises pourraient utiliser Sage XRT Solutions  ? Sage XRT Solutions s’adresse à toutes les entreprises qui cherchent une solution de trésorerie experte collaborative et interopérable. Les équipes de MATA se tiennent à votre disposition pour étudier vos besoins en la matière afin de vous proposer la solution qui vous est adaptée. Alors, contactez- nous au 0 806 110 020 !  

Le groupe MATA fusionne avec Kemata et recentre ses activités sur les solutions expertes

mata fusionne avec kemata

Le groupe MATA recentre ses activités sur les solutions expertes, disponibles en Cloud, se sépare des activités comptables SAGE 1000 et fusionne avec sa filiale KEMATA Le groupe MATA fusionne avec Kemata et recentre ses activités sur les solutions expertes Éditeur de l’outil MATA IO de sécurisation des paiements, et intégrateur de solutions de gestion depuis 1999, MATA propose depuis plusieurs années l’hébergement Cloud en alternative à l’installation sur serveurs « On premise ».Dans un contexte où la fraude reste une menace réelle, la sécurité des installations est primordiale. Pour répondre à l’exigence élevée de sécurité de ses clients, MATA a sélectionné l’hébergement en Cloud Privé Microsoft Azure. L’hébergement Cloud facilite la connectivité des applications en garantissant un niveau maximal de sécurité, notamment pour les interfaces par API ou par protocoles d’échanges avec des services extérieurs (Sepamail, INSEE, DGFIP, agences bancaires). Avec la solution du Cloud privé, chaque client dispose de son environnement propre, entièrement personnalisable et intégrant toutes ses applications. Grâce aux services complémentaires proposés par MATA, tous les aspects techniques sont pris en charge pour que les clients puissent se concentrer sur leur métier. La généralisation de l’offre Cloud s’accompagne d’un recentrage sur les solutions expertes de sécurisation des tiers et des virements, de gestion de trésorerie, et sur des métiers spécialisés tels que la gestion de congés et des notes de frais, la liasse fiscale, la gestion des immobilisations et l’automatisation de la comptabilisation et du lettrage. Dans cette logique de spécialisation, la filiale KEMATA arrête la commercialisation de la comptabilité SAGE 1000. Le suivi des clients et le support du parc seront assurés par notre partenaire MERCURIA. Avec la prochaine fusion de MATA et de KEMATA, la réorganisation de nos activités sera complète et nos équipes en ordre de marche pour vous accompagner dans vos projets métiers. www.mata-conseil.fr

Le Cloud pour maîtriser la gestion comptable des PME et TPE

La gestion COMPTABLE oblige les PME et TPE à investir beaucoup de temps et de moyens au quotidien. Le Cloud est une solution choisie par de plus en plus d’entreprises souhaitant gagner en efficacité. Elles profitent de la dématérialisation du processus de comptabilité pour optimiser leur fonctionnement et répondre aux impératifs de mobilité. Le Cloud, qu’est-ce que c’est ? C’est un système permettant d’accéder à des données, des espaces de stockage ou des applications par internet. Il est rendu possible par la « virtualisation » : un même serveur physique sert de base à différentes ressources virtuelles. Pour devenir des Clouds, les ressources vont être additionnées à différents dispositifs : Des outils de gestion (gestion comptable par exemple) permettant aux administrateurs de contrôler l’infrastructure, les applications et les données utilisées dans le Cloud. Des outils d’automatisation limitant les interactions humaines grâce à des processus reconductibles. Les utilisateurs professionnels retirent plusieurs avantages de l’environnement Cloud : L’approvisionnement en libre-service : la mise en place de l’infrastructure informatique se fait conformément aux besoins des entreprises. L’élasticité : la gestion en ligne permet de dimensionner l’offre selon la taille et l’exigence de l’entreprise. Le paiement à l’utilisation : les professionnels gagnent en réactivité et adaptent facilement la plateforme à l’évolution de leurs besoins, sans risquer un dépassement de budget. LA GESTION COMPTABLE : Les obligations comptables des PME et TPE Tous les dirigeants d’entreprise se doivent de respecter certaines règles relatives à la tenue de leurs comptes. Ces obligations comprennent : La tenue du journal et du grand livre comptable répertoriant tous les flux financiers de l’entreprise. La sauvegarde des documents (factures, notes, tickets…) justifiant les éléments inscrits dans les comptes. La réalisation des comptes annuels : ils incluent le bilan comptable, le compte de résultat, ainsi que l’annexe explicative. L’approbation des comptes annuels par les associés, puis leur dépôt auprès du greffe du tribunal de commerce. Les plus petites entreprises peuvent bénéficier d’obligations comptables simplifiées. La tenue quotidienne des comptes, comme l’établissement des documents annuels, est alors moins stricte : La tenue d’une comptabilité de trésorerie avec mention des dates effectives de paiement est suffisante. Le bilan comptable peut mentionner simplement les principaux actifs et passifs. Le compte de résultat peut être limité aux charges et produits essentiels. À noter : le non-respect d’une obligation comptable est sanctionné par une amende pouvant atteindre plusieurs milliers d’euros. Choisir un logiciel de comptabilité pertinent Les règles et obligations incitent les éditeurs à créer des solutions de plus en plus abouties pour les entreprises. La numérisation des opérations de comptabilité, puis leur accès à distance via le Cloud, ont profondément amélioré l’efficacité des entreprises. En 2020, environ 10 % des entreprises européennes utilisaient une plateforme de gestion comptable en ligne. Sage Business Cloud propose un module de gestion de toutes les opérations de comptabilité. Quatre éléments clés en font une solution optimale pour les TPE et PME : Les fonctions d’automatisation avec l’import des factures et extraits bancaires. L’utilisateur doit simplement valider les écritures et non plus les saisir manuellement. L’édition des traitements périodiques est rapide et en conformité avec la réglementation comptable. L’utilisateur maîtrise sa trésorerie et accède en un clic aux principaux indicateurs financiers. Les fonctions de partage optimisent la collaboration entre les différents utilisateurs. Le choix d’un module de comptabilité en ligne permet aux entreprises de gagner en souplesse. Sage Business Cloud est une solution compétitive et adaptée aux impératifs du télétravail. Prévenir les impayés La moitié des PME subissent des retards de paiement. Les TPE ne sont malheureusement pas en reste : en 2020, 40 % d’entre elles ont constaté une augmentation des délais de paiement3. Les entreprises doivent mettre différentes pratiques en œuvre afin de prévenir ces retards. Outre les traditionnelles lettres de relance, examinons les avantages du Cloud en termes de gestion des impayés : Utiliser une plateforme de comptabilité en ligne permet d’accéder à tout moment à sa trésorerie. Le contrôle des finances est plus efficace grâce au rapprochement bancaire automatisé. Les collaborateurs de l’entreprise profitent de cette flexibilité pour gérer plus rapidement les factures impayées. Découvrez la solution Sage Business Cloud pour votre gestion comptable Source : Sage

Examen de Conformité Fiscale : 70 ans de relations administration/administrés améliorées

Bercy lance l’examen de conformité fiscale (ECF) applicable aux exercices clos dès le 31 décembre 2020. Confié à un tiers, l’ECF valide la conformité aux règles fiscales de points de comptabilité et a valeur de mention express. La croissance continue de l’administration, les prérogatives de son pouvoir, son insensibilité aux aspirations des administrés, ses décisions autoritaires, son formalisme excessif, les méandres de son organisation et son inefficacité rendaient de moins en moins supportables ses prérogatives et devaient conduire le législateur à engager un large mouvement de réformes, dès la fin du second conflit mondial. D’abord tourné vers la recherche d’une meilleure efficacité des services, à partir du milieu des années soixante-dix l’effort des gouvernements se portait sur l’amélioration des relations entre les contribuables et l’administration. Le contrôle statistique, pilier de la politique fiscale depuis 1948 L’administration fiscale n’était pas épargnée par les réformes. En 1948, la Direction Générale des Impôts naissait de la fusion de trois administrations aux logiques différentes. Le début des années quatre-vingt-dix était celui de l’adaptation de l’organisation de l’administration fiscale aux nouveaux enjeux posés par la création de la TVA intracommunautaire. Enfin, la Loi Organique relative aux Lois de Finances de 2001 imposait la culture de la performance. Pour autant, l’organisation du contrôle fiscal était peu touchée par les réformes et oscillait dans une sorte de compromis entre logique de rendement et négociation. Logique de rendement, parce que le vérificateur doit rendre chaque année un nombre précis d’affaires dont on a longtemps fait fi du rendement réel (Redressements encaissés/Redressements notifiés). Logique de négociation, ou de discussion, qui débute lors du contrôle et se poursuit à travers les différents recours hiérarchiques, pendant toute la procédure d’imposition. Loi Essoc ou les prémices d’une modification structurelle de l’administration fiscale 2018 est un tournant, peut-être définitif, dans les relations voulues apaisées entre l’administration fiscale et les contribuables. La loi Essoc(1), ou  » faire confiance et faire simple « , exprime la volonté de l’administration de passer  » d’une logique de contrôle a priori à une approche fondée davantage sur la confiance et la prévention de l’erreur « . Les mesures pour  » Une nouvelle relation de confiance(2)« , ensuite, traduisent la nouvelle orientation donnée à l’administration dans une sorte de triptyque :  » Conseiller et accompagner les entreprises sur certains domaines fiscaux  » (i),  » Réorienter et modifier les vérifications de comptabilité  » (ii), tout en luttant contre la fraude fiscale (iii). Du contrôle statistique à l’Examen de Conformité Fiscale L’Examen de Conformité Fiscale (ECF), destiné aux entreprises et applicable aux exercices clos à compter du 31 décembre 2020, s’annonce comme un des piliers de la nouvelle orientation donnée aux vérifications de comptabilité, par l’abandon définitif du contrôle statistique au bénéfice d’une relation toujours plus apaisée entre l’administration et les contribuables. Confié à un tiers-examinateur issu du monde du chiffre ou du droit, l’ECF porte sur dix points d’audit définis par arrêté du 13 janvier dernier. Il se conclura par un certificat remis à l’administration fiscale qui aura valeur de mention expresse (absence définitive de majoration et d’intérêt de retard sur des points validés par le certificateur et ultérieurement contestés par l’administration) et qui, selon le directeur du contrôle fiscal, limitera l’occurrence des contrôles. Source : Daf-Mag

Assurer la conformité de la facturation électronique à l’échelle mondiale

Poussée par l’objectif d’éviter l’évasion fiscale, la législation sur la facturation électronique obligatoire est en hausse dans le monde entier. Le passage à la facturation électronique n’est plus une option pour les entreprises, c’est une obligation. La part croissante de gouvernements et d’entreprises adoptant la facturation électronique contraint les entreprises à envoyer leurs factures au format électronique si elles veulent continuer à collaborer ensemble et se faire payer. Cependant, le nombre grandissant de règles, de formats, de plateformes et de certificats rend la conformité très complexe. Le point sur la situation mondiale En 2017, la France a estimé à 12 milliards d’euros la perte de recettes de TVA. La mise en place de la facturation électronique et la transmission systématique des données de factures à l’administration fiscale vont clairement contribuer à la lutte contre la fraude à la TVA et à la simplification de la collecte auprès des entreprises. L’Amérique latine a été la première à imposer l’utilisation de la facturation électronique à la fin des années 2000, en utilisant le modèle de contrôle fiscal appelé « Clearance » (vérification en temps réel des factures par l’administration fiscale locale). En Europe, la directive européenne sur la facturation électronique et les achats publics a été mise en place pour faire de la facturation électronique la méthode la plus utilisée en Europe en 2020. Pour soutenir cette directive, plusieurs pays ont instauré une réglementation obligeant les fournisseurs à envoyer leurs factures aux administrations publiques par voie électronique. L’Italie est allée encore plus loin en devenant le premier État membre européen à rendre obligatoire la facturation électronique B2B et B2C pour les entreprises italiennes. D’autres semblent disposés à suivre cette voie. La France lui emboîte désormais le pas en étendant l’obligation de facturation électronique au secteur B2B. En effet, voté le 28 décembre dernier, l’article 153 de la loi de finances 2020 prévoit la mise en oeuvre de la facture électronique dans les relations inter-entreprises et la remise d’un rapport sur les conditions de cette mise en oeuvre. Tout comme pour le B2G, l’article prévoit d’instaurer cette obligation de manière entre le 1er janvier 2023 et le 1er janvier 2025. Le calendrier et ses modalités sera fixé par décret en fonction de la taille et du secteur d’activité des entreprises concernées. A date, le modèle de contrôle fiscal n’a pas été arrêté mais il est fort probable que ce soit le modèle de type Clearance. La part croissante de gouvernements et d’entreprises adoptant la facturation électronique contraint les entreprises à envoyer leurs factures au format électronique si elles veulent continuer à collaborer ensemble et se faire payer. Cependant, le nombre grandissant de règles, de formats, de plateformes et de certificats rend la conformité très complexe. De plus, le délai entre la publication de la loi et l’échéance à laquelle les entreprises doivent se conformer est très court, tandis que le nombre de réglementations continue d’augmenter. Des efforts ont été faits pour standardiser les achats publics et simplifier les échanges de documents entre les entreprises et les administrations publiques, notamment avec PEPPOL. Toutefois, la conformité reste encore très complexe dans la réalité. La facturation électronique en plein essor De plus en plus d’entreprises remplacent leur processus de facturation papier par des solutions de diffusion et d’archivage de factures électroniques moins coûteuses et plus efficaces. Elles découvrent ainsi de nouvelles façons d’accroître leur avantage concurrentiel et leur productivité (par exemple, réduction des erreurs liées aux factures, gains de temps et d’argent, paiement plus rapide, etc.). Bien que la facturation électronique soit en pleine ascension, l’une des raisons pour lesquelles elle n’a pas encore été largement adoptée est la confusion autour de la conformité fiscale. Source: DAF MAG