MATA se remet en scène

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Le 7 avril dernier, MATA se retrouvait une nouvelle fois devant les caméras pour une séance de tournage vidéo. Après l’expérience « vidéos paroles d’Experts », nous souhaitions pousser encore davantage l’aventure en nous mettant en scène. L’idée retenue pour cette année était d’aller plus loin que les paroles d’experts. La parole d’expert a pour objectif de mettre en avant nos experts et de faire profiter nos clients de leur expérience. L’exercice était déjà enrichissant, mais nous souhaitions vivre une expérience plus audacieuse. POURQUOI une nouvelle approche pour MATA ? Pour cette année le challenge était de présenter nos solutions logicielles via la mise en scène de notre équipe.  Nous souhaitions communiquer une image plus ludique et voulions tenter une expérience complètement nouvelle afin de souligner l’esprit d’initiative de nos collaborateurs. Nous nous sommes tous pleinement investis dans ce projet. Tout commence par l’écriture Pour bien démarrer ce nouveau projet, notre équipe s’est plongée dans un travail d’écriture. Nous avons eu besoin de 2 réunions de brainstorming afin d’accoucher de 6 idées de mise en scène. Une fois les thèmes arrêtés, l’équipe s’est attelée à la rédaction des synopsis des petits films. Tache peu facile car peu courante. Ecrire un article sur une expertise est une chose, écrire une histoire avec une mise en scène en est une autre. Comment imaginer la scène ? comment imaginer les dialogues ? Au final, l’écriture du scénario s’est avérée ludique et stimulante. Pour ce faire, nous nous sommes entourés de l’équipe de production de La Plume qui nous a accompagnés dans cet exercice. Une fois le scénario validé, le story board pu être articulé et validé avec La Plume. Un tournage d’envergure Après une première expérience sur les vidéos d’experts, nous connaissions le plan face caméra avec un éclairage direct et sobre. Mais nous étions loin de nous imaginer l’ampleur d’un tournage avec mise en scène et comédiens. Voici comment s’est déroulé le tournage : 8h du matin, arrivée de l’équipe de production : un chef opérateur, un caméraman, un ingénieur son et un réalisateur. La production installe et prépare le matériel : Trépieds, lampes, caméras, moniteur, objectifs, micros, steadicam. 10h30, fin de l’installation du matériel. Les tests lumière suivent et les intervenants se mettent en scène. Pendant que la production s’installe, dès 8h, le comédien professionnel a organisé une dernière répétition avec notre équipe afin de nous mettre à l’aise et de tester nos textes. 11H, le tournage peut démarrer. Nous découvrons que chaque scène, chaque plan doit être filmé sous différents angles. Nous apprenons la lourde épreuve de la répétition : Scène 1, plan 1, scène 1, plan 2, scène 1, plan 3… Nous découvrons également la multiplication des plans afin de donner matière à l’histoire. Très vite notre équipe prend confiance et se prête à l’exercice. Une petite compétition s’installe même entre les membres de l’équipe. Chacun s’applique et chacun donne le meilleur de lui-même. 14h, le premier scénario est mis en boite. Il reste encore deux histoires à filmer. Les scènes défilent et les intervenants s’enchainent. Par moment, certains s’arrêtent et observent les scènes, les dérapages comme les bonnes scènes. A 16h commence le tournage le plus complexe. La steadicam est installé sur le chef opérateur, portant près de 12 kg sur les épaules. Nous découvrons que l’exercice est loin d’être évident. Le caméraman doit à la fois porter le matériel, se déplacer, suivre le comédien en mouvement et gérer son plan simultanément. A 18h, le tournage s’achève enfin. Les trois vidéos ont été pensées à la base comme une expérience de team building en interne, afin que l’équipe s’approprie le projet et porte les couleurs de l’entreprise. Le tournage s’est révélé être une expérience de cohésion de l’équipe et chacun de nous a ressenti ce sentiment d’appartenance à la marque MATA. Par ailleurs, l’expérience a permis d’humaniser notre société en présentant nos voix et nos visages. Nos vidéos permettront de communiquer une image dynamique pour échanger avec nos clients, nos partenaires, nos prospects et nos éventuels candidats. Elles vont véhiculer une image ludique de notre marque et de notre savoir-faire en jouant sur le pouvoir du visuel, vecteur d’émotion. Plus important encore, elles vont transmettre nos valeurs et valoriser nos produits, nos process et notre équipe. C’est un excellent moteur pour accroître notre visibilité en ligne. Vivement le prochain tournage. Vous pouvez consultez toutes les vidéos MATA par ici !  

Pourquoi créer un nouveau progiciel de trésorerie dédié aux PME alors qu’il en existe déjà ?

MATA IO a accompagné des centaines de sociétés dans le choix et l’implémentation de leur solution de trésorerie. Après plus de 20 ans passés aux côtés de ces PME françaises et européennes, MATA IO a consolidé ces expériences en créant le meilleur progiciel possible, celui qui répond aux besoins de chaque entreprise, quel que soit son environnement technique, économique et humain. Les PME ont des besoins spécifiques pour gérer leur trésorerie Marie-Thérèse BROGLY (MTB), Dirigeante de MATA IO, partage son expertise du terrain. « Nous avons constaté que les PME françaises sont généralement peu équipées. Non qu’elles ne se sentent pas concernées ou qu’elles ne soient pas conscientes des enjeux, surtout en cette période de crise majeure. Elles sont généralement d’ores et déjà bien convaincues qu’il faut avoir une bonne visibilité sur son cash, être capable d’anticipation pour prendre les bonnes décisions, mais aussi en mesure de sécuriser ses paiements. Pourtant, peu d’offres existantes répondent à leurs besoins. Les PME vont trouver deux types de produits : Des progiciels de trésorerie très pointus, les TMS (Treasury Management System) peu adaptés et souvent trop chers pour elles ; De toutes petites solutions de suivi manuel de trésorerie, absolument pas interopérables. Dans ces deux cas, la sécurité des tiers et des paiements ne fait pas partie de leur périmètre fonctionnel. Alors même que la fraude aux paiements explose en France et dans le monde. » La gestion manuelle de la trésorerie, un poids et un risque pour toutes les PME Avec des besoins à cheval entre les solutions surdimensionnées ou sous dimensionnées, les PME font un usage massif d’EXCEL. Elles vont y saisir leurs prévisions de trésorerie, associées à des solutions de web banking proposées par leurs banques. Une alternative peu coûteuse, complètement manuelle qui impose la saisie de son prévisionnel, mais aussi de tous mouvements passés en banque(s)… Dès lors, impossible de sécuriser ses opérations, ou d’ajuster ses prévisions en fonction des encaissements et décaissements constatés sur les comptes chaque jour. Pour peu qu’elles travaillent avec 3 ou 4 banques, il faut récupérer les mouvements sur chaque site bancaire, avec un mode opératoire et des identifiants forcément différents. Ces saisies et mises à jour génèrent des erreurs, elles sont chronophages et les ressources mobilisées ne sont pas disponibles pour des tâches à meilleure valeur ajoutée : Les décisions financières, Le contrôle des frais, Le contrôle des règlements Un progiciel sur mesure pensé pour les PME, sécurisé et disponible dans le Cloud Comment faire en sorte d’automatiser et de sécuriser tous ces flux provenant d’applications diverses et soumis à des workflows de validation variés ? Centraliser et garantir la fiabilité d’un IBAN, qu’il provienne de l’ERP, de la paie ou des moyens de paiement et garantir qu’il a été correctement saisi, c’est possible. MATA IO a pensé pour vous, PME, cette solution de gestion de trésorerie efficiente associée à une plateforme de paiement complètement sécurisée. MTB : « Nous sommes convaincus depuis longtemps que les PME ont les mêmes besoins de sécurité et de productivité que les grands groupes, nous avons travaillé sur une solution tout en un qui associe la trésorerie à la sécurité et traite toutes les problématiques de la chaine de règlement dans un espace crypté qui va de l’ERP jusqu’à vos banques. Il s’agit d’une offre intégrée qui embarque : La communication bancaire EBICS TS, valable pour toutes les banques. Finies les consultations, envois et clés de signature monobancaires ! La vérification des IBAN de vos fournisseurs lors de chaque campagne de règlement, Le cryptage de vos fichiers de paiement et des IBAN pour vous protéger en cas d’attaque informatique, L’hébergement sécurisé en mode SaaS via le Cloud, qui soulage de toute contrainte d’infrastructure technique / informatique et permet de garantir un degré de sécurité optimal. » Nous avons calibré votre solution de gestion de trésorerie intuitive, dédiée aux PME. Comment fonctionne cette solution de gestion de trésorerie dédiée aux PME ? Simplifiée au maximum, complètement interopérable, elle s’interface à l’ERP ou à la comptabilité pour générer un prévisionnel qui sera mis à jour automatiquement par intégration des relevés de comptes. Multi-sociétés, multi-banques et multidevises, elle affiche les soldes et positions de manière instantanée et interactive. Devises et cours sont également mis à jour automatiquement par la Banque de France. Collaborative et sécurisée, notre gestion de trésorerie garantit une parfaite étanchéité et séparation des tâches. Pour conclure, Marie-Thérèse BROGLY, vous avez souhaité rendre la vie plus facile aux trésoriers et dirigeants de PME ! MTB – « Oui, de notre point de vue, la trésorerie ne doit pas être réservée aux initiés. Même s’il n’est pas le principal utilisateur, le dirigeant d’une PME doit pouvoir comprendre ses positions et suivre l’évolution de sa trésorerie d’un seul coup d’œil. Il doit pouvoir signer tous ses fichiers de règlement en une seule fois, avec une clé de signature unique. Mais en toute sécurité, et en ayant l’assurance que tous ses fichiers de règlements ont été contrôlés juste avant. C’est pour toutes ces raisons, et surtout parce que nous n’aimons pas choisir, que nous avons développé notre offre de trésorerie PME et nous l’avons appelée SECURE e LINK. »  

Fraude bancaire. « Une arnaque, il ne faut pas croire que ça n’arrive jamais »

Fraude Bancaire – Patron d’une petite entreprise bretonne, il raconte comment des escrocs ont réussi, il y a plusieurs mois, à lui extorquer une centaine de milliers d’euros, à travers une fraude redoutable.   Fraude Bancaire – Piratage informatique, usurpation d’identité et de signature, manipulation et pression mentale. Voilà de quelle manière des escrocs ont réussi, il y a plusieurs mois, à endormir la vigilance d’un comptable d’une petite entreprise bretonne. Une arnaque à plusieurs milliers d’euros. Le patron accepte de raconter car il souhaite appeler les chefs d’entreprise à la vigilance et dire que « non, vraiment, l’arnaque, il ne faut pas croire que ça n’arrive jamais ». « Ce sont des vrais pros » « Ce qu’il faut savoir, c’est qu’avant de démarrer l’arnaque, ils connaissent déjà tout de l’entreprise, son organigramme, son fonctionnement. Ils mènent une vraie enquête sur les salariés, ils savent qui sont les dirigeants, s’il y a des associés. Ils font un travail de fourmi. Ce sont de vrais pros. Ensuite, ils appellent une secrétaire, lui demandent son nom en se faisant passer pour un client ou un fournisseur. Un autre coup de fil et ils réussissent à avoir le nom du comptable. « C’est à partir de là que l’arnaque commence » Et puis ils obtiennent le nom de la banque avec qui nous travaillons. Là encore, en se faisant passer pour un client qui veut ouvrir un compte chez nous et qui a besoin d’un RIB. Ce sont des demandes qu’on nous fait souvent… L’étape suivante, c’est d’obtenir l’adresse e-mail du dirigeant. C’est à partir de là que l’arnaque commence. Ils créent une adresse quasi identique à celle du patron, à une lettre près… Et puis ils envoient un mail au comptable, en se faisant passer pour le dirigeant. Ils lui annoncent qu’une opération bancaire est prévue bientôt. Qu’il ne faut surtout pas en parler, même pas à lui – le patron — s’il le croise dans un couloir. Ils instaurent une relation de confiance et de proximité et mettent le comptable dans une situation d’exclusivité. « Ils utilisent le nom et l’en-tête de sociétés qui existent » D’autres mails suivent qui le préviennent qu’il va recevoir des appels de cabinets d’avocats et comptables. Ils utilisent le nom et l’en-tête de sociétés qui existent vraiment, mais avec un faux numéro de téléphone qui est en fait le leur. Pendant 15 jours, le comptable reçoit plusieurs appels. Tout s’accélère quand il envoie un ordre de virement, pas signé, au cabinet juridique. En même temps, le cabinet comptable le contacte aussi et lui explique que pour vérifier l’authenticité d’un document de l’entreprise, il doit leur envoyer un formulaire signé de la main du patron. Ils lui mettent la pression. C’est cette signature qui apparaît finalement sur l’ordre de virement que renvoie le cabinet juridique et que le comptable transfère à la banque. Tout ça, ça a pris une demi-journée. Là où ils sont gonflés c’est qu’ils ont fait une nouvelle tentative moins d’une semaine après, en expliquant qu’ils avaient besoin d’un complément. Cette fois, ça n’a pas marché car un dirigeant est entré dans le bureau du comptable au moment où on lui demandait de faire cette nouvelle transaction. » Source : Ouest France  

Quelles sont les étapes pour produire sa liasse fiscale ?

liasse fiscale

La liasse fiscale est composée Bilan + compte de résultat + annexes comptables. Ces documents sont normalisés, il s’agit de documents CERFA, et du fait sont exploitables par tous les partenaires financiers de l’entreprise, et c’est d’ailleurs un document important de la communication financière de l’entreprise. Il faut savoir que la liasse fiscale qui est fréquemment sous-traitée à l’expert-comptable peut être réalisée assez facilement en interne pour peu que vous disposiez d’un progiciel qui vous permettra de produire le bilan une fois par an, mais aussi des situations intermédiaires, à la fréquence souhaitée. Quelles sont néanmoins les questions à se poser avant de se lancer dans la production de sa liasse fiscale ? 1. AI-JE VÉRIFIÉ QUE MES DOCUMENTS ET MON LOGICIEL SONT A JOUR ? D’une année à l’autre, les formulaires d’une liasse fiscale sont susceptibles d’évoluer. Il est nécessaire de vérifier que l’on produit ses états fiscaux dans le bon millésime. Si on choisit une solution WEB comme ULOA par exemple, les formulaires seront automatiquement mis à jour. Vous serez également informés en temps réel des évolutions règlementaires. 2. AI-JE PENSÉ À RÉFÉRENCER TOUTES LES SOCIÉTÉS DÉCLARANTES ? Un exercice fiscal c’est long, et il peut s’en passer des choses : Rachat ou cessions de sociétés, changement de SIRET…  Evènements qu’il faudra remonter à l’éditeur, qui sera également votre partenaire EDI. Celui-ci mettra à jour le périmètre des sociétés déclarantes pour permettre la télétransmission de vos liasses fiscales. 3. AI-JE CRÉÉ TOUS MES EXERCICES COMPTABLES ? Un exercice comptable doit forcément être créé pour chacune de vos sociétés déclarantes. Si vous produisez votre liasse fiscale pour un grand nombre de sociétés, vous avez la possibilité de créer des exercices en multi-sociétés. Cette opération peut facilement être réalisée sur la base d’une société modèle. Une solution comme ULOA, par exemple, offre un réel confort de travail pour les collaborateurs comptables et superviseurs, car elle permet une gestion des données en multi-sociétés et en multi-utilisateurs. 4. AI-JE PENSÉ À CHANGER LE FORMAT D’IMPORT DE MA BALANCE COMPTABLE ? Lorsque vous importez des données qui proviennent de votre logiciel de comptabilité, il est nécessaire de définir un format d’import. Théoriquement c’est le même que pour l’exercice précédent, sauf si vous avez changé de logiciel de comptabilité depuis. Dans ce cas, il faudra procéder à un changement de format d’import. Mais, ce n’est pas très compliqué : la balance comptable qui est la matière première de la liasse se récupère par interface ou par un copier-coller. C’est à la portée de n’importe quel comptable, pas besoin du service informatique pour ça. 5. AI-JE BIEN CRÉÉ MA SIGNATURE ÉLECTRONIQUE, NÉCESSAIRE À LA TÉLÉTRANSMISSION DE LA LIASSE FISCALE ? La télétransmission est obligatoire. Pour télétransmettre vos états fiscaux en toute sécurité, il est nécessaire de créer votre signature électronique pour valider l’échange de données entre votre solution de déclarations fiscales et la DGFiP.  Ensuite, vos fichiers sont hébergés dans un portail déclaratif dédié. Chaque échange de données est crypté par une procédure unique. La télétransmission se fait simplement et l’archivage est réalisé par l’éditeur 6. AI-JE PENSÉ À VÉRIFIER LA DATE LIMITE DE DÉPÔT DE MA LIASSE FISCALE ? Pour la majorité des entreprises qui clôturent leur exercice le 31/12, le dépôt de la liasse se fait le 30 avril de l’année suivante. On peut noter cependant, que généralement, la DGFiP octroie un délai supplémentaire de quelques jours à toutes les entreprises qui effectuent leur déclaration par voie électronique. Néanmoins, toutes les déclarations, et je pense à la TVA, l’IFU, la CVAE, ne se font pas à la même date. Et si vous travaillez sur un grand nombre de sociétés, vous aurez probablement à gérer un grand nombre d’échéances. Et, c’est pourquoi dans ULOA, qui permet de répondre à l’ensemble des obligations déclaratives, vous disposez d’un workflow de suivi spécialement pensé pour les échéances fiscales, et vous êtes assisté grâce à des alertes push pour les dates limites de dépôt. Donc ce qu’il faut retenir, c’est que la meilleure solution pour automatiser la production de ses déclarations, consiste en une a solution 100% WEB, accessible depuis tous les navigateurs et complètement sécurisée avec des données hébergées dans des datacenter en France. Pour en savoir plus sur ULOA, contactez- nous au 0 806 110 020 !  

Nouveauté pour le printemps : la refonte du site internet MATA

Dans la continuité de l’évolution de son image de marque et de son identité visuelle, MATA a repensé et transformé son site internet. A contrario d’un bon logo qui peut ne jamais prendre de ride avec le temps, le web est en perpétuelle évolution et nécessite de redoubler d’efforts pour ne pas être dépassé technologiquement. Avoir un site internet obsolète peut avoir un impact négatif sur son image et donc sur son entreprise. Pourquoi cette refonte de site internet pour MATA ? Si le logo est l’identité d’une marque, son site internet est la représentation en ligne de son produit. Après avoir redesigné notre identité visuelle, cela coulait de source d’intégrer cette nouvelle identité dans nos différents supports de communication : site internet, réseaux sociaux, newsletter, PowerPoint, signature mail, etc… Immédiatement après s’est posé la question du design du site dont les contenus étaient régulièrement mis à jour, mais dont l’ergonomie était devenue vieillissante. Comme le disait cet anonyme @leblancstartup : « Une interface utilisateur est comme une blague : si on doit l’expliquer c’est qu’elle n’est pas si bonne. » Un besoin de design plus attrayant et ergonomique pour le site MATA. Si notre site actuel donne les réponses sur nos différentes offres de services, il n’en demeure pas moins qu’il commence à dater visuellement en ne répondant plus aux standards graphiques de notre secteur d’activités. Nous avions besoin d’améliorer le design du site mais également de travailler son ergonomie et sa navigation. Pour cela, nous devions prendre en compte l’expérience utilisateur de tout un chacun. Qu’est-ce que l’expérience utilisateur ? L’expérience utilisateur (en anglais, user experience, abrégé UX) est la qualité du vécu de l’utilisateur dans des environnements numériques ou physiques. C’est une notion de plus en plus courante, là où l’on utilisait encore récemment, les notions d’ergonomie des logiciels et d’utilisabilité. Nous souhaitions d’abord répondre à cette question : Est-ce possible de comprendre le site du premier coup d’œil ? C’est devenu indispensable, car les utilisateurs ne vont plus perdre de temps sur un site où ils ne sont pas sûrs de trouver la solution à leur problème. L’interface web du site n’est pas pensée comme une relation entre un humain et un outil, mais plutôt entre un utilisateur et MATA derrière l’outil. Nous avons confié ce challenge à l’agence de communication LA PLUME qui a mis en musique notre demande : des entrées de navigation différentes en fonction de la personnalité de l’internaute, de l’interactivité pour être au plus près de nos clients, de l’expérience utilisateur pour de l’engagement émotionnel. Un changement vraiment radical dans cette refonte de site internet ! Bonne navigation !  

Pourquoi la fonction de consolidation est souvent externalisée dans les groupes de moyenne taille ?

Le recours à l’externalisation des comptes consolidés existe depuis de nombreuses années. L’évolution du métier des consolideurs et de l’environnement technologique tend à renforcer la pertinence de cette solution adoptée par de plus en plus de Daf de groupes de moyenne taille.   Pour un Daf de groupe, le recrutement puis la fidélisation d’un consolideur sont des objectifs délicats à atteindre tant cette profession vit dans le plein emploi depuis son émergence. Par ailleurs, la consolidation des comptes étant, par essence, ponctuelle dans l’année, le coût significatif d’un consolideur est difficile à optimiser pour un groupe de petite ou moyenne taille. Par ailleurs, la réalisation d’une consolidation nécessite des expertises connexes à celles du consolideur dont le groupe ne dispose pas forcément non plus : modélisation financière lors d’acquisitions ; techniques d’évaluation pour vérifier la réalité de la valeur comptable des actifs et des passifs ou apprécier la valeur d’engagements à long terme pris par le groupe ; connaissances fiscales, juridiques et comptables lors d’opérations complexes au sein du groupe ; maîtrise des normes comptables, notamment si le groupe a adopté les IFRS. L’externalisation est ainsi une solution pour un Daf de s’assurer de la disponibilité pérenne de l’expertise nécessaire à la réalisation des comptes consolidés. Se pose toutefois la question de la maitrise des données consolidées en cas d’externalisation. La modularité de l’externalisation, l’utilisation d’outils de visualisation des donnée et la rapidité de mise en place sont des éléments de réponse à ce risque. La modularité de l’externalisation et les outils de visualisation des données La crainte de ne plus maitriser ses données financières en interne est un élément de réflexion en cas de recours à l’externalisation. Cette crainte est parfois alimentée par les Commissaires Aux Comptes qui peuvent évoquer de façon légitime, notamment pour les groupes cotés, le risque d’une dilution de la responsabilité de l’établissement des comptes. Il est donc nécessaire de clarifier le rôle que souhaite conserver le groupe dans l’établissement des comptes consolidés. En effet, un processus de consolidation n’est pas monolithique : il peut se décomposer en plusieurs parties qui peuvent être externalisées ou confiées aux ressources internes en fonction de leurs complexités, des compétences des uns et des autres et du souhait de maîtrise et d’appropriation des données de consolidation par la direction financière. L’exemple ci-dessous de décomposition d’un processus de consolidation et de ventilation des travaux montre l’imbrication possibles entre les ressources internes et externes tout au long de ce processus : Par ailleurs, l’absence de maîtrise du système de consolidation par l’équipe de direction financière, parfois évoqué comme un écueil à l’appropriation de ses données, n’est aujourd’hui plus une difficulté. En effet, les outils de data visualisation actuels utilisés par les fonctions financières permettent de mettre à disposition du directeur financier, du directeur comptable, des contrôleurs de gestion ou des contrôleurs financiers, l’information de consolidation sans que ces populations soient des utilisateurs des systèmes de consolidation. La direction financière peut néanmoins toujours craindre de se retrouver  » pieds et poings liés «  avec un prestataire disposant de l’expertise qu’elle ne détient plus en interne. Les exemples ne sont pas rares, de groupes de moyenne taille qui, au cours de la décennie passée, ont alterné les périodes d’internalisation et d’externalisation au gré, par exemple, du départ d’un consolideur unique, de l’arrivée d’un Directeur comptable ancien consolideur ou encore de l’évolution du consolideur interne à un autre poste dans le groupe. Il est à noter que le passage par une période d’externalisation permet souvent au groupe de se doter d’outils méthodologiques qui simplifient et sécurisent le processus de consolidation, facilitant d’autant plus la réinternalisation de la consolidation auprès de ressources internes moins expertes mais guidées par un processus très abouti. L’essentiel sera donc, pour un Daf, de collaborer avec un prestataire agile à se réadapter à ses besoins et à l’évolution des ressources dont il dispose en interne. La plateforme de consolidation La modularité possible d’une externalisation et la facilité, dans l’environnement technologique actuel, à installer une externalisation, à la faire évoluer ou à en sortir, ainsi qu’à partager les données de consolidation ont fortement atténué la frontière entre le renfort des services internes et l’externalisation. Ainsi, un Daf souhaitant optimiser la fonction consolidation de son groupe recherchera, plutôt qu’une externalisation, la mise à disposition d’une plateforme de consolidation modulable, sur laquelle il viendra s’appuyer en fonction des besoins de son groupe tout en maitrisant la durée de cette solution externe. Source : DAF-MAG

Mata est devenu tiers prestataire habilité Diamond

Sur proposition de la Société Générale qui a soumis notre candidature, SEPAmail.eu nous a attribué le statut de TIERS PRESTATAIRE HABILITÉ DIAMOND afin de pouvoir demander par nous-même des ICQX. Concrètement, nos clients n’auront plus à signer de contrat avec une banque pour adhérer au dispositif SEPAmail Diamond ce qui va grandement faciliter leur mise en route, notamment de ceux qui ne sont pas clients des banques adhérentes. Pour mémoire, le service SEPAmail Diamond permet d’acheminer des demandes de vérification d’IBAN pour un tiers société ou particulier. Lors de chaque création ou modification de tiers, notre solution antifraude MATA IO va générer une requête sous forme d’API pour permettre une validation automatique du tiers après réception du retour instantané de SEPAmail Diamond. Ce nouveau mode opératoire va permettre aux clients de contractualiser avec un seul acteur, à savoir MATA qui opère pour le compte de la SG, sans pour autant leur imposer d’ouvrir un compte à la banque. Nous sommes convaincus que cette solution est extrêmement facilitante et qu’elle va rendre le service de vérification des IBAN accessible au plus grand nombre. Venez découvrir les bénéfices du service SEPAmail Diamond dans le cadre d’un webinar. Alors, contactez- nous au 0 806 110 020 !  

Comment définir un workflow de signature sûr et efficace ?

Signataires absents ou occupés, signatures conjointes contraignantes, comment garder un bon niveau de contrôle sans bloquer les règlements ? 4 pistes pour mieux organiser vos signatures : Identifier les catégories de paiement pour y associer les signataires appropriés Selon votre activité et votre organisation interne, définissez quelle(s) personne(s) sont à même de valider chaque type de règlement : fournisseurs français, fournisseurs étrangers, salaires, etc. Définir un workflow de validation obligatoire mais suffisamment souple pour être mis en pratique Choisissez un mode de signature approprié pour chaque type de paiement : signature unique (1 seule signature requise), signature conjointe (2 signatures obligatoires), collège de plusieurs signataires (avec signature unique ou conjointe). Prévoyez ensuite suffisamment de signataires à chaque niveau. Constituez un panier de signataires assez nombreux pour assurer la signature d’au moins 2 d’entre eux en cas d’absence. Utiliser les fonctionnalités des outils de trésorerie pour articuler validation interne et signature bancaire Votre Direction souhaite valider les ordres en dernier recours, mais avec l’assurance que des contrôles ont été faits en amont ? La signature interne permet un premier niveau de validation avant la signature bancaire des dirigeants. Ou à l’inverse, la signature interne peut également intervenir après la signature bancaire, dispensant ainsi la Direction des dispositifs contraignants de signature bancaire (token/clé de signature, poste fixe, etc.). Utiliser les nouveaux outils pour faciliter la signature Les nouvelles générations de logiciels 100% web sont accessibles à tout moment depuis des dispositifs mobiles. Si les normes bancaires ne permettent pas encore de s’affranchir des token ou clés de signature, l’utilisation des nouveaux outils combinée à l’articulation des procédures de signature interne et bancaire permettent une grande souplesse dans la validation des ordres. En résumé, définir une organisation optimale en amont permet d’éviter les contournements de procédure – et les failles de sécurité qui en découlent. Car, faut-il le rappeler, une clé de signature et un mot de passe sont strictement personnels et confidentiels ! Si vous voulez en savoir plus sur l’offre MATA IO, nous pouvons organiser un webinar. Alors, contactez- nous au 0 806 110 020 !  

Arnaque en ligne : Le faux RIB fait irruption dans les boîtes mail

arnaque en ligne : Une escroquerie, relayée par Le Maine libre, vise à falsifier le courriel d’un professionnel pour envoyer un RIB frauduleux, accompagné d’une vraie facture. Un piège redoutable, car difficile à détecter.   Arnaque en ligne – Voilà longtemps que nous mettons en garde les usagers contre le piratage de boîte mail, propice aux techniques de phishing. Gare maintenant au pillage de pièces jointes contenues dans les courriels ! Plusieurs victimes d’une escroquerie au faux RIB se sont en effet manifestées récemment. Comme l’a relaté Le Maine libre la semaine dernière, les victimes reçoivent un RIB illicite, mais accompagné d’une facture émanant bel et bien d’un professionnel qu’elles connaissent. FACTURE D’ORIGINE Comment procèdent les escrocs ? Une entreprise ou une personne à qui vous devez de l’argent vous envoie un courriel avec un RIB et une facture en pièces jointes, afin que vous puissiez réaliser un virement sur son compte. Le message est intercepté par un aigrefin, qui en reproduit le contenu à l’identique et joint la facture d’origine. Seuls changent l’adresse de l’expéditeur… et le RIB, qui n’est autre que celui de cet expéditeur malintentionné. Le courriel initial est remplacé par le contenu frauduleux. Une fois le virement effectué sur le compte illicite, votre argent s’envole et votre créancier n’a pas touché un centime. Monsieur L., arboriculteur à Château-du-Loir (72), en a fait les frais pour un montant de 3 300 €, destinés au départ à la réparation d’une machine de son exploitation : « Après vérification, j’ai réalisé que l’adresse e-mail de mon contact avait changé et contenait la mention “no-reply”. À part cela, le texte du message reprenait les mêmes informations que celui d’origine, et la facture était la bonne. Seul le RIB était faux. » Il a bien sûr déposé plainte pour l’escroquerie dont il a été victime et a procédé à un rappel de fonds auprès de sa banque, dont il attend l’issue. Pire, monsieur L. a failli être victime de cette arnaque une seconde fois, en recevant un RIB falsifié censé provenir de son plombier. Heureusement, il a déjoué le piège à temps ! UN MODE OPÉRATOIRE MYSTÉRIEUX Le capitaine Boucheron, commandant de la compagnie départementale de la Flèche (72), précise que l’un des points troublants de cette enquête réside dans la rapidité d’action des personnes malveillantes : une petite heure seulement s’est écoulée entre l’envoi du vrai courriel et la réception du message illicite. « À ce stade, deux hypothèses sont envisageables. Soit il s’agit de cybermalveillance, avec le piratage de la boîte mail et l’interception du courriel qui contient le RIB. Soit un salarié malintentionné travaillant au sein de l’entreprise créancière a remplacé le RIB pour récupérer l’argent. Aucune option n’est privilégiée pour l’instant. Nous devons d’abord récolter davantage d’informations techniques. » Jean-Jacques Latour, responsable expertise au sein de Cybermalveillance.gouv.fr, avance quant à lui la piste suivante : « L’escroc prend le contrôle de l’adresse e-mail du destinataire. Il regarde les messages reçus et supprime dès réception ceux contenant RIB et facture [qu’il a scrupuleusement enregistrés auparavant]. Ensuite, il envoie un courriel via une autre adresse. Si c’est cela, c’est assez facile à mettre en place techniquement. » Et de rappeler que les attaques aux faux ordres de virement et aux changements de RIB sont dans le top 10 des arnaques qui touchent les professionnels. COMMENT ÉVITER DE SE FAIRE PIÉGER avec une arnaque en ligne D’autres victimes s’étant manifestées récemment, soyez vigilant. Si l’envoi de RIB par courriel constitue un risque pour l’expéditeur, qui pourrait se faire voler de l’argent en cas de récupération de ses données, il représente ici un danger pour le destinataire. Les escrocs cherchant à récolter des sommes importantes, les professionnels sont davantage ciblés. Mais les particuliers ne sont pas à l’abri. Afin d’éviter d’être la cible d’une telle attaque, mieux vaut privilégier les échanges de coordonnées bancaires en face à face ou oralement. Si ce n’est pas possible, en cas d’envoi par courriel, vérifiez scrupuleusement l’adresse e-mail de votre interlocuteur. Demandez également au professionnel ou à la personne dont vous êtes débiteur le nom de sa banque et, en cas de doute, son adresse e-mail. Prévenez-la avant d’effectuer le virement et demandez confirmation du versement de la somme sur son compte dès réception. Si vous vous faites piéger, les chances d’obtenir un remboursement sont minces. Dès lors que vous avez réalisé le virement de votre propre chef, votre banque sera réticente à vous dédommager. Quant au rappel de fonds, le temps de réaliser l’arnaque et d’effectuer les démarches auprès de votre établissement bancaire, il est souvent trop tard, les escrocs se sont généralement déjà envolés avec l’argent. Source : Que-Choisir  

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