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Les Ateliers de Mata
21Juin

Les Ateliers de Mata

Mata organisait jeudi dernier, une journée de travail au cœur des vignes du Domaine Bollenberg à Westhalten. Journée riche en découvertes, avec des interlocuteurs renommés, pour informer nos clients sur les évolutions réglementaires mais aussi sur les nouveautés proposées par nos partenaires éditeurs. Des interventions de qualité sur l’actualité des paiements en Europe et sur la prévention de la  fraude. Nos partenaires présents au RDV : INVOKE A l’ordre du jour, pour la solution référente en matière de fiscalité, les dernières nouveautés, les évolutions réglementaires et une ROAD MAP sur les futures améliorations fonctionnelles du produit de liasse fiscale. Pour finaliser, un échange de questions-réponses avec Anne-Sophie ALLEZ (Responsable ligne de produits Déclarations Fiscales) et Régine BREJUIN (Responsable Hotline). ELO DIGITAL OFFICE Un nouveau partenariat, une solution complète pour répondre à des nouveaux besoins. Après une brève présentation du groupe, focus sur la dématérialisation des factures d’achat et sur les processus métiers. Aymeric Martin (Consultant Senior chez ELO),  a fait un tour d’horizon sur l’interface de la Suite ELO Professionnal. DIMO Accélérer le lettrage des encaissements clients avec des processus automatisés et assistés, entièrement compatibles avec les ERP du marché : il s’agit des solutions GEC Connect et Cash On Time, présentées par Fanny GRAVIER (Ingénieur Commercial BU Finance). SETIS CONSULT Jean-Yves GARNIER nous a fait profiter de son expertise sur les moyens de paiement en Europe. Il nous a présenté l’Instant Payment qui devrait révolutionner l’Europe des paiements et nous a expliqué le fonctionnement de la mobilité bancaire et de la  vérification des IBAN par SEPAmail Diamond. MATA Nouvelles offres bancaires, mais aussi nouvelles fraudes, comment en profiter ou y faire face dans notre solution MATA I/O Bank Suite ? Marie-Thérèse BROGLY (Gérante MATA) et Sylvain KAM (Consultant Technique) nous ont fait part des perspectives d’évolution de la plate-forme et notamment de l’intégration de fonctionnalités supplémentaires pour gérer au mieux la mobilité bancaire et profiter à plein de la vérification des IBAN proposée par SEPAmail Diamond.  

Logiciels de comptabilité, logiciels de facturation
04Mai

Logiciels de comptabilité, logiciels de facturation

Pour information : des agents du fisc pourront bientôt effectuer des contrôles inopinés au sein des entreprises afin de vérifier qu’elles sont en possession du certificat de conformité de leurs logiciels de comptabilité, logiciels de facturation ou de leur système de caisse. A défaut de pouvoir présenter ce document, une amende de 7.500 € leur sera illico infligée ! Vous pouvez éviter cette amende ! Cette disposition émane de la loi de finances de 2016 : toute entreprise assujettie à la TVA qui enregistre les règlements de ses clients au moyen d’un logiciel de comptabilité ou de gestion ou d’un système de caisse, devra désormais utiliser un logiciel ou un système satisfaisant à des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données en vue du contrôle de l’administration fiscale. Les logiciels et matériels concernés A l’origine, lorsque la loi a été présentée au Parlement, on ne parlait que des seuls « logiciels de caisse ». Mais au final, il apparaît que sont visés tous les matériels qui permettent d’automatiser des calculs et de mémoriser des opérations d’encaissement, y compris donc les logiciels de comptabilité et les logiciels de gestion. L’Administration fiscale a même précisé à ce sujet que les logiciels de comptabilité s’entendent des programmes informatiques qui permettent à un ordinateur d’assurer tout ou partie des tâches de la comptabilité d’une entreprise en enregistrant et traitant toutes les transactions réalisées par celle-ci dans différents modules fonctionnels (comptabilité fournisseurs, comptabilité clients, paie, grand livre, etc.). Quant aux logiciels de gestion, il s’agit des programmes informatiques qui permettent à un ordinateur d’assurer des tâches de gestion commerciale, comme par exemple gestion automatisée des devis, des factures, des commandes, des bons de livraison, le suivi des achats et des stocks, le suivi du chiffre d’affaires, etc. Par ailleurs, sont également concernés tous les logiciels de type « gestion et encaissement » qui permettent le pilotage et la gestion des activités de vente et d’encaissement par l’utilisation de terminaux de vente dédiés ou non dédiés, quelles que soient les modalités de leur mise sur le marché (vente, location, mise à disposition de toute autre manière, etc.). Enfin, s’agissant des systèmes de caisse, on en distingue trois principaux : les systèmes de caisse autonomes, souvent dénommés « caisses enregistreuses » : ils ont la capacité d’enregistrer des données de règlement mais ils n’ont pas la capacité d’être paramétrés pour avoir un fonctionnement en communication avec d’autres systèmes de caisse ou avec un système centralisateur d’encaissement ; les systèmes de caisse reliés à un système informatisé capables d’enregistrer, de sécuriser et d’archiver les données d’encaissement en temps réel directement dans le système ; selon le cas, ils génèrent ou non directement les écritures comptables ; les logiciels d’encaissement installés sur un ordinateur ou des ordinateurs (en réseau ou non) : outre les fonctionnalités d’enregistrement, de sécurisation et d’archivage des données d’encaissement en temps réel directement dans le système, ils disposent de fonctionnalités comptables (tenue des écritures comptables) et plus largement incorporent une gestion comptable et financière. ATTENTION : les logiciels libres ou développés en interne sont également concernés Sont notamment concernés les logiciels de comptabilité, de gestion ou de facturation dits « libres » ou développés en interne, c’est-à-dire développés par l’assujetti lui-même. On entend par logiciel libre un logiciel dont les utilisateurs ont un libre usage, une libre étude, une libre modification et une libre distribution. Ces libertés permettent aux utilisateurs d’adapter le logiciel à leurs besoins spécifiques. Les modifications que les utilisateurs peuvent apporter au logiciel libre ou développé en interne ne doivent pas avoir pour objet ou pour effet d’altérer le respect des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage décrites ci-dessous. Les nouvelles normes à respecter Les logiciels ou matériels ci-dessus devront, en vue du contrôle de l’administration fiscale, justifier qu’ils satisfont à des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données. Contrôles inopinés Afin de permettre à l’Administration de s’assurer du respect par les entreprises de ces normes, une nouvelle procédure de contrôle, totalement indépendante de la procédure de contrôle de l’impôt, est créée. Selon cette nouvelle procédure, qui figure d’ores et déjà dans le code général des impôts mais qui entrera officiellement en vigueur à partir du 1er janvier 2018, des agents de l’administration fiscale pourront intervenir de manière inopinée dans les locaux professionnels de toute entreprise assujettie à la TVA pour vérifier la détention par cette personne de l’attestation ou du certificat de conformité de chacun des logiciels de comptabilité ou de gestion ou systèmes de caisse qu’elle détient. Ces contrôles pourront avoir lieu de 8 heures à 20 heures ou, en dehors de ces heures, durant les heures d’activité professionnelle de l’entreprise. Sanctions En application de l’article 286 du CGI, le respect des conditions d’inaltérabilité, de sécurisation, de conservation et d’archivage des données contenues dans les logiciels de comptabilité, de gestion et autres systèmes de caisse peut être justifié : soit par un certificat délivré par un organisme accrédité ; soit par une attestation individuelle de l’éditeur du logiciel de comptabilité ou du matériel concerné, conforme à un modèle fixé par l’administration. Si, à l’occasion du contrôle, l’entreprise ne peut pas produire l’un ou l’autre de ces documents, les contrôleurs lui infligeront une amende de 7.500 € par logiciel de comptabilité ou de gestion ou système de caisse concerné. Source : https://www.gerantdesarl.com/actualite/comptabilite-facturation-vos-logiciels-sont-ils-conformes-aux-nouvelles-normes

La lutte contre la fraude :
04Mai

La lutte contre la fraude :

La lutte contre la fraude est devenue la priorité dans bon nombre d’entreprises.
On peut compter parmi les victimes de fraude, EDF – deux salariés soupçonnés d’avoir détourné près de 800.000 euros ont récemment été mis en examen – qui n’a pas de quoi se sentir seule. 

L’éditeur / intégrateur strasbourgeois KEMATA
04Mai

L’éditeur / intégrateur strasbourgeois KEMATA

ELO Digital Office, éditeur de logiciels de gestion électronique de documents et de gestion de contenus, débute l’année 2017 par l’annonce de la signature d’un nouveau partenaire : KEMATA, spécialiste de la dématérialisation et de la sécurisation des processus financiers.

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