Optimisation de la Trésorerie grâce au Financement Court Terme par l’Affacturage

L’affacturage, une solution de financement court terme de plus en plus prisée, offre aux entreprises une méthode rapide et économique pour convertir leurs factures clients en liquidités essentielles. Ce mécanisme est devenu un pilier pour le renforcement de la trésorerie des entreprises françaises, surpassant même le découvert bancaire en termes de rapidité et de coût. L’affacturage : un levier de trésorerie efficace Facilité par les avancées numériques, l’affacturage transforme les créances en trésorerie, soutenant ainsi les besoins en financement court terme des entreprises. En vendant leurs factures à des sociétés spécialisées, souvent filiales de grands groupes bancaires, les entreprises bénéficient d’un flux de trésorerie immédiat, tout en transférant le risque de recouvrement à ces sociétés d’affacturage. Avantages Multiples pour la Trésorerie Outre l’amélioration de la trésorerie, l’affacturage aide à embellir la présentation financière des entreprises et facilite le paiement de factures à l’international. Cependant, son accès peut être limité pour certaines entreprises, notamment celles opérant dans des secteurs considérés à risque, soulignant l’importance d’une gestion rigoureuse et d’une bonne santé financière pour bénéficier de cette solution de financement court terme. Un impact significatif sur le financement court terme Avec un montant de factures rachetées atteignant 422 milliards d’euros en 2022, l’affacturage a prouvé son rôle crucial dans le paysage du financement court terme en France. Sa popularité s’explique par son coût inférieur à celui des lignes de découvert bancaire traditionnelles, offrant ainsi une alternative avantageuse pour les entreprises en quête d’optimisation de leur trésorerie. L’affacturage : plus qu’un simple financement En plus de fournir une solution immédiate de trésorerie, l’affacturage permet aux entreprises de financer des créances à l’international et d’améliorer leur état financier grâce à des techniques de déconsolidation. La digitalisation a également rendu l’affacturage plus accessible, simplifiant sa mise en œuvre et permettant une gestion plus souple du poste client. Vers une accessibilité élargie Malgré certaines restrictions, notamment dans le secteur B2C et pour les entreprises facturant « à terme échu », l’affacturage reste une option viable pour de nombreuses entreprises. La collaboration avec des courtiers et la souscription à une assurance crédit peuvent faciliter l’accès à cette solution de financement court terme, essentielle pour la gestion de la trésorerie. En résumé, l’affacturage se positionne comme une stratégie incontournable pour les entreprises à la recherche d’une optimisation de leur trésorerie et d’un financement court terme efficace. Sa capacité à fournir des liquidités rapidement, à moindre coût, et avec une gestion flexible en fait une solution de choix dans le paysage financier actuel. Pour en savoir plus sur la trésorerie, contacter le 0806110020.
Internalisation de la liasse fiscale : une option à considérer

La liasse fiscale, un ensemble de déclarations de résultat nécessaires pour déterminer l’impôt à payer par une entreprise, est un élément crucial de la comptabilité d’une entreprise. Souvent, les entreprises se tournent vers des experts-comptables pour gérer ce processus complexe. Cependant, de plus en plus d’entreprises envisagent l’internalisation de leur liasse, c’est-à-dire la gestion de ce processus en interne. Qu’est-ce qu’une Liasse Fiscale ? Avant d’entrer dans les détails de l’internalisation, il est essentiel de comprendre ce qu’est exactement une liasse fiscale. Une liasse fiscale est un ensemble de déclarations et de documents nécessaires pour établir le résultat imposable d’une entreprise et calculer l’impôt à payer. Elle doit être transmise au service des impôts par voie dématérialisée. En plus d’être une obligation fiscale, la liasse va aussi servir de référence pour évaluer la santé financière de l’entreprise vis-à-vis de ses parties prenantes. Pourquoi externaliser sa liasse ? Il est courant que les entreprises externalisent la production de leur liasse fiscale, en la confiant à un expert-comptable. Cette décision est souvent prise lorsque les obligations comptables deviennent trop lourdes à gérer en interne, ou lorsque l’entreprise ne dispose pas des compétences ou des ressources nécessaires pour effectuer cette tâche. Cependant, il est possible de réaliser cette opération en interne, à condition de disposer d’un logiciel adéquat pour établir les bilans annuels ou intermédiaires en fonction des besoins. Avantages d’un logiciel de liasse fiscale interne Un logiciel de liasse fiscale que vous utilisez en interne présente de nombreux avantages. Il vous permet de faire vos déclarations sans attendre le cabinet comptable, ce qui vous fait économiser du temps et de l’argent. Vos équipes internes connaissent mieux votre comptabilité et les particularités de votre entreprise, ce qui les rend plus réactives en cas de changements de dernière minute. Grâce à des contrôles avancés, un logiciel de liasse réduit les risques d’erreur et offre une traçabilité pour assurer la qualité des déclarations, de la saisie à l’archivage. Points clés à considérer Avant de décider d’internaliser votre liasse, plusieurs points cruciaux doivent être pris en compte. Tout d’abord, il est essentiel de disposer d’outils à jour pour suivre les évolutions des formulaires fiscaux, qui peuvent changer d’une année à l’autre. Les solutions en ligne sont mises à jour automatiquement, offrant ainsi un avantage significatif. De plus, il est nécessaire de mettre à jour les informations relatives aux sociétés déclarantes, notamment en cas de rachats, de cessions ou de modifications d’activité. La télétransmission de la liasse fiscale étant obligatoire, il faut également mettre en place une signature électronique pour valider l’échange de données avec l’administration. Les fichiers sont ensuite hébergés via un portail déclaratif dédié et chaque échange est crypté par une procédure unique. Choisir la bonne solution Enfin, choisir le bon logiciel de liasse fiscale est crucial, car il est souvent difficile de s’y retrouver parmi toutes les déclarations auxquelles les entreprises sont soumises (TVA, IFU, CVAE, etc.) et leurs échéances diffèrent. Une solution web comme ULOA proposée par MATA, offrant un périmètre fonctionnel complet et un support de qualité, va grandement simplifier la production des bilans en fournissant des alertes sur les dates limites des obligations fiscales. En conclusion, l’internalisation de la liasse fiscale est une option viable pour de nombreuses entreprises, à condition de prendre en compte les points clés vus ci-dessus et de choisir les bons outils pour réussir ce projet. Pour en savoir plus sur la liasse fiscale à internaliser, contacter le 0806110020.
Optimisation du BFR et gestion de trésorerie

Gestion de trésorerie – Dans le climat économique actuel, marqué par la fin des aides gouvernementales et le début des remboursements des Prêts Garantis par l’État (PGE), de nombreuses entreprises font face à un risque accru de défaillance. Face à ces défis, ainsi qu’à l’inflation et à la hausse des taux d’intérêt, les entreprises cherchent des moyens d’optimiser et de financer leur Besoin en Fonds de Roulement (BFR). L’augmentation des coûts et les difficultés d’approvisionnement exacerbent le besoin de fonds de roulement. Frédéric Piolti de June Partners souligne la complexité accrue pour les entreprises de renégocier leurs crédits ou de trouver de nouvelles sources de financement dans ce contexte. Cependant, des stratégies existent pour améliorer et financer le BFR. Optimisation du BFR : Stratégies d’optimisation du BFR Selon Frédéric Piolti, une approche efficace consiste à adopter une culture de gestion rigoureuse de la trésorerie, réduire le BFR, négocier de meilleures conditions de paiement avec les clients, minimiser les stocks et sécuriser les approvisionnements. Sophie Susterac de Factofrance met l’accent sur l’importance d’une gestion efficace des comptes clients, tandis que Pierre Pelouzet, médiateur national des entreprises, insiste sur le suivi rigoureux des factures et des paiements. Financement du poste client par l’affacturage : Pour mémoire, l’affacturage est un moyen de financement permettant d’obtenir rapidement une avance de trésorerie par la cession de factures en attente de règlement, ce que l’on définit par « créances clients ». L’affacturage offre également un service de gestion des encaissements : relance et recouvrement de créances non réglées et se présente comme une solution majeure pour le financement à court terme. Sophie Susterac note que ses clients en croissance utilisent massivement l’affacturage pour financer leur BFR qui augmente. Ce mode de financement, basé sur la cession de créances clients, n’augmente pas le taux d’endettement des entreprises. Gestion des variations de taux d’intérêt : Pour limiter l’impact des fluctuations des taux d’intérêt, les entreprises peuvent utiliser des caps pour bloquer les taux d’intérêt ou des swaps pour passer d’un taux variable à un taux fixe. Ce sont des outils très efficaces pour se protéger contre la hausse des taux. Exploitation des aides de l’État : Les entreprises peuvent également bénéficier de dispositifs d’aide de l’État, comme les obligations Relance, destinées à renforcer les bilans des PME et ETI. D’autres sources de financement incluent des financeurs non traditionnels et la BPI, en particulier pour les entreprises travaillant avec des clients du secteur public. Évolution de la construction des prévisions de trésorerie : Les crises récentes et les variations de taux ont poussé les trésoriers à modifier leur approche de prévision de trésorerie. La tendance est à la progicialisation des processus de prévision de trésorerie pour améliorer la productivité et la qualité des données. La facturation électronique et l’e-reporting sont des outils prometteurs pour affiner les prévisions de trésorerie. En résumé, face aux défis financiers actuels, les entreprises doivent adopter des stratégies d’optimisation du BFR, explorer diverses options de financement, et utiliser des outils technologiques avancés pour une gestion de trésorerie plus précise et efficace. Pour en savoir plus sur les risques de fraude, contacter le 0806110020.
MATA IO : La solution antifraude pour une trésorerie sécurisée

Depuis plus de deux décennies, MATA a été aux côtés de nombreuses entreprises françaises, les guidant dans le choix et la mise en place de leurs solutions de trésorerie sécurisée. Cependant, face à une hausse spectaculaire des fraudes en France et dans le monde, MATA a réalisé que les solutions de trésorerie existantes, hyperspécialisées, ne répondent pas aux besoins de sécurité des entreprises. C’est pourquoi ils ont développé MATA IO, une solution innovante de contrôle des tiers et des virements. Une réponse aux besoins de sécurité des entreprises Conscientes de l’importance d’une visibilité accrue sur leur trésorerie pour prendre des décisions éclairées, les entreprises françaises recherchent également des solutions pour sécuriser leurs paiements. Toutefois, peu d’offres sur le marché répondent à cette double exigence. MATA IO s’est donc donné pour mission de combler ce vide en proposant une solution de gestion de trésorerie efficace, intégrant un système de paiement entièrement sécurisé. Une solution adaptable et modulaire Pour les entreprises qui sont déjà équipées d’une solution de trésorerie satisfaisante mais qui n’offre pas de fonctionnalité antifraude, la solution MATA IO existe aussi dans une version modulaire pour compléter et sécuriser une plate-forme de trésorerie existante. MATA IO a été conçu pour s’intégrer facilement aux systèmes informatiques des entreprises, assurant ainsi une couverture complète du risque de fraude. Quel que soit le logiciel de gestion de trésorerie utilisé, MATA IO s’interface harmonieusement, permettant même, le moment venu, une transition vers un nouvel outil sans remettre en cause le dispositif antifraude. Une automatisation complète pour une sécurité optimale Grâce à son automatisation avancée, MATA IO détecte systématiquement tout ajout ou modification d’IBAN et effectue une vérification des fichiers de règlement avant leur envoi en banque. En s’appuyant sur les meilleures bases de données bancaires et légales, MATA IO assure la validation automatique des IBAN des tiers pour éviter toute tentative de fraude. Une intégration fluide et discrète Lorsque MATA IO est combiné à la solution de trésorerie existante de l’entreprise, il devient une solution antifraude parfaitement intégrée au système informatique. Travaillant en arrière-plan de manière silencieuse, il ne se manifeste qu’en cas d’anomalie potentielle, garantissant ainsi un flux de travail inchangé mais sécurisé. Conclusion MATA IO se positionne comme un partenaire de confiance pour les entreprises cherchant à renforcer la sécurité de leur trésorerie face à la menace croissante de la fraude. Grâce à son approche modulaire et à son intégration fluide, cette solution antifraude offre une protection essentielle tout en préservant l’efficacité des outils de gestion de trésorerie déjà en place. Avec MATA IO, les entreprises peuvent faire face à la fraude en protégeant leur trésorerie et leurs transactions des menaces potentielles. Contactez MATA pour en savoir +
Comment faire un prévisionnel dans sa gestion de trésorerie ?

Après des années de taux bas et d’accès au crédit facile, on l’avait un peu oublié, mais la gestion de la trésorerie est cruciale pour toutes les entreprises. Une mauvaise gestion de la trésorerie peut entraîner des problèmes de liquidités, des retards de paiement aux fournisseurs, aux salariés et même mettre en péril la survie de l’entreprise. C’est pourquoi, il est essentiel de faire un prévisionnel de trésorerie. La prévision de trésorerie permet de prévoir les entrées et les sorties d’argent, en prenant en compte les revenus attendus, les dépenses prévues et d’autres facteurs conjoncturels qui peuvent influencer la trésorerie de l’entreprise. Mais, l’établissement d’une prévision de trésorerie efficace nécessite une analyse approfondie des flux de trésorerie passés, des tendances du secteur d’activité et des cycles d’exploitation de l’entreprise. Comment établir un prévisionnel de trésorerie correct de manière simple ? Il va falloir commencer par rassembler les données historiques sur les flux de trésorerie passés et identifier les tendances, puis travailler sur : L’estimation des revenus : Prévoir les revenus futurs en fonction des ventes prévues et des conditions du marché. La projection des dépenses : Identifier et estimer les coûts opérationnels, les salaires, les frais généraux, etc… Mais tenir compte aussi de facteurs externes tels que les taux d’intérêt, les fluctuations des devises, les conditions économiques générales, etc. Et pour finir, réviser régulièrement sa prévision de trésorerie pour tenir compte des changements survenus dans son environnement. Quels sont les outils de gestion de trésorerie proposés aux entreprises ? Toutes les opérations listées ci-dessus sont réalisables dans un tableur, certes, mais au prix de combien de temps ? Pour faciliter l’établissement des prévisions de trésorerie, de nombreux outils et logiciels sont disponibles. Ces outils automatisent le processus et fournissent des fonctionnalités telles que l’intégration avec les systèmes de comptabilité, l’analyse des données historiques ou la génération de rapports. Mais ces outils de budget sont souvent déconnectés de la gestion de trésorerie quotidienne et du fait, obligent l’utilisateur à faire des prévisions moyen/long terme dans un logiciel et à gérer ses relations bancaires dans un autre. Or, il existe des solutions intégrées, des logiciels de trésorerie dimensionnés pour les PME et capables de répondre à ces problématiques. Ces outils incluent les fonctionnalités primordiales, à savoir, le prévisionnel de trésorerie, le contrôle des IBAN payés, le reporting, ainsi que le suivi des financements, des placements et des comptes en devises. L’objectif de ces solutions intégrées consiste à regrouper les volets paiements et gestion de trésorerie dans la même solution. Le but reste d’anticiper sa trésorerie au mieux, mais aussi de gagner du temps et de simplifier les tâches des utilisateurs. La société MATA IO s’est positionnée sur ce marché avec l’offre MATA IO Secure E Link qui propose un espace unique et sécurisé pour l’ensemble des opérations de trésorerie. Et répondre ainsi aux besoins de visibilité et d’automatisation devenus indispensables aux PME pour renforcer leur position financière globale dans un contexte économique devenu plus difficile et moins prévisible. Contactez MATA pour en savoir +
Trésorerie des PME : MATA IO offre une solution intégrée pour sécuriser, simplifier, optimiser

La trésorerie des PME : un enjeu décisif pour pérenniser son activité. MATA IO répond à ces problématiques avec sa solution intégrée pour sécuriser ses paiements et gérer sa trésorerie. Les petites et moyennes entreprises devront s’armer pour affronter cette année 2023. Plusieurs difficultés les fragilisent : flambée des coûts de l’énergie, pénurie de main d’œuvre, remboursement des PGE, pression sur les salaires, relance de l’Urssaf après le covid. Les TPE-PME ne seront pas non plus épargnées par les problèmes de trésorerie. Le contexte, en effet, n’est pas favorable, notamment avec l’augmentation du coût du crédit, et la bonne santé financière des entreprises connue ces dernières années , tendrait à décliner. Une entreprise rentable a besoin de fonds de roulement L’augmentation des taux d’intérêts, jusqu’alors très faibles, ne semble pas impacter l’accès au crédit. Les entreprises continuent d’emprunter. Les banques ne constatent pas encore de ralentissement sur les projets d’investissement. Mais le président de la CPME, François Asselin, met en garde : « Si l’accès au crédit bancaire se durcit, les entreprises commenceront à se désendetter et ralentiront leurs investissements », explique-t-il dans un article des Echos. Or une entreprise rentable qui développe son activité a surtout besoin de fonds de roulement pour voir plus loin, évoluer, investir. Encore faut-il pouvoir gérer correctement sa trésorerie, ses comptes, ses banques, ses paiements mais aussi le risque de fraude. C’est toute la difficulté des PME qui n’ont pas toujours une personne dédiée à ce poste clé. MATA IO Secure E Link se positionne pour la trésorerie des PME. Il existe des solutions intégrées, des logiciels de trésorerie dimensionnés pour les PME et capables de répondre à des problématiques variées. Ces outils incluent les fonctionnalités primordiales, à savoir, le prévisionnel de trésorerie, le contrôle des IBAN payés, le reporting, ainsi que le suivi des financements, des placements et des comptes en devises. L’idée est de regrouper les volets paiements et gestion de trésorerie dans la même solution. Le but est de gagner du temps, de simplifier les tâches, d’anticiper aussi. La société MATA IO s’est positionnée avec l’offre MATA IO Secure E Link qui propose un espace unique sécurisé pour l’ensemble des opérations de trésorerie et répond aux besoins d’automatisation devenus indispensables aux PME dans ce contexte. Contactez MATA pour en savoir +
Tableau de flux de trésorerie : future star des annexes ?

L’ANC a publié un projet de modernisation des états financiers. Il prévoit notamment la possibilité d’intégrer dans les annexes un tableau de flux de trésorerie. Ce document est plus facile … L’ANC a publié un projet de modernisation des états financiers. Il prévoit notamment la possibilité d’intégrer dans les annexes un tableau de flux de trésorerie. Ce document est plus facile d’accès pour les non-initiés à la finance (projet de règlement du 1er février 2022 modifiant le règlement ANC n°2014-03 du 5 juin 2014). Modernisation des états financiers et tableau de flux de trésorerie Le projet de règlement récemment divulgué par l’autorité des normes comptables (ANC) vise à moderniser la présentation des comptes annuels. L’ANC précisera prochainement la date d’entrée en vigueur du texte. Il prévoit notamment : une nouvelle définition du résultat exceptionnel qui exclurait de fait les sorties d’immobilisation et la quote-part de subvention d’investissement virée au résultat (enregistrement désormais en résultat d’exploitation ou résultat financier pour les immobilisations financières) la suppression des transferts de charges une mise à jour du plan de comptes une nouvelle présentation des annexes. Le projet de texte prévoit en effet une nouvelle présentation de l’annexe par type d’information et non plus comme dans le PCG actuel, par catégorie d’entités. Des modèles de tableaux normés sont prévus et seront : soit à caractère obligatoire (articles réglementaires) soit à caractère indicatif (commentaires infra-réglementaires). En outre, il sera possible d’introduire un tableau des flux de trésorerie dans l’annexe des comptes annuels, avec des informations relatives à son élaboration. L’intérêt du tableau Dans le cadre de la loi sur les préventions des difficultés (loi du 1er mars 1984), certaines entreprises ont l’obligation d’établir plusieurs documents tels un tableau de financement, un compte de résultat prévisionnel et un plan de financement prévisionnel. L’ANC propose à ce titre des modèles en infra-réglementaire pour répondre notamment à ces exigences réglementaires. Il est préconisé désormais d’utiliser un tableau de flux de trésorerie plutôt qu’un tableau de financement classique. Modèle : projet de règlement du 1er février 2022 Le tableau de flux de trésorerie présente l’avantage de la simplicité de compréhension même pour les non-initiés. Il permet d’analyser la génération de trésorerie au cours du dernier exercice en distinguant : les flux de trésorerie liés à l’activité : ils sont déterminés à partir du résultat net en retraitant les charges et produits sans mouvement de trésorerie, et en déduisant la variation du BFR (besoin en fonds de roulement) afin de tenir compte des délais de paiement les flux de trésorerie liés aux opérations d’investissement : acquisitions et ventes d’immobilisations au cours de l’exercice les flux de trésorerie liés aux opérations de financement : versement de dividendes, augmentation de capital, émission et remboursement d’emprunts. Source : Projet de règlement du 1er février 2022 modifiant le règlement ANC n°2014-03 du 5 juin 2014 Source : Legifiscal
Pourquoi avoir réalisé une enquête de satisfaction ?

Quel est le principal atout d’une entreprise ? Ses clients ! Pour mesurer leur satisfaction à un instant donné et de manière rapide, on n’a pas trouvé mieux que le questionnaire en ligne, qui n’est d’ailleurs pas incompatible avec l’organisation de RDV réguliers en présentiel avec les commerciaux. Les deux sont nécessaires pour fidéliser ses clients, qui de plus recommanderont le service ou la marque, attirant ainsi de nouveaux clients. Pour créer ce cercle vertueux, toutes les entreprises sont centrées sur les besoins de ses clients et font en sorte d’y répondre au mieux, en matière de produits et de services. Mais comment être bien sûrs d’être dans le vrai et que les clients sont effectivement contents ? En mesurant la satisfaction clients : En surveillant les retours clients auprès des commerciaux et des techniciens, certes. Mais pour obtenir un retour plus exhaustif, l’enquête de satisfaction reste la méthode de mesure la plus utilisée. En effet, c’est celle qui offre le meilleur équilibre entre fiabilité et contraintes. C’est ce qui a poussé MATA à créer son questionnaire qui vous a été adressé voici quelques jours par mail. À quoi va servir ce questionnaire de satisfaction ? Vos réponses vont nous permettre de mesurer votre degré de satisfaction, mais surtout d’analyser si des changements sont nécessaires pour améliorer le niveau de nos prestations. Autrement dit, notre enquête n’est pas qu’un instrument de mesure. Mais c’est aussi un des socles sur lesquels s’appuie notre stratégie de développement des produits et des services proposés. Quels sont nos objectifs ? Disposer d’indicateurs objectifs de la satisfaction client Améliorer nos offres et notre niveau de service Identifier les attentes clients et les évolutions du marché Mobiliser les collaborateurs, résultats factuels à l’appui Communiquer avec nos clients et leur signifier que leur satisfaction est au cœur de nos préoccupations Et, pour finir, innover sur des bases sûres Quel genre de questionnaire avons-nous voulu ? Evidemment, nous avions envie de vous poser des tas de questions, sur tous les sujets, mais il a fallu nous raisonner et penser au temps que vous aurez à y consacrer. Nous savons que cette fin d’année sera chargée pour nous tous, aussi avons-nous revu nos ambitions à la baisse pour vous soumettre un questionnaire court auquel vous pourrez répondre en moins de 5 minutes. On vous a demandé de renseigner : vos coordonnées, les produits utilisés et de noter sur 5 : Les fonctionnalités du ou des produits La mise en œuvre La qualité du support et de la relation commerciale. Et de laisser un commentaire, mais de manière non obligatoire. On ne pouvait pas faire plus court ! Aussi, nous vous engageons à répondre quand vous aurez un petit moment car cette enquête est importante pour nous, mais pour vous aussi. Quels seront les effets de cette enquête pour vous ? Une communication transparente des résultats de l’enquête Une bonne prise en compte de vos préoccupations et besoins Une amélioration de la qualité de notre service Des retours factuels auprès de nos éditeurs Nous vous remercions de bien vouloir prendre 5 petites minutes pour répondre au questionnaire qui vous a été adressé par mail, mais que vous pourrez également remplir en cliquant sur le lien suivant. Contactez MATA pour en savoir +
Un nouveau progiciel de trésorerie conçu sur mesure dédié aux PME

MATA accompagne depuis plus de 20 ans des centaines de sociétés françaises et européennes dans le choix et l’implémentation de leur solution de trésorerie. En parallèle, MATA a développé MATA IO, un des meilleurs progiciels sur le marché, pour répondre aux besoins de chaque entreprise quel que soit l’environnement technique, économique et/ou humain. « Des besoins spécifiques pour chaque PME afin de gérer leur trésorerie » Marie-Thérèse BROGLY, Dirigeante de MATA I/O, partage son expertise du terrain. Pourquoi créer un nouveau progiciel de trésorerie dédié aux PME alors qu’il en existe déjà ? « Notre réflexion part du constat que les PME françaises sont généralement peu équipées. Elles sont bien évidement convaincues qu’il faut avoir une bonne visibilité sur son cash, être capable d’anticipation pour prendre les bonnes décisions, et surtout être en mesure de sécuriser ses paiements. Cependant, il existe peu d’offres capables de répondre à leurs besoins. » Les PME peuvent trouver deux types de produits sur le marché : des progiciels de trésorerie très pointus, les TMS (Treasury Management System) qui sont le plus souvent peu adaptés et bien trop chers pour elles ; des petites solutions de suivi manuel de trésorerie, qui ne sont absolument pas interopérables. Dans les deux cas, la sécurité des tiers et des paiements ne fait aucunement partie du périmètre fonctionnel de ces produits. Or, cela devient une nécessité dans une période ou la fraude aux paiements explose aussi bien en France que dans le reste du monde. Pourquoi une gestion manuelle de la trésorerie peut être un poids et un risque pour les PME ? Les PME doivent s’adapter à chaque instant, avec à leur disposition des solutions surdimensionnées ou sous dimensionnées en fonction de leur situation. Avec l’usage encore répandu d’EXCEL, elles vont saisir leurs prévisions de trésorerie et y associer les solutions de web banking proposées par leurs banques. C’est une alternative peu coûteuse mais complètement manuelle qui impose la saisie de son prévisionnel, ainsi que tous les mouvements passés en banque(s). Avec ce genre de méthode, il est impossible de sécuriser ses opérations, et d’ajuster ses prévisions en fonction des encaissements et décaissements constatés chaque jour sur les comptes. SI vous ajoutez à cela, le fait que bien souvent, la PME peut travailler avec 3 ou 4 banques, il faut alors récupérer les mouvements sur chaque site bancaire, avec un mode opératoire et des identifiants forcément différents. Ces saisies et mises à jour génèrent forcément des erreurs, le plus souvent chronophages et les ressources mobilisées ne sont plus disponibles pour des tâches à meilleure valeur ajoutée comme : les décisions financières, le contrôle des frais, le contrôle des règlements MATA I/O est un progiciel conçu sur mesure et pensé pour les PME, disponible dans le Cloud. Comment automatiser et sécuriser ces flux provenant de diverses applications et soumis à des workflows de validation variés ? Il est possible de centraliser et de garantir la fiabilité d’un IBAN et de vérifier qu’il a été bien saisi. Qu’il provienne de l’ERP, de la paie ou des moyens de paiement, MATA I/O a pensé et développé pour les PME, la solution de gestion de trésorerie associée à une plateforme de paiement complètement sécurisée. Pour Marie-Thérèse Brogly : « Il est évident, qu’aujourd’hui, les PME, tout comme les grands groupes ont les mêmes besoins de sécurité et de productivité. L’équipe MATA a donc mis au point une solution qui permet d’associer la trésorerie à la sécurité. Cette solution traite toutes les problématiques de fraude et de gestion du cash auxquelles sont aujourd’hui confrontées les PME. » MATA I/O propose dans son offre intégrée les solutions suivantes : la communication bancaire EBICS TS, valable pour toutes les banques. Avec EBICS TS, on en a fini des consultations, envois ou encore des clés de signature monobancaires ! la vérification des IBAN des fournisseurs à chaque campagne de règlement, le cryptage des fichiers de paiement et des IBAN pour se protéger des attaques informatiques, l’hébergement sécurisé en mode SaaS via le Cloud. Cette solution soulage des contraintes d’infrastructure technique ou informatique et garantit une sécurité optimale. MATA a pensé et développé la solution de gestion de trésorerie intuitive, dédiée aux PME. Comment fonctionne ce progiciel de trésorerie ? La solution de trésorerie est simplifiée au maximum. Interopérable, elle s’interface aux ERP’s mais aussi aux outils comptables. De manière à générer un prévisionnel de trésorerie qui sera mis à jour automatiquement par intégration des relevés de comptes. Elle affiche les soldes et positions de l’ensemble des sociétés et banques en euros et en devise de manière instantanée. Les devises et cours sont également mis à jour automatiquement par la Banque de France. Cette solution de gestion de trésorerie garantit une parfaite étanchéité, ainsi qu’une séparation des tâches grâce à son approche collaborative et sécurisée. Toute l’équipe de MATA a souhaité faciliter le quotidien des trésoriers et dirigeants de PME ! Marie-Thérèse Brogly plébiscite la démocratisation de la gestion de trésorerie – « Oui, la trésorerie ne doit pas être réservée aux initiés, à nos yeux. Le gérant d’une PME doit pouvoir comprendre ses positions et suivre l’évolution de sa trésorerie en un seul coup d’œil. Il doit être en capacité de signer ses fichiers de règlement en une seule fois, avec une clé de signature unique. Et cela en toute sécurité, avec l’assurance que l’ensemble de ses fichiers de règlements ont été contrôlés auparavant. Pour répondre à ces besoins, nous avons conçu pour vous, notre offre de trésorerie PME et nous l’avons appelée SECURE e LINK. » Contactez MATA pour en savoir +
Pourquoi l’IT et la finance ont-ils tout intérêt à travailler ensemble ?

L’IT et la Finance – Le DAF et le DSI ne collaborent pas forcément. Pourtant, les bénéfices d’un tel partenariat sont nombreux. Voici trois pistes pour rapprocher les deux départements et les effets bénéfiques que l’on peut en attendre. De nombreux responsables financiers et IT se comportent comme des adversaires, une opposition exacerbée par l’inflation qui augmente et des budgets qui diminuent. La nécessité d’un partenariat entre les deux est pourtant essentielle pour les entreprises – de plus en plus nombreuses – qui cherchent à mener une transformation digitale de leurs opérations financières. Selon une enquête de Workday (éditeur de SIRH, mais aussi d’outils de gestion comptable), parmi les entreprises qui constatent que leurs directions financières et leurs DSI ne travaillent pas étroitement ensemble, seuls 28 % auraient lancé un projet de « digitalisation » de leurs finances (un chantier qui va au-delà de la simple numérisation). Pour y remédier, voici quelques stratégies que les DAF et les DSI peuvent mettre en œuvre pour améliorer leurs relations. 1. Créer des équipes « mixtes » informatiques e17t finances La création de groupes de travail composés de membres des deux directions peut grandement améliorer la prise de décision, car les employés des services IT et financiers peuvent apporter leurs expertises respectives, surtout lorsque le sujet (ou le projet) concerne les deux départements. La formation de groupes de ce type peut aussi contribuer à mettre en évidence les points communs cachés entre la finance et l’informatique. Le fait de confier à une personne du département financier la tâche de devenir un expert des opérations informatiques, et à l’inverse à un employé de l’IT celle de se familiariser avec le département financier s’avère souvent très efficace. « Vous pouvez aussi avoir un responsable financier dans l’équipe informatique et vice versa », ajoute Dave Roberson, président de RoseRyan, une société de conseil en finance et en comptabilité du groupe ZRG Partners. 2. Mieux comprendre les activités de l’autre service Les DAF et les DSI ne se rendent souvent pas compte du peu qu’ils savent des besoins et des objectifs de l’autre groupe. La technologie est souvent la dépense la plus importante pour une entreprise, estime Khalid Kark, directeur de la recherche sur les DSI chez Deloitte. En retour, la complexité de l’environnement IT et le recours à des fournisseurs externes brouillent la valeur créée par l’informatique et peuvent rendre peu clairs les besoins réels de l’entreprise en outils technologiques. Résultats, les DAF peuvent trouver facile de refuser les demandes d’investissement IT. Les responsables financiers et les responsables informatiques doivent donc s’efforcer de mieux comprendre les priorités de l’autre département. L’IT peut généralement faire un meilleur travail de « marketing des besoins informatiques », et la finance peut faire un meilleur travail pour comprendre plus finement la valeur apportée par le numérique et les besoins de l’informatique. 3. Inviter l’IT et la finance à brainstormer sur des stratégies Le DAF et le DSI peuvent demander aux membres de leur département de réfléchir eux-mêmes à la manière d’améliorer la collaboration entre les deux entités. Les employés peuvent avoir des idées sur leur collaboration actuelle avec d’autres départements ou sur des processus de travail qui, selon eux, pourraient se dérouler plus harmonieusement. Par exemple, les membres du département informatique peuvent suggérer des moyens d’automatiser – et donc d’accélérer – le travail du département financier sur le budget annuel (et en particulier sur celui de l’IT). Les bienfaits de la collaboration entre la finance et l’IT Une meilleure collaboration entre finance et informatique peut apporter un certain nombre d’avantages globaux aux entreprises. De meilleurs investissements technologiques Selon Khalid Kark, le principal avantage d’un partenariat solide entre le DSI et le DAF est la discipline financière, c’est-à-dire une transparence et une responsabilité accrues en matière d’investissements technologiques. De nombreuses organisations passent encore trop de temps à élaborer des analyses de rentabilité sans suivre les performances des investissements par la suite (ce qui est tout aussi, si ce n’est plus important). Les directeurs financiers peuvent aussi aider à désigner en amont des responsables pour la création de valeur et ainsi optimiser cette valeur et son suivi, ajoute Khalid Kark. Amélioration de la sécurité des informations et de la conformité Avec l’aide de l’informatique, les pratiques de sécurité du département financier vont probablement s’améliorer. La nécessité de protéger les données sensibles n’a jamais été aussi grande. Finance et IT ont tout à gagner à s’attaquer ensemble aux risques posés par les activités cybercriminelles. Il en va de même pour les exigences de conformité. Meilleure prise de décision budgétaire Lorsque le DAF et le DSI travaillent fréquemment ensemble, les discussions difficiles sur le budget deviendront probablement plus faciles. Si ces départements entretiennent déjà de solides relations de travail, le DAF et le DSI seront probablement plus à même de débloquer des budgets, de répartir équitablement les fonds, voire de prendre des décisions difficiles qui profiteront à l’ensemble de l’entreprise. Source : Le Mag IT