MATA IO : La solution antifraude pour une trésorerie sécurisée

trésorerie sécurisée

Depuis plus de deux décennies, MATA a été aux côtés de nombreuses entreprises françaises, les guidant dans le choix et la mise en place de leurs solutions de trésorerie sécurisée. Cependant, face à une hausse spectaculaire des fraudes en France et dans le monde, MATA a réalisé que les solutions de trésorerie existantes, hyperspécialisées, ne répondent pas aux besoins de sécurité des entreprises. C’est pourquoi ils ont développé MATA IO, une solution innovante de contrôle des tiers et des virements. Une réponse aux besoins de sécurité des entreprises Conscientes de l’importance d’une visibilité accrue sur leur trésorerie pour prendre des décisions éclairées, les entreprises françaises recherchent également des solutions pour sécuriser leurs paiements. Toutefois, peu d’offres sur le marché répondent à cette double exigence. MATA IO s’est donc donné pour mission de combler ce vide en proposant une solution de gestion de trésorerie efficace, intégrant un système de paiement entièrement sécurisé. Une solution adaptable et modulaire Pour les entreprises qui sont déjà équipées d’une solution de trésorerie satisfaisante mais qui n’offre pas de fonctionnalité antifraude, la solution MATA IO existe aussi dans une version modulaire pour compléter et sécuriser une plate-forme de trésorerie existante. MATA IO a été conçu pour s’intégrer facilement aux systèmes informatiques des entreprises, assurant ainsi une couverture complète du risque de fraude. Quel que soit le logiciel de gestion de trésorerie utilisé, MATA IO s’interface harmonieusement, permettant même, le moment venu, une transition vers un nouvel outil sans remettre en cause le dispositif antifraude. Une automatisation complète pour une sécurité optimale Grâce à son automatisation avancée, MATA IO détecte systématiquement tout ajout ou modification d’IBAN et effectue une vérification des fichiers de règlement avant leur envoi en banque. En s’appuyant sur les meilleures bases de données bancaires et légales, MATA IO assure la validation automatique des IBAN des tiers pour éviter toute tentative de fraude. Une intégration fluide et discrète Lorsque MATA IO est combiné à la solution de trésorerie existante de l’entreprise, il devient une solution antifraude parfaitement intégrée au système informatique. Travaillant en arrière-plan de manière silencieuse, il ne se manifeste qu’en cas d’anomalie potentielle, garantissant ainsi un flux de travail inchangé mais sécurisé. Conclusion MATA IO se positionne comme un partenaire de confiance pour les entreprises cherchant à renforcer la sécurité de leur trésorerie face à la menace croissante de la fraude. Grâce à son approche modulaire et à son intégration fluide, cette solution antifraude offre une protection essentielle tout en préservant l’efficacité des outils de gestion de trésorerie déjà en place. Avec MATA IO, les entreprises peuvent faire face à la fraude en protégeant leur trésorerie et leurs transactions des menaces potentielles. Contactez MATA pour en savoir +    

Comment faire un prévisionnel dans sa gestion de trésorerie ?

gestion de trésorerie

Après des années de taux bas et d’accès au crédit facile, on l’avait un peu oublié, mais la gestion de la trésorerie est cruciale pour toutes les entreprises. Une mauvaise gestion de la trésorerie peut entraîner des problèmes de liquidités, des retards de paiement aux fournisseurs, aux salariés et même mettre en péril la survie de l’entreprise. C’est pourquoi, il est essentiel de faire un prévisionnel de trésorerie. La prévision de trésorerie permet de prévoir les entrées et les sorties d’argent, en prenant en compte les revenus attendus, les dépenses prévues et d’autres facteurs conjoncturels qui peuvent influencer la trésorerie de l’entreprise. Mais, l’établissement d’une prévision de trésorerie efficace nécessite une analyse approfondie des flux de trésorerie passés, des tendances du secteur d’activité et des cycles d’exploitation de l’entreprise. Comment établir un prévisionnel de trésorerie correct de manière simple ? Il va falloir commencer par rassembler les données historiques sur les flux de trésorerie passés et identifier les tendances, puis travailler sur : L’estimation des revenus : Prévoir les revenus futurs en fonction des ventes prévues et des conditions du marché. La projection des dépenses : Identifier et estimer les coûts opérationnels, les salaires, les frais généraux, etc… Mais tenir compte aussi de facteurs externes tels que les taux d’intérêt, les fluctuations des devises, les conditions économiques générales, etc. Et pour finir, réviser régulièrement sa prévision de trésorerie pour tenir compte des changements survenus dans son environnement. Quels sont les outils de gestion de trésorerie proposés aux entreprises ? Toutes les opérations listées ci-dessus sont réalisables dans un tableur, certes, mais au prix de combien de temps ? Pour faciliter l’établissement des prévisions de trésorerie, de nombreux outils et logiciels sont disponibles. Ces outils automatisent le processus et fournissent des fonctionnalités telles que l’intégration avec les systèmes de comptabilité, l’analyse des données historiques ou la génération de rapports. Mais ces outils de budget sont souvent déconnectés de la gestion de trésorerie quotidienne et du fait, obligent l’utilisateur à faire des prévisions moyen/long terme dans un logiciel et à gérer ses relations bancaires dans un autre. Or, il existe des solutions intégrées, des logiciels de trésorerie dimensionnés pour les PME et capables de répondre à ces problématiques. Ces outils incluent les fonctionnalités primordiales, à savoir, le prévisionnel de trésorerie, le contrôle des IBAN payés, le reporting, ainsi que le suivi des financements, des placements et des comptes en devises. L’objectif de ces solutions intégrées consiste à regrouper les volets paiements et gestion de trésorerie dans la même solution. Le but reste d’anticiper sa trésorerie au mieux, mais aussi de gagner du temps et de simplifier les tâches des utilisateurs.   La société MATA IO s’est positionnée sur ce marché avec l’offre MATA IO Secure E Link qui propose un espace unique et sécurisé pour l’ensemble des opérations de trésorerie.  Et répondre ainsi aux besoins de visibilité et d’automatisation devenus indispensables aux PME pour renforcer leur position financière globale dans un contexte économique devenu plus difficile et moins prévisible. Contactez MATA pour en savoir +    

Trésorerie des PME : MATA IO offre une solution intégrée pour sécuriser, simplifier, optimiser

La trésorerie des PME : un enjeu décisif pour pérenniser son activité. MATA IO répond à ces problématiques avec sa solution intégrée pour sécuriser ses paiements et gérer sa trésorerie. Les petites et moyennes entreprises devront s’armer pour affronter cette année 2023. Plusieurs difficultés les fragilisent : flambée des coûts de l’énergie, pénurie de main d’œuvre, remboursement des PGE, pression sur les salaires, relance de l’Urssaf après le covid. Les TPE-PME ne seront pas non plus épargnées par les problèmes de trésorerie. Le contexte, en effet, n’est pas favorable, notamment avec l’augmentation du coût du crédit, et la bonne santé financière des entreprises connue ces dernières années , tendrait à décliner. Une entreprise rentable a besoin de fonds de roulement L’augmentation des taux d’intérêts, jusqu’alors très faibles, ne semble pas impacter l’accès au crédit. Les entreprises continuent d’emprunter. Les banques ne constatent pas encore de ralentissement sur les projets d’investissement. Mais le président de la CPME, François Asselin, met en garde : « Si l’accès au crédit bancaire se durcit, les entreprises commenceront à se désendetter et ralentiront leurs investissements », explique-t-il dans un article des Echos.   Or une entreprise rentable qui développe son activité a surtout besoin de fonds de roulement pour voir plus loin, évoluer, investir. Encore faut-il pouvoir gérer correctement sa trésorerie, ses comptes, ses banques, ses paiements mais aussi le risque de fraude. C’est toute la difficulté des PME qui n’ont pas toujours une personne dédiée à ce poste clé. MATA IO Secure E Link se positionne pour la trésorerie des PME. Il existe des solutions intégrées, des logiciels de trésorerie dimensionnés pour les PME et capables de répondre à des problématiques variées. Ces outils incluent les fonctionnalités primordiales, à savoir, le prévisionnel de trésorerie, le contrôle des IBAN payés, le reporting, ainsi que le suivi des financements, des placements et des comptes en devises.   L’idée est de regrouper les volets paiements et gestion de trésorerie dans la même solution. Le but est de gagner du temps, de simplifier les tâches, d’anticiper aussi. La société MATA IO s’est positionnée avec l’offre MATA IO Secure E Link qui propose un espace unique sécurisé pour l’ensemble des opérations de trésorerie et répond aux besoins d’automatisation devenus indispensables aux PME dans ce contexte. Contactez MATA pour en savoir +    

Tableau de flux de trésorerie : future star des annexes ?

L’ANC a publié un projet de modernisation des états financiers. Il prévoit notamment la possibilité d’intégrer dans les annexes un tableau de flux de trésorerie. Ce document est plus facile … L’ANC a publié un projet de modernisation des états financiers. Il prévoit notamment la possibilité d’intégrer dans les annexes un tableau de flux de trésorerie. Ce document est plus facile d’accès pour les non-initiés à la finance (projet de règlement du 1er février 2022 modifiant le règlement ANC n°2014-03 du 5 juin 2014). Modernisation des états financiers et tableau de flux de trésorerie Le projet de règlement récemment divulgué par l’autorité des normes comptables (ANC) vise à moderniser la présentation des comptes annuels. L’ANC précisera prochainement la date d’entrée en vigueur du texte. Il prévoit notamment : une nouvelle définition du résultat exceptionnel qui exclurait de fait les sorties d’immobilisation et la quote-part de subvention d’investissement virée au résultat (enregistrement désormais en résultat d’exploitation ou résultat financier pour les immobilisations financières) la suppression des transferts de charges une mise à jour du plan de comptes une nouvelle présentation des annexes. Le projet de texte prévoit en effet une nouvelle présentation de l’annexe par type d’information et non plus comme dans le PCG actuel, par catégorie d’entités. Des modèles de tableaux normés sont prévus et seront : soit à caractère obligatoire (articles réglementaires) soit à caractère indicatif (commentaires infra-réglementaires). En outre, il sera possible d’introduire un tableau des flux de trésorerie dans l’annexe des comptes annuels, avec des informations relatives à son élaboration. ​L’intérêt du tableau Dans le cadre de la loi sur les préventions des difficultés (loi du 1er mars 1984), certaines entreprises ont l’obligation d’établir plusieurs documents tels un tableau de financement, un compte de résultat prévisionnel et un plan de financement prévisionnel. L’ANC propose à ce titre des modèles en infra-réglementaire pour répondre notamment à ces exigences réglementaires. Il est préconisé désormais d’utiliser un tableau de flux de trésorerie plutôt qu’un tableau de financement classique. Modèle : projet de règlement du 1er février 2022   Le tableau de flux de trésorerie présente l’avantage de la simplicité de compréhension même pour les non-initiés. Il permet d’analyser la génération de trésorerie au cours du dernier exercice en distinguant : les flux de trésorerie liés à l’activité : ils sont déterminés à partir du résultat net en retraitant les charges et produits sans mouvement de trésorerie, et en déduisant la variation du BFR (besoin en fonds de roulement) afin de tenir compte des délais de paiement les flux de trésorerie liés aux opérations d’investissement : acquisitions et ventes d’immobilisations au cours de l’exercice les flux de trésorerie liés aux opérations de financement : versement de dividendes, augmentation de capital, émission et remboursement d’emprunts. Source : Projet de règlement du 1er février 2022 modifiant le règlement ANC n°2014-03 du 5 juin 2014 Source : Legifiscal

Pourquoi avoir réalisé une enquête de satisfaction ?

Quel est le principal atout d’une entreprise ? Ses clients ! Pour mesurer leur satisfaction à un instant donné et de manière rapide, on n’a pas trouvé mieux que le questionnaire en ligne, qui n’est d’ailleurs pas incompatible avec l’organisation de RDV réguliers en présentiel avec les commerciaux. Les deux sont nécessaires pour fidéliser ses clients, qui de plus recommanderont le service ou la marque, attirant ainsi de nouveaux clients. Pour créer ce cercle vertueux, toutes les entreprises sont centrées sur les besoins de ses clients et font en sorte d’y répondre au mieux, en matière de produits et de services. Mais comment être bien sûrs d’être dans le vrai et que les clients sont effectivement contents ? En mesurant la satisfaction clients : En surveillant les retours clients auprès des commerciaux et des techniciens, certes. Mais pour obtenir un retour plus exhaustif, l’enquête de satisfaction reste la méthode de mesure la plus utilisée. En effet, c’est celle qui offre le meilleur équilibre entre fiabilité et contraintes. C’est ce qui a poussé MATA à créer son questionnaire qui vous a été adressé voici quelques jours par mail.   À quoi va servir ce questionnaire de satisfaction ? Vos réponses vont nous permettre de mesurer votre degré de satisfaction, mais surtout d’analyser si des changements sont nécessaires pour améliorer le niveau de nos prestations. Autrement dit, notre enquête n’est pas qu’un instrument de mesure. Mais c’est aussi un des socles sur lesquels s’appuie notre stratégie de développement des produits et des services proposés.   Quels sont nos objectifs ? Disposer d’indicateurs objectifs de la satisfaction client Améliorer nos offres et notre niveau de service Identifier les attentes clients et les évolutions du marché Mobiliser les collaborateurs, résultats factuels à l’appui Communiquer avec nos clients et leur signifier que leur satisfaction est au cœur de nos préoccupations Et, pour finir, innover sur des bases sûres   Quel genre de questionnaire avons-nous voulu ? Evidemment, nous avions envie de vous poser des tas de questions, sur tous les sujets, mais il a fallu nous raisonner et penser au temps que vous aurez à y consacrer. Nous savons que cette fin d’année sera chargée pour nous tous, aussi avons-nous revu nos ambitions à la baisse pour vous soumettre un questionnaire court auquel vous pourrez répondre en moins de 5 minutes. On vous a demandé de renseigner : vos coordonnées, les produits utilisés et de noter sur 5 : Les fonctionnalités du ou des produits La mise en œuvre La qualité du support et de la relation commerciale. Et de laisser un commentaire, mais de manière non obligatoire. On ne pouvait pas faire plus court ! Aussi, nous vous engageons à répondre quand vous aurez un petit moment car cette enquête est importante pour nous, mais pour vous aussi.   Quels seront les effets de cette enquête pour vous ? Une communication transparente des résultats de l’enquête Une bonne prise en compte de vos préoccupations et besoins Une amélioration de la qualité de notre service Des retours factuels auprès de nos éditeurs   Nous vous remercions de bien vouloir prendre 5 petites minutes pour répondre au questionnaire qui vous a été adressé par mail, mais que vous pourrez également remplir en cliquant sur le lien suivant.   Contactez MATA pour en savoir +    

Un nouveau progiciel de trésorerie conçu sur mesure dédié aux PME

MATA accompagne depuis plus de 20 ans des centaines de sociétés françaises et européennes dans le choix et l’implémentation de leur solution de trésorerie. En parallèle, MATA a développé MATA IO, un des meilleurs progiciels sur le marché, pour répondre aux besoins de chaque entreprise quel que soit l’environnement technique, économique et/ou humain. « Des besoins spécifiques pour chaque PME afin de gérer leur trésorerie » Marie-Thérèse BROGLY, Dirigeante de MATA I/O, partage son expertise du terrain. Pourquoi créer un nouveau progiciel de trésorerie dédié aux PME alors qu’il en existe déjà ? « Notre réflexion part du constat que les PME françaises sont généralement peu équipées. Elles sont bien évidement convaincues qu’il faut avoir une bonne visibilité sur son cash, être capable d’anticipation pour prendre les bonnes décisions, et surtout être en mesure de sécuriser ses paiements. Cependant, il existe peu d’offres capables de répondre à leurs besoins. » Les PME peuvent trouver deux types de produits sur le marché : des progiciels de trésorerie très pointus, les TMS (Treasury Management System) qui sont le plus souvent peu adaptés et bien trop chers pour elles ; des petites solutions de suivi manuel de trésorerie, qui ne sont absolument pas interopérables. Dans les deux cas, la sécurité des tiers et des paiements ne fait aucunement partie du périmètre fonctionnel de ces produits. Or, cela devient une nécessité dans une période ou la fraude aux paiements explose aussi bien en France que dans le reste du monde. Pourquoi une gestion manuelle de la trésorerie peut être un poids et un risque pour les PME ? Les PME doivent s’adapter à chaque instant, avec à leur disposition des solutions surdimensionnées ou sous dimensionnées en fonction de leur situation. Avec l’usage encore répandu d’EXCEL, elles vont saisir leurs prévisions de trésorerie et y associer les solutions de web banking proposées par leurs banques. C’est une alternative peu coûteuse mais complètement manuelle qui impose la saisie de son prévisionnel, ainsi que tous les mouvements passés en banque(s). Avec ce genre de méthode, il est impossible de sécuriser ses opérations, et d’ajuster ses prévisions en fonction des encaissements et décaissements constatés chaque jour sur les comptes. SI vous ajoutez à cela, le fait que bien souvent, la PME peut travailler avec 3 ou 4 banques, il faut alors récupérer les mouvements sur chaque site bancaire, avec un mode opératoire et des identifiants forcément différents. Ces saisies et mises à jour génèrent forcément des erreurs, le plus souvent chronophages et les ressources mobilisées ne sont plus disponibles pour des tâches à meilleure valeur ajoutée comme : les décisions financières, le contrôle des frais, le contrôle des règlements   MATA I/O est un progiciel conçu sur mesure et pensé pour les PME, disponible dans le Cloud. Comment automatiser et sécuriser ces flux provenant de diverses applications et soumis à des workflows de validation variés ? Il est possible de centraliser et de garantir la fiabilité d’un IBAN et de vérifier qu’il a été bien saisi. Qu’il provienne de l’ERP, de la paie ou des moyens de paiement, MATA I/O a pensé et développé pour les PME, la solution de gestion de trésorerie associée à une plateforme de paiement complètement sécurisée. Pour Marie-Thérèse Brogly : « Il est évident, qu’aujourd’hui, les PME, tout comme les grands groupes ont les mêmes besoins de sécurité et de productivité. L’équipe MATA a donc mis au point une solution qui permet d’associer la trésorerie à la sécurité. Cette solution traite toutes les problématiques de fraude et de gestion du cash auxquelles sont aujourd’hui confrontées les PME. » MATA I/O propose dans son offre intégrée les solutions suivantes : la communication bancaire EBICS TS, valable pour toutes les banques. Avec EBICS TS, on en a fini des consultations, envois ou encore des clés de signature monobancaires ! la vérification des IBAN des fournisseurs à chaque campagne de règlement, le cryptage des fichiers de paiement et des IBAN pour se protéger des attaques informatiques, l’hébergement sécurisé en mode SaaS via le Cloud. Cette solution soulage des contraintes d’infrastructure technique ou informatique et garantit une sécurité optimale.   MATA a pensé et développé la solution de gestion de trésorerie intuitive, dédiée aux PME. Comment fonctionne ce progiciel de trésorerie ? La solution de trésorerie est simplifiée au maximum. Interopérable, elle s’interface aux ERP’s mais aussi aux outils comptables. De manière à générer un prévisionnel de trésorerie qui sera mis à jour automatiquement par intégration des relevés de comptes. Elle affiche les soldes et positions de l’ensemble des sociétés et banques en euros et en devise de manière instantanée. Les devises et cours sont également mis à jour automatiquement par la Banque de France. Cette solution de gestion de trésorerie garantit une parfaite étanchéité, ainsi qu’une séparation des tâches grâce à son approche collaborative et sécurisée. Toute l’équipe de MATA a souhaité faciliter le quotidien des trésoriers et dirigeants de PME ! Marie-Thérèse Brogly plébiscite la démocratisation de la gestion de trésorerie – « Oui, la trésorerie ne doit pas être réservée aux initiés, à nos yeux. Le gérant d’une PME doit pouvoir comprendre ses positions et suivre l’évolution de sa trésorerie en un seul coup d’œil. Il doit être en capacité de signer ses fichiers de règlement en une seule fois, avec une clé de signature unique. Et cela en toute sécurité, avec l’assurance que l’ensemble de ses fichiers de règlements ont été contrôlés auparavant. Pour répondre à ces besoins, nous avons conçu pour vous, notre offre de trésorerie PME et nous l’avons appelée SECURE e LINK. » Contactez MATA pour en savoir +    

Pourquoi l’IT et la finance ont-ils tout intérêt à travailler ensemble ?

L’IT et la Finance – Le DAF et le DSI ne collaborent pas forcément. Pourtant, les bénéfices d’un tel partenariat sont nombreux. Voici trois pistes pour rapprocher les deux départements et les effets bénéfiques que l’on peut en attendre. De nombreux responsables financiers et IT se comportent comme des adversaires, une opposition exacerbée par l’inflation qui augmente et des budgets qui diminuent. La nécessité d’un partenariat entre les deux est pourtant essentielle pour les entreprises – de plus en plus nombreuses – qui cherchent à mener une transformation digitale de leurs opérations financières. Selon une enquête de Workday (éditeur de SIRH, mais aussi d’outils de gestion comptable), parmi les entreprises qui constatent que leurs directions financières et leurs DSI ne travaillent pas étroitement ensemble, seuls 28 % auraient lancé un projet de « digitalisation » de leurs finances (un chantier qui va au-delà de la simple numérisation). Pour y remédier, voici quelques stratégies que les DAF et les DSI peuvent mettre en œuvre pour améliorer leurs relations. 1. Créer des équipes « mixtes » informatiques e17t finances La création de groupes de travail composés de membres des deux directions peut grandement améliorer la prise de décision, car les employés des services IT et financiers peuvent apporter leurs expertises respectives, surtout lorsque le sujet (ou le projet) concerne les deux départements. La formation de groupes de ce type peut aussi contribuer à mettre en évidence les points communs cachés entre la finance et l’informatique. Le fait de confier à une personne du département financier la tâche de devenir un expert des opérations informatiques, et à l’inverse à un employé de l’IT celle de se familiariser avec le département financier s’avère souvent très efficace. « Vous pouvez aussi avoir un responsable financier dans l’équipe informatique et vice versa », ajoute Dave Roberson, président de RoseRyan, une société de conseil en finance et en comptabilité du groupe ZRG Partners. 2. Mieux comprendre les activités de l’autre service Les DAF et les DSI ne se rendent souvent pas compte du peu qu’ils savent des besoins et des objectifs de l’autre groupe. La technologie est souvent la dépense la plus importante pour une entreprise, estime Khalid Kark, directeur de la recherche sur les DSI chez Deloitte. En retour, la complexité de l’environnement IT et le recours à des fournisseurs externes brouillent la valeur créée par l’informatique et peuvent rendre peu clairs les besoins réels de l’entreprise en outils technologiques. Résultats, les DAF peuvent trouver facile de refuser les demandes d’investissement IT. Les responsables financiers et les responsables informatiques doivent donc s’efforcer de mieux comprendre les priorités de l’autre département. L’IT peut généralement faire un meilleur travail de « marketing des besoins informatiques », et la finance peut faire un meilleur travail pour comprendre plus finement la valeur apportée par le numérique et les besoins de l’informatique. 3. Inviter l’IT et la finance à brainstormer sur des stratégies Le DAF et le DSI peuvent demander aux membres de leur département de réfléchir eux-mêmes à la manière d’améliorer la collaboration entre les deux entités. Les employés peuvent avoir des idées sur leur collaboration actuelle avec d’autres départements ou sur des processus de travail qui, selon eux, pourraient se dérouler plus harmonieusement. Par exemple, les membres du département informatique peuvent suggérer des moyens d’automatiser – et donc d’accélérer – le travail du département financier sur le budget annuel (et en particulier sur celui de l’IT). Les bienfaits de la collaboration entre la finance et l’IT Une meilleure collaboration entre finance et informatique peut apporter un certain nombre d’avantages globaux aux entreprises. De meilleurs investissements technologiques Selon Khalid Kark, le principal avantage d’un partenariat solide entre le DSI et le DAF est la discipline financière, c’est-à-dire une transparence et une responsabilité accrues en matière d’investissements technologiques. De nombreuses organisations passent encore trop de temps à élaborer des analyses de rentabilité sans suivre les performances des investissements par la suite (ce qui est tout aussi, si ce n’est plus important). Les directeurs financiers peuvent aussi aider à désigner en amont des responsables pour la création de valeur et ainsi optimiser cette valeur et son suivi, ajoute Khalid Kark. Amélioration de la sécurité des informations et de la conformité Avec l’aide de l’informatique, les pratiques de sécurité du département financier vont probablement s’améliorer. La nécessité de protéger les données sensibles n’a jamais été aussi grande. Finance et IT ont tout à gagner à s’attaquer ensemble aux risques posés par les activités cybercriminelles. Il en va de même pour les exigences de conformité. Meilleure prise de décision budgétaire Lorsque le DAF et le DSI travaillent fréquemment ensemble, les discussions difficiles sur le budget deviendront probablement plus faciles. Si ces départements entretiennent déjà de solides relations de travail, le DAF et le DSI seront probablement plus à même de débloquer des budgets, de répartir équitablement les fonds, voire de prendre des décisions difficiles qui profiteront à l’ensemble de l’entreprise. Source : Le Mag IT

Flux de trésorerie d’exploitation

Flux de trésorerie d’exploitation : comprendre, interpréter et décider Un flux de trésorerie est une entrée ou une sortie de liquidités. Le paiement d’une facture fournisseur, le prélèvement d’une échéance de prêt et le règlement d’une créance client sont autant d’exemples qui illustrent ces mouvements financiers. Les flux de trésorerie d’exploitation correspondent aux encaissements et aux décaissements générés par l’activité courante d’une entreprise. Quel intérêt présentent-ils ? Quelles informations, utiles à la prise de décision, procurent-ils aux entrepreneurs ? Appelés cash flow en anglais, ils sont des indicateurs objectifs de la santé financière d’une entreprise et une aide précieuse pour le pilotage financier. La place du flux de trésorerie d’exploitation dans le tableau de flux de trésorerie La trésorerie est un concept clé dans la gestion des entreprises. Son analyse s’effectue à partir du tableau de flux de trésorerie (TFT). Elle a pour buts de prévenir les risques de défaillance et de compléter l’étude du bilan et du compte de résultat. Qu’est-ce que le tableau de flux de trésorerie ? Le tableau de flux de trésorerie est un document de synthèse comptable qui explique la variation des entrées et des sorties d’argent sur une année. Il informe aussi sur l’emploi des liquidités sur la période et fournit la situation de la trésorerie en fin d’exercice. Il n’est pas obligatoire en France sauf pour les entreprises soumises à la tenue des comptes consolidés. Le tableau décompose les flux de trésorerie en 3 cycles : les opérations d’exploitation regroupent les encaissements et décaissements produits par l’activité ; les investissements comportent, par exemple, les achats et cessions d’immobilisations ; les financements concernent, notamment, les augmentations de capital en numéraire. Calcul du flux de trésorerie d’exploitation Le flux de trésorerie d’exploitation d’une entreprise figure en haut du TFT. Deux méthodes de calcul permettent de le déterminer. La méthode directe, moins utilisée, s’appuie sur le résultat d’exploitation retraité de la variation du besoin en fonds de roulement (BFR). Elle classe les produits et les charges par rubriques et possède une valeur explicative. La méthode indirecte est toutefois privilégiée puisqu’elle se construit à partir du bénéfice net (ou de la perte) inscrit au compte de résultat. Opérations d’exploitation Résultat net – Amortissements et provisions – Plus ou moins-values de cession = Marge brute d’autofinancement – Variation du BFR (stocks, créances, dettes) Flux net de trésorerie lié à l’activité Comment interpréter le résultat du flux de trésorerie lié à l’activité ? Pour mieux interpréter le résultat du flux net de trésorerie lié à l’activité, l’entrepreneur doit se familiariser avec les notions de marge brute d’autofinancement et de besoin en fonds de roulement. Comprendre les notions de marge brute d’autofinancement (MBA) et de variation du BFR Dans le cas de la méthode directe, le TFT fait apparaître la marge brute d’autofinancement qui exprime le flux potentiel de trésorerie. Il s’agit de la marge dégagée par l’activité de l’entreprise. Elle ne prend pas en compte les décalages de paiements, c’est pourquoi elle est retraitée de la variation du besoin en fonds de roulement entre l’exercice en cours (N) et le précédent (N-1). Le BFR est, lui, constitué par la somme des stocks et des créances clients à laquelle on soustrait les dettes non financières. La variation du BFR est optimale quand la société maîtrise ses stocks, encaisse rapidement les règlements des clients et dispose de délais de paiement des fournisseurs convenables. Analyser le solde du flux net de trésorerie d’exploitation Un flux net de trésorerie d’exploitation positif indique clairement aux dirigeants, aux actionnaires et aux partenaires financiers, que l’entreprise est dans une situation économique assez saine et que ses activités sont rentables. Les marges dégagées sur ses ventes ou ses services sont suffisantes pour générer du cash. L’entreprise est en mesure de maintenir sa capacité opérationnelle. Elle gère son cycle d’exploitation (elle paie ses fournisseurs à échéance, collecte ses factures clients sans encombre…). La société rembourse ses emprunts. Elle dispose du cash nécessaire pour verser des dividendes. Elle finance le développement de sa production en partie ou en totalité. À l’inverse, un résultat négatif est souvent synonyme de difficultés. C’est un signal d’alerte fort pour un entrepreneur. Des mesures ciblées et efficaces se révèlent alors indispensables pour redresser les chiffres rapidement et éviter le risque de faillite. Cependant, il faut considérer qu’en phase de croissance ou de création, une entreprise affiche parfois une trésorerie négative. Elle traverse probablement une phase où le volume de dépenses liées à ses activités est supérieur à ses encaissements. Le flux de trésorerie d’exploitation comme outil d’aide à la décision Grâce à l’analyse du flux de trésorerie d’exploitation, l’entreprise est en mesure d’établir une stratégie financière en matière de production, d’investissement et de placement financier. Agir sur son cycle d’exploitation Si le flux net de trésorerie ne correspond pas à l’objectif attendu, la société doit trouver des solutions. Elle peut alors : revoir ses marges sur ses produits et services en tenant compte de son secteur d’activité ; réduire ses charges fixes ; maîtriser ses stocks ; organiser la gestion de sa trésorerie autour d’un plan prévisionnel, d’un suivi régulier et de procédures fiables. Comment optimiser la gestion de trésorerie d’entreprise ? Investir pour accroître son activité Face à un flux de trésorerie d’exploitation nettement excédentaire, un entrepreneur peut décider d’investir pour développer ou bien diversifier sa production. Une trésorerie disponible mobilisable sans délai et sans risque lui offre une capacité d’autofinancement totale ou en partie. Ce type de financement offre souplesse et agilité en matière de prise de décision. Le dirigeant opte pour la stratégie la plus adaptée à son secteur : croissance externe, interne ou renouvellement des immobilisations devenues obsolètes. Placer ses disponibilités À l’inverse, l’entreprise peut faire le choix de décaler ses investissements dans le temps pour augmenter sa trésorerie disponible ou préparer un projet de grande ampleur. Le recours à l’investissement est une réponse efficace pour sécuriser son argent tout en percevant des intérêts. De nombreuses solutions existent sur le marché. Avant de s’engager, il faut déterminer le niveau de risque, de rendement et de liquidité à atteindre. L’épargne classique comprend les dépôts à vue, à terme, ou les certificats de dépôt. Elle reste mobilisable, ne présente aucun danger, mais elle est peu rémunérée. Les solutions alternatives pour placer l’excédent de

Financement de la Trésorerie : quelles réponses peuvent apporter les trésoriers ?

gestion de trésorerie

 Inflation, hausse des taux… La situation économique et financière actuelle a de quoi préoccuper les trésoriers d’entreprise. Ils trouvent des réponses dans les couvertures et la diversification des financements.   Financement de la Trésorerie – Quelles sont les préoccupations des trésoriers d’entreprise au regard de la situation économique et financière actuelle ? « Ce qui anime tout le monde c’est la macro », souligne Daniel Biarneix, président de l’association françaises des trésoriers d’entreprise (AFTE), citant en premier lieu l’inflation et de la remontée anticipée des taux. Hausse de taux de +2,+3% L’inflation générale n’est en effet pas sans retentissement sur le monde des entreprises. « Cela a deux conséquences pour les entreprises : un risque de pincement sur la trésorerie d’exploitation si l’on arrive pas à répercuter l’inflation des coûts sur les prix de vente et l’augmentation des taux qui suivent l’inflation », rapporte Daniel Biarneix. En effet, même si la BCE ne montera ses taux courts qu’en juillet, l’anticipation fait que les taux longs ont déjà augmenté. « Par rapport à l’automne dernier, on enregistre déjà des hausses de l’ordre de +2,+3% », constate Daniel Biarneix. Par ailleurs, les marges demandées aux entreprises ont elles aussi augmenté, parfois même doublé. Et ce fortement sur le marché obligataire. « Le marché obligataire devient plus cher et d’accès plus difficile », résume Daniel Biarneix. Financement de la Trésorerie – Diversifier ses financements Face à ces problématiques, les trésoriers mettent en oeuvre différentes solutions. Vis-à-vis de l’inflation, tout d’abord, l’impact des hausses de coûts est limité grâce à des couvertures, notamment sur l’énergie. « Cela permet d’étaler dans le temps l’impact ds hausse de prix mais aussi de gagner en visibilité », précise Daniel Biarneix. Quant à la hausse des taux, c’est l’anticipation qui est de mise. En sécurisant les financements plus en avance que les besoins réels ou en augmentant la part fixe des emprunts. Daniel Biarneix conseille aussi de soigner la structure de son bilan, afin de rassurer les investisseurs. « Une autre façon de les rassurer est de raccourcir la maturité des dettes », avance-t-il. Il invite aussi à diversifier ses financements et de s’ouvrir, en plus des outils classiques de financement bancaires et obligataires, à des financements adossés à des actifs comme des titrisations de créances ou du factoring, ou encore à des financements de niches (Schuldschein par exemple). Source : DAF-MAG

SAGE XRT Advanced pour simplifier sa gestion de trésorerie

Nous avons interviewé Damien Noël et Adrien Weber, consultants Finance chez MATA sur le déploiement de Sage XRT Advanced : une solution full web de gestion de trésorerie. Depuis plus de 15 ans, Damien Noël (DN) officie chez MATA en qualité de consultant et de chef de projet Finance. Diplômé en comptabilité, Damien maitrise parfaitement les métiers de la trésorerie et peut répondre aux différentes problématiques du client. Il en est de même pour Adrien Weber (AW), issu d’une formation en audit et contrôle de gestion, qui a intégré l’équipe MATA il y a 4 ans de cela, pour accompagner les entreprises dans la mise en œuvre de logiciels financiers. MATA : distributeur de produits SAGE MATA a été créé en 1999 après la reprise de l’agence CERG FINANCE par des salariés. Editeur spécialiste de la sécurisation des tiers et règlements, MATA est également intégrateur de solutions de trésorerie, de liasse fiscale et de frais professionnels. Sage XRT Advanced, Sage XRT, Sage FRP 1000 Trésorerie et Sage FRP 1000 Immobilisations font partie du catalogue des solutions proposées par MATA. Sage XRT Solutions : une solution complète de trésorerie, de paiement et de communication bancaire. DN : « Connaitre sa situation précise de trésorerie, dès lors qu’on a plusieurs sociétés, plusieurs banques et devises, c’est très difficile à construire sans logiciel. Or la trésorerie qui n’était plus un sujet dans les entreprises l’est redevenue parce que la situation s’est tendue pour certaines d’entre elles. Et, on ne peut pas prendre les bonnes décisions sans connaître sa situation financière. » AW : « Rechercher manuellement de l’information financière sur des portails, c’est fastidieux. En revanche, si on ne les a pas, on pilote à vue. La digitalisation de sa trésorerie permet de sécuriser cette collecte d’informations ». Aujourd’hui, le pilotage d’une entreprise et la prise de décision se font après analyse de la situation du cash. La gestion est largement optimisée si toutes les informations nécessaires sont disponibles et lisibles en permanence. Destinée aux trésoriers et directions financières, Sage XRT Solutions est composée d’un ensemble de solutions collaboratives qui vous apporte une offre complète et modulable pour gérer votre trésorerie. Sage XRT Advanced (SXA) : la solution cloud innovante de trésorerie Solution complète et flexible, bien adaptée aux contextes internationaux, SAGE XRT ADVANCED permet de maîtriser ses liquidités réelles et prévisionnelles sur l’ensemble du périmètre groupe, de piloter la trésorerie nette et de prendre les bonnes décisions. DN : « Si le métier reste le même, la technologie a évolué pour moderniser le logiciel et le rendre plus performant. La gestion se réalise via une interface web avec une url et un simple navigateur. La prise en main est très facile ; nous gagnons en efficacité et en compréhension. Le système de filtrage des données que nous voulons voir afficher est tout aussi pratique. Nous pouvons créer nos propres indicateurs et modéliser les données. » AW : « Dans l’ancienne génération du produit, nous récupérions d’abord l’information et ensuite nous analysions les données. Aujourd’hui, l’analyse se fait en live, ce qui génère un gain de temps énorme. Dans la nouvelle génération de Dashboard, nous ajoutons les différents KPI’S, nous pouvons créer des indicateurs accessibles par catégorie d’utilisateurs. MATA a choisi Microsoft Azure pour héberger la solution, car il est parfaitement adapté aux développements Windows. C’est grâce au cloud de MICROSOFT très réputé pour son niveau de sécurité que MATA peut s’engager sur des taux de disponibilité élevés. Les clients bénéficieront de données sécurisées et sauvegardées, ce qui n’est pas toujours le cas lorsque le client internalise son informatique. MATA peut aussi associer le contrôle des tiers et des IBAN à la signature bancaire SAGE XRT. Le choix de combiner la plate-forme SXA et les services d’hébergement et de sécurité de MATA apporte donc une garantie de sécurité maximale, de souplesse et un vrai gain de productivité. Pourquoi choisir de travailler avec MATA ? Acteur spécialisé dans les métiers de la finance et de la sécurité, MATA a la gestion de trésorerie dans son ADN. Sur le marché, il y a peu de spécialistes de ce niveau-là. DN : « Notre atout est la proximité avec le client et la réactivité. Mais également, une excellente technicité. D’une manière générale, quand nous collectons des informations, nous procédons de façon sécurisée avec des échanges cryptés par exemple. La sécurité passe par des process à respecter et un encadrement contrôlé. » AW : « Nous guidons nos clients sur les bonnes pratiques et les process de mise en place de la solution de trésorerie. Nous avons l’expérience des problématiques techniques, ce qui nous permet de détecter les éventuels problèmes à venir et de les régler. » Quelles sont les entreprises que vous adressez avec la solution SXA ? DN : « Nous nous apercevons que ce produit n’est pas réservé aux grandes structures. De petites structures qui veulent s’organiser peuvent être intéressées, comme nous avons pu le constater lors de nos premières ventes. » AW : « Mais SXA convient bien aussi aux entreprises structurées en groupe qui ont à gérer leurs activités avec plusieurs banques dans plusieurs pays. Les relevés de comptes internationaux SWIFT sont intégrés directement. Les formats internationaux de virements sont également bien gérés. » Client SAGE ou non, la plateforme convient à toutes les structures. MATA étudie la situation de votre entreprise afin de vous proposer la solution qui vous est adaptée. Le déploiement Sage XRT Advanced chez le client La phase primordiale pour le déploiement du logiciel est la réalisation d’un audit permettant de recenser l’existant dans l’entreprise et de collecter les objectifs d’amélioration pour ensuite les mettre en œuvre dans le progiciel. DN : « Nous pouvons avoir le meilleur logiciel du monde mais si nous n’avons pas défini les objectifs et le mode opératoire, ça ne fonctionnera pas. » AW : « La mise en œuvre est aussi importante que le choix du logiciel. Nous analysons le volet technique avec le client et nous optons soit pour le full web soit pour le mode on-premise. Ensuite nous proposons un planning de déploiement en fonction des objectifs définis avec le client. Après la mise en production de l’outil, nous formons le client pour