NORAUTO améliore la sécurité des virements avec Mata

Mata-Norauto

NORAUTO est un réseau d’établissements privés à caractère commercial dans le domaine de l’entretien automobile. Afin d’améliorer la sécurité des virements, Norauto a décidé de s’appuyer sur Mata IO pour implémenter SEPAMAIL DIAMOND au sein de son infrastructure. « Nos objectifs portaient sur la nécessité de protéger nos données, de contrôler les échanges et de sécuriser les virements. Nous avons alors sollicité MATA pour ses compétences sur le sujet. » Monsieur Derveaux, Trésorier Norauto France et International. NORAUTO EN QUELQUES MOTS ETABLISSEMENT : Norauto est leader européen de l’entretien automobile depuis plus de 50 ans. CONCEPT : Le réseau Norauto est déployé en France et partout dans le monde, il est composé de plus de 6.500 collaborateurs qui travaillent dans 400 centres et reçoivent 4 millions de clients par an. Le concept de « Centre Norauto » est innovant et original. Norauto est le premier prestataire de services autos à associer sous un même toit, un atelier d’entretien et de réparation automobile, une surface de vente de pièces détachées et d’articles liés à tous les types de mobilités (auto, vélos, scooters…). LOCALISATION : France et partout dans le monde SOLUTION : Sepamail Diamond déployé par MATA BENEFICES : Renforcement de la sécurité des paiements. INTEGRATEUR : MATA, avec un accompagnement efficace, professionnel et dans le respect des délais. Une équipe pour gérer les enjeux du projet Norauto Ce réseau en pointe dans sa catégorie de services, recherche l’amélioration continue et s’appuie sur des valeurs fortes : le partage, l’esprit entrepreneurial, la responsabilité et l’enthousiasme. Le pôle trésorerie de Norauto & Norauto international est gérée par équipe de 8 personnes. Elle est composée d’un Crédit Manager, de deux Trésoriers opérationnels qui couvrent la gestion de trésorerie quotidienne, de quatre Comptables flux financiers qui couvrent la comptabilité bancaire des centres et enfin d’un Responsable du service trésorerie, qui coordonne l’équipe et synchronise les actions avec le réseau. En sa qualité de Trésorier Norauto France et International, Mr Derveaux s’est attaché à déployer une solution à la hauteur des exigences du Groupe en matière de sécurité des virements dans les entreprises de « retail » : « Lors d’une réunion de travail et de synergie des services financiers, nous avons abordé la question de sécurité des virements dans un univers toujours plus digital où la fraude à la modification des données bancaires s’insinue dangereusement. Dans ce cadre, nous nous sommes fixés des objectifs ambitieux pour lesquels nous devions trouver des prestataires de service compétents. Nos objectifs portaient sur la nécessité de protéger nos données, de contrôler les échanges et de sécuriser les virements. Nous avons alors sollicité MATA – entre autres – pour ses compétences sur le sujet. » Les critères qui nous ont amenés à retenir la solution de Mata L’efficience du diagnostic : l’adéquation est totale entre, le besoin énoncé, les fonctionnalités demandées et, la solution SEPAMAIL DIAMOND déployée, bien centrée sur la protection des données dans l’environnement existant ; La compétence et l’honnêteté : « Nous avons recherché des solutions chez plusieurs prestataires et nous avons retenu MATA sur la base de son professionnalisme, sa souplesse, sa capacité à s’adapter et à avoir une démarche droite et honnête. À tous moments nous avons été informés du potentiel de la solution mais aussi de ses limites. » Un point essentiel pour avoir une vision réaliste du projet pour Mr Derveaux, Trésorier Norauto France et International. L’esprit d’innovation et la réactivité face aux contraintes techniques ; L’accompagnement toujours sérieux et positif ; MATA a porté le contrat principal pour Norauto auprès de la banque avec laquelle l’accord était en cours, « ce qui allège considérablement le travail administratif et juridique », appuie Mr Derveaux ; Le respect des délais, avec un déploiement qui a duré moins de 24 mois depuis la réunion de travail initiale. Dans ce délai est inclus le développement d’une API bancaire ! Enfin, le tarif est aussi parfaitement adapté au niveau de prestation. La Mise en œuvre de la solution SEPAMAIL DIAMOND chez Norauto « Ce qui ressort c’est une grande réactivité, tout a été étonnamment rapide et le rétroplanning initial a été respecté ». L’API de la banque a été connectée en moins d’un mois en partant de zéro. L’exploitation du logiciel et ses apports Norauto utilise SEPAMAIL DIAMOND déployé par MATA en aval de l’existant afin de sécuriser les données fournisseurs dès leur entrée dans la fiche fournisseur dédiée. Une approche innovante et originale qui s’appuie sur l’API bancaire pour la mise à disposition des données. Le gain RH est clair, c’est un ETP qui est libéré pour d’autres tâches au sein du service, et le temps de réponse qui pouvait s’allonger jusqu’à deux semaines prend aujourd’hui moins de 2 secondes ! En deux mois, plus de 550 demandes ont été émises et validées pour plus de 80% d’entre elles. Une performance annoncée après audit et atteinte dès la mise en œuvre. Les 100% ne sont pas atteints car certaines banques ne proposent pas encore le dispositif SEPAMAIL DIAMOND. La sécurité de flux est maximale, c’était la priorité de Norauto. A l’heure du bilan Le service délivré par les équipes MATA a été résumé en quelques mots par Mr Derveaux : « Facilité d’échange, capacité d’adaptation, honnêteté, mise en place solide et efficace, accompagnement fluide, adapté au contexte, au rythme et aux délais… Nous sommes extrêmement satisfaits de MATA qui a su répondre à 100% à nos besoins. » Voir le témoignage d’un autre client

Augmentation de Capital pour MATA

trésorerie

L’éditeur de solutions anti-fraude MATA porte son capital à 500 000 € pour se donner les moyens de ses nouvelles ambitions. Premier éditeur à proposer une sécurisation de toute la chaine de paiements, MATA a franchi en juin 2019 le cap des 1000 utilisateurs de son application MATA I/O. Acteur historique des échanges banque / entreprise, la société propose depuis 2013 une solution originale permettant non seulement de vérifier les IBAN des tiers payés, mais également de bloquer automatiquement des virements potentiellement frauduleux. De plus, sa solution proposant une intégration complète avec les principales solutions de signature électronique (dont sa propre solution), MATA peut proposer à ses clients un cryptage de toute la chaine de règlement depuis l’ERP jusqu’à la banque. Il a notamment été le premier éditeur à proposer une vérification automatique des IBAN par le dispositif SEPAmail à ses clients grands comptes à forte volumétrie. Pour continuer à répondre au mieux à leur besoin de sécurisation des règlements, MATA, aujourd’hui leader sur un segment de marché qui se consolide, a décidé de procéder à des embauches et de renforcer ses équipes de développement. Afin de se donner les moyens de sa politique d’innovation et de financer ses ambitions à venir, MATA a décidé de porter son capital à 500 000 € par intégration de fonds propres. A propos de MATA Depuis 1999, MATA est un acteur majeur de la sécurisation et dématérialisation des flux financiers, en tant qu’éditeur et intégrateur. Editeur de MATA I/O, une plate-forme de sécurisation des règlements fonctionnant d’ores et déjà avec les principaux ERP du marché et déployée par un réseau d’intégrateurs experts à travers toute la France. MATA est aussi, depuis 1999, intégrateur des principales solutions du marché en matière de trésorerie et d’échanges bancaires, de gestion comptable et reporting, de GED et lecture optique de factures fournisseurs, de gestion de notes de frais et des congés, de liasse et télédéclarations. www.mata-io.com www.mata-conseil.fr

L’AGEFI Quotidien : La fraude aux faux fournisseurs, l’attaque qui fait recette

Immobilisations SAGE 1000

La DFCG et Euler Hermes dévoilent leur baromètre Fraude & Cybercriminalité. La fraude aux faux fournisseurs arrive à la première place. Les virus NotPetya et Wannacry ont défrayé la chronique cette année, en touchant des cibles prestigieuses comme Renault et Saint-Gobain. La cybercriminalité reste ainsi une menace tenace pour les directions financières ayant répondu au baromètre Euler Hermes-DFCG (Association des directeurs financiers et contrôleurs de gestion), qui sera dévoilé ce matin. Mais étonnement, cela n’en fait que la deuxième attaque en terme d’occurence. La fraude la plus récurrente est celle aux faux fournisseurs. Elle consiste en une manipulation simple : la comptabilité reçoit un jour un courrier d’un de ses fournisseurs, ayant l’apparence d’une lettre ou d’un mail officiel demandant de changer les coordonnées bancaires. Au moment du règlement d’une facture réelle, l’argent est alors versé – détourné – sur un autre compte. Les usurpations d’identité touchent également d’autres partenaires des entreprises comme les banques, les avocats ou les commissaires aux comptes. Ces fraudes sont un danger quotidien, notamment pour les services comptables. Non seulement 65 % des entreprises répondantes ont été victimes d’au moins une tentative mais de plus en plus de malfaiteurs parviennent à leurs fins. Près d’une entreprise sur trois a subi au moins une fraude avérée en 2017, contre seulement une sur cinq l’année précédente. D’autres mauvaises nouvelles s’égrènent au fil du baromètre. Ces attaques peuvent coûter cher. Près de 10% des sociétés attaquées ont subi un préjudice moyen supérieur à 100.000 euros. Et la très grande majorité des directions financière s’attendent à une accentuation du risque de fraude dans les années à venir. Ces dernières réagissent. Les directions financière organisent, aux côtés de la direction générale et de la direction informatique, la défense de leur entreprise. Les actions mises en œuvre vont de la sensibilisation des équipes au renforcement des procédures de contrôle interne. L’accent est clairement mis sur l’humain, qui constitue le maillon faible du système ou, au contraire, la meilleure source de défense. Une fraude sur deux est en effet évitée grâce à une réaction ou une initiative personnelle. Reste que le travail est encore à l’ouvrage pour les directions financières et celles des systèmes d’information. Par exemple, quatre entreprises sur dix ne s’estiment pas prêtes à être conformes au règlement européen relatif à la protection des données (RGPD) qui entrera en vigueur le 25 mai prochain. Source : AGEFI