Date Limite de Dépôt de la Liasse Fiscale 2025

Liasse fiscale 2025 – Tout ce que vous devez savoir Respecter les échéances fiscales est essentiel pour toute entreprise. Parmi ces obligations, le dépôt de la liasse fiscale figure en tête de liste. Mata, distributeur de logiciels de gestion basé à Strasbourg, vous éclaire sur la date limite de dépôt 2025 et les échéances fiscales à anticiper. Qu’est-ce que la Liasse Fiscale ? La liasse fiscale est un ensemble de documents comptables transmis chaque année à l’administration fiscale. Elle permet de calculer le résultat imposable de l’entreprise et d’évaluer sa situation financière globale. Dates Limites de Dépôt – Liasse Fiscale 2025 ✅ Pour les entreprises clôturant au 31 décembre 2024 : Sans téléprocédure :➤ Date limite : lundi 5 mai 2025 (le 3 mai tombant un samedi). Avec téléprocédure :➤ Date limite : lundi 19 mai 2025 (le 18 mai étant un dimanche). ✅ Pour les clôtures en cours d’année : Le dépôt doit intervenir dans les 3 mois suivant la clôture.➤ Exemple : clôture au 31 mars 2025 → dépôt avant le 30 juin 2025. Avec délai prolongé via téléprocédure (15 jours) :➤ Exemple : nouvelle échéance au 15 juillet 2025. Échéances Fiscales 2025 : à retenir Impôt sur le Revenu (IR) : déclaration en ligne selon votre département. Impôt sur les Sociétés (IS) : au plus tard le 2ᵉ jour ouvré après le 1er mai de l’année suivante. TVA : échéances variables selon le régime de TVA. CET (CFE + CVAE) : déclarations selon un calendrier défini. Sanctions en cas de retard Un oubli ou un retard peut coûter cher : Majoration de 10 % à 80 % du montant de l’impôt dû. Intérêts de retard supplémentaires. Comment Mata vous simplifie la gestion fiscale Chez Mata, nous distribuons des solutions logicielles de gestion comptable et fiscale pour vous aider à automatiser, fiabiliser et anticiper vos obligations déclaratives. Nos outils s’adressent aux entreprises, cabinets comptables et gestionnaires souhaitant : ✔ Gagner du temps✔ Réduire les risques d’erreur✔ Respecter toutes les échéances réglementaires✔ Centraliser la gestion comptable et fiscale Des logiciels pensés pour votre performance Basé à Strasbourg, Mata accompagne les entreprises et les cabinets dans leur transformation digitale grâce à des solutions logicielles spécialisées : Gestion comptable et fiscale Déclarations électroniques Téléprocédures et automatisation Outils collaboratifs experts-comptables/clients Intégration aux ERP, CRM et logiciels métiers Besoin d’un accompagnement logiciel pour gérer vos liasses fiscales ? Contactez Mata dès aujourd’hui pour découvrir les solutions adaptées à votre structure. Mata – Le partenaire logiciel des professionnels de la gestion et de la comptabilité. Pour en savoir plus sur la liasse fiscale, contacter le 0806110020.
Gérer budget et trésorerie quotidienne dans un même logiciel

Budget et Trésorerie – Après des années de taux bas et d’accès au crédit facile, on l’avait un peu oublié, mais la gestion de la trésorerie est cruciale pour toutes les entreprises. Une mauvaise gestion de la trésorerie peut entraîner des problèmes de liquidités et même mettre en péril la survie de l’entreprise. Quels sont les avantages à suivre son budget et sa trésorerie quotidienne dans un même logiciel ? Est-il indispensable de faire un budget ? Établir un budget de trésorerie est essentiel pour prévoir les rentrées et sorties d’argent, planifier les investissements et gérer les imprévus. Un budget bien défini aide à identifier les périodes d’excédents et de déficit de trésorerie, permettant de prendre des décisions éclairées pour optimiser les ressources financières de l’entreprise. A quoi sert la trésorerie quotidienne ? Le suivi quotidien de la trésorerie permet de garder un œil constant sur les flux de trésorerie réels. Cela permet d’ajuster rapidement les dépenses et de gérer les écarts par rapport au budget prévisionnel. Un suivi quotidien assure une gestion proactive des liquidités, minimisant les risques de pénurie de trésorerie et améliorant la stabilité financière de l’entreprise. Quels sont les avantages à suivre son budget et trésorerie quotidienne dans le même logiciel ? Meilleure visibilité financière Un logiciel unique offre une vue d’ensemble de la situation financière de l’entreprise. Les tableaux de bord et les rapports intégrés permettent de suivre à la fois le budget prévisionnel et les flux de trésorerie réels. Cette visibilité accrue aide à anticiper les besoins de trésorerie et à ajuster les prévisions en conséquence. Centralisation des données Utiliser un seul logiciel pour les deux aspects de la gestion de la trésorerie permet de centraliser toutes les informations financières au même endroit. Cela facilite l’accès aux données, leur mise à jour et leur consultation en temps réel. Les décisions peuvent ainsi être prises sur la base d’informations complètes et précises. Simplification de la révision des prévisions La gestion intégrée du budget et trésorerie permet d’ajuster ses prévisions plus rapidement. Les tendances historiques et les projections futures peuvent être facilement comparées aux opérations passées en banque. Cette capacité d’ajustement rapide à la trésorerie opérationnelle court terme est cruciale pour maintenir la santé financière de l’entreprise. Gains de temps et d’efficacité Avoir un logiciel unique réduit le besoin de saisir les mêmes informations dans plusieurs systèmes, ce qui diminue le risque d’erreurs et les efforts redondants. Les tâches de gestion de la trésorerie deviennent plus rapides et plus efficaces, permettant aux équipes financières de se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée. Réduction des coûts Utiliser un seul logiciel pour la gestion de la trésorerie et du budget est plus économique. Cela évite les coûts associés à l’achat, la maintenance et la formation liés à plusieurs logiciels différents. De plus, la centralisation des fonctions réduit les dépenses administratives et opérationnelles. Conclusion L’utilisation d’un logiciel unique pour gérer à la fois son budget et trésorerie quotidienne offre de nombreux avantages qui contribuent à améliorer la trésorerie de l’entreprise. De la centralisation des données à la simplification des processus, en passant par les gains de productivité et la réduction des coûts, cette approche intégrée permet de gagner en efficacité et en précision. Pour toute entreprise souhaitant optimiser sa gestion de trésorerie, investir dans un logiciel intégré est un choix judicieux et stratégique. La société MATA IO s’est positionnée sur ce marché et propose un espace unique et sécurisé pour l’ensemble des opérations de trésorerie. Et répondre ainsi aux besoins de visibilité des entreprises dans un contexte économique devenu plus difficile et moins prévisible. Pour en savoir plus sur la gestion du budget et trésorerie quotidienne dans un même logiciel, contacter le 0806110020.
Rejoignez-nous pour une journée de découvertes et d’échanges lors de notre Club Utilisateurs !

Nous sommes ravis de vous annoncer la tenue de notre prochain Club Utilisateurs le 18 juin au Château de l’Ile à Ostwald. Cette journée unique sera une opportunité pour nos clients de se plonger dans les dernières innovations et d’échanger sur les meilleures pratiques dans l’utilisation de nos solutions. Matinée dédiée aux solutions XRT La journée débutera à 9h30 avec le Club Utilisateurs XRT. Cette session matinale sera consacrée à nos solutions de trésorerie XRT. Nous aurons le plaisir de vous présenter la solution XRT Solution Advanced : une plateforme interconnectée, entièrement web, et très intuitive grâce à son interface graphique. De plus, découvrez nos nouvelles offres de services qui incluent des options comme le cloud, la supervision et les forfaits Gold. Nous aborderons un cas pratique : « Comment la facture électronique permet d’automatiser la production des prévisions de trésorerie ». Ce sera également l’occasion pour ceux qui utilisent déjà cette nouvelle version de découvrir les toutes dernières évolutions apportées par l’éditeur SAGE. Après-midi avec MATA IO À partir de 14h, le Club Utilisateurs MATA IO prendra le relais. Venez découvrir les nouveaux formats ISO 2022, qui seront la norme à partir de novembre 2025, ainsi que les nouveaux pays couverts par les dispositifs SIS ID et SEPAMAIL DIAMOND. Nous vous présenterons également l’intégration du budget directement dans votre module de trésorerie et nos nouveaux dasboards. Nous finirons avec TP UP, dernier né de la gamme MATA IO, notre solution innovante pour la mise en conformité des tiers. Un Moment de Convivialité Pour ceux qui souhaitent participer à la journée complète, nous offrons un déjeuner sur place pour favoriser le réseautage et l’échange entre pairs. Le nombre de places pour le déjeuner étant limité, nous vous encourageons à vous inscrire rapidement. Nous attendons avec impatience votre participation active à ce club, qui promet d’être une journée enrichissante. Pour vous inscrire et pour plus d’informations, veuillez cliquer sur : https://www.mata-conseil.fr/club-utilisateurs-18-juin-2024/ Nous sommes enthousiastes à l’idée de vous accueillir et de partager ensemble une journée aussi instructive qu’inspirante.
La Liasse Fiscale expliquée : guide complet pour les entreprises

Au cœur de la fiscalité des entreprises se trouve la liasse fiscale, un dossier complexe mais essentiel qui englobe la déclaration de résultats et divers tableaux annexes. Exigée par le Code Général des Impôts et le Code de Commerce, elle est cruciale pour le calcul du résultat fiscal et, par extension, du montant de l’impôt à verser. Ce dossier joue également un rôle déterminant dans l’analyse de la santé financière d’une entreprise aux yeux de ses partenaires. Sa composition, incluant entre autres le bilan et le compte de résultat, requiert une précision méticuleuse pour une gestion fiscale efficace. Le Fondement de la Liasse Fiscale La liasse est un ensemble composé de la déclaration de résultat de l’entreprise et de tableaux annexes, conformément au Code Général des Impôts et au Code de Commerce. Elle est soumise à l’administration fiscale pour déterminer le résultat fiscal et le montant de l’impôt à payer. Ce dossier doit contenir divers documents et respecter un formalisme strict. Au-delà de son rôle fiscal, la liasse fiscale sert également de miroir à la santé financière de l’entreprise pour ses partenaires, tels que banques et investisseurs. Composition et Importance de la liasse fiscale La composition est diversifiée : Déclaration de résultat de l’entreprise. Tableaux annexes comprenant le bilan, le compte de résultat, la liste des immobilisations, les amortissements, les provisions, et bien plus. Ces documents sont indispensables pour un aperçu complet de la situation financière de l’entreprise. Processus de Remplissage Remplir la liasse fiscale nécessite une familiarité avec les formulaires spécifiques selon le statut de l’entreprise : Les professions libérales utilisent la liasse 2035. Les entreprises individuelles et certaines EURL optent pour la 2031. Les sociétés à l’impôt sur les sociétés se tournent vers la 2065. L’expert-comptable devient un atout majeur pour garantir la conformité et le dépôt dans les temps, évitant ainsi les sanctions pour retard. Accès et Dépôt Les formulaires sont disponibles auprès du Service des Impôts des Entreprises ou sur le site impot.gouv.fr. Toutes les entreprises, sauf les auto-entrepreneurs, doivent déposer leur liasse fiscale dans les délais prescrits pour éviter les pénalités. Conclusion La liasse est plus qu’un simple formulaire : c’est un pilier de la gestion fiscale et financière d’une entreprise. Avec ses nombreux composants et son importance cruciale pour la détermination du résultat fiscal, elle nécessite une attention et une expertise particulière. Que vous soyez une petite entreprise ou une société à l’impôt sur les sociétés, comprendre et remplir correctement votre liasse fiscale est indispensable pour une saine gestion financière et le respect de vos obligations fiscales. Pour en savoir plus sur la trésorerie, contacter le 0806110020.
Optimisation de la Trésorerie grâce au Financement Court Terme par l’Affacturage

L’affacturage, une solution de financement court terme de plus en plus prisée, offre aux entreprises une méthode rapide et économique pour convertir leurs factures clients en liquidités essentielles. Ce mécanisme est devenu un pilier pour le renforcement de la trésorerie des entreprises françaises, surpassant même le découvert bancaire en termes de rapidité et de coût. L’affacturage : un levier de trésorerie efficace Facilité par les avancées numériques, l’affacturage transforme les créances en trésorerie, soutenant ainsi les besoins en financement court terme des entreprises. En vendant leurs factures à des sociétés spécialisées, souvent filiales de grands groupes bancaires, les entreprises bénéficient d’un flux de trésorerie immédiat, tout en transférant le risque de recouvrement à ces sociétés d’affacturage. Avantages Multiples pour la Trésorerie Outre l’amélioration de la trésorerie, l’affacturage aide à embellir la présentation financière des entreprises et facilite le paiement de factures à l’international. Cependant, son accès peut être limité pour certaines entreprises, notamment celles opérant dans des secteurs considérés à risque, soulignant l’importance d’une gestion rigoureuse et d’une bonne santé financière pour bénéficier de cette solution de financement court terme. Un impact significatif sur le financement court terme Avec un montant de factures rachetées atteignant 422 milliards d’euros en 2022, l’affacturage a prouvé son rôle crucial dans le paysage du financement court terme en France. Sa popularité s’explique par son coût inférieur à celui des lignes de découvert bancaire traditionnelles, offrant ainsi une alternative avantageuse pour les entreprises en quête d’optimisation de leur trésorerie. L’affacturage : plus qu’un simple financement En plus de fournir une solution immédiate de trésorerie, l’affacturage permet aux entreprises de financer des créances à l’international et d’améliorer leur état financier grâce à des techniques de déconsolidation. La digitalisation a également rendu l’affacturage plus accessible, simplifiant sa mise en œuvre et permettant une gestion plus souple du poste client. Vers une accessibilité élargie Malgré certaines restrictions, notamment dans le secteur B2C et pour les entreprises facturant « à terme échu », l’affacturage reste une option viable pour de nombreuses entreprises. La collaboration avec des courtiers et la souscription à une assurance crédit peuvent faciliter l’accès à cette solution de financement court terme, essentielle pour la gestion de la trésorerie. En résumé, l’affacturage se positionne comme une stratégie incontournable pour les entreprises à la recherche d’une optimisation de leur trésorerie et d’un financement court terme efficace. Sa capacité à fournir des liquidités rapidement, à moindre coût, et avec une gestion flexible en fait une solution de choix dans le paysage financier actuel. Pour en savoir plus sur la trésorerie, contacter le 0806110020.
Internalisation de la liasse fiscale : une option à considérer

La liasse fiscale, un ensemble de déclarations de résultat nécessaires pour déterminer l’impôt à payer par une entreprise, est un élément crucial de la comptabilité d’une entreprise. Souvent, les entreprises se tournent vers des experts-comptables pour gérer ce processus complexe. Cependant, de plus en plus d’entreprises envisagent l’internalisation de leur liasse, c’est-à-dire la gestion de ce processus en interne. Qu’est-ce qu’une Liasse Fiscale ? Avant d’entrer dans les détails de l’internalisation, il est essentiel de comprendre ce qu’est exactement une liasse fiscale. Une liasse fiscale est un ensemble de déclarations et de documents nécessaires pour établir le résultat imposable d’une entreprise et calculer l’impôt à payer. Elle doit être transmise au service des impôts par voie dématérialisée. En plus d’être une obligation fiscale, la liasse va aussi servir de référence pour évaluer la santé financière de l’entreprise vis-à-vis de ses parties prenantes. Pourquoi externaliser sa liasse ? Il est courant que les entreprises externalisent la production de leur liasse fiscale, en la confiant à un expert-comptable. Cette décision est souvent prise lorsque les obligations comptables deviennent trop lourdes à gérer en interne, ou lorsque l’entreprise ne dispose pas des compétences ou des ressources nécessaires pour effectuer cette tâche. Cependant, il est possible de réaliser cette opération en interne, à condition de disposer d’un logiciel adéquat pour établir les bilans annuels ou intermédiaires en fonction des besoins. Avantages d’un logiciel de liasse fiscale interne Un logiciel de liasse fiscale que vous utilisez en interne présente de nombreux avantages. Il vous permet de faire vos déclarations sans attendre le cabinet comptable, ce qui vous fait économiser du temps et de l’argent. Vos équipes internes connaissent mieux votre comptabilité et les particularités de votre entreprise, ce qui les rend plus réactives en cas de changements de dernière minute. Grâce à des contrôles avancés, un logiciel de liasse réduit les risques d’erreur et offre une traçabilité pour assurer la qualité des déclarations, de la saisie à l’archivage. Points clés à considérer Avant de décider d’internaliser votre liasse, plusieurs points cruciaux doivent être pris en compte. Tout d’abord, il est essentiel de disposer d’outils à jour pour suivre les évolutions des formulaires fiscaux, qui peuvent changer d’une année à l’autre. Les solutions en ligne sont mises à jour automatiquement, offrant ainsi un avantage significatif. De plus, il est nécessaire de mettre à jour les informations relatives aux sociétés déclarantes, notamment en cas de rachats, de cessions ou de modifications d’activité. La télétransmission de la liasse fiscale étant obligatoire, il faut également mettre en place une signature électronique pour valider l’échange de données avec l’administration. Les fichiers sont ensuite hébergés via un portail déclaratif dédié et chaque échange est crypté par une procédure unique. Choisir la bonne solution Enfin, choisir le bon logiciel de liasse fiscale est crucial, car il est souvent difficile de s’y retrouver parmi toutes les déclarations auxquelles les entreprises sont soumises (TVA, IFU, CVAE, etc.) et leurs échéances diffèrent. Une solution web comme ULOA proposée par MATA, offrant un périmètre fonctionnel complet et un support de qualité, va grandement simplifier la production des bilans en fournissant des alertes sur les dates limites des obligations fiscales. En conclusion, l’internalisation de la liasse fiscale est une option viable pour de nombreuses entreprises, à condition de prendre en compte les points clés vus ci-dessus et de choisir les bons outils pour réussir ce projet. Pour en savoir plus sur la liasse fiscale à internaliser, contacter le 0806110020.
Optimisation du BFR et gestion de trésorerie

Gestion de trésorerie – Dans le climat économique actuel, marqué par la fin des aides gouvernementales et le début des remboursements des Prêts Garantis par l’État (PGE), de nombreuses entreprises font face à un risque accru de défaillance. Face à ces défis, ainsi qu’à l’inflation et à la hausse des taux d’intérêt, les entreprises cherchent des moyens d’optimiser et de financer leur Besoin en Fonds de Roulement (BFR). L’augmentation des coûts et les difficultés d’approvisionnement exacerbent le besoin de fonds de roulement. Frédéric Piolti de June Partners souligne la complexité accrue pour les entreprises de renégocier leurs crédits ou de trouver de nouvelles sources de financement dans ce contexte. Cependant, des stratégies existent pour améliorer et financer le BFR. Optimisation du BFR : Stratégies d’optimisation du BFR Selon Frédéric Piolti, une approche efficace consiste à adopter une culture de gestion rigoureuse de la trésorerie, réduire le BFR, négocier de meilleures conditions de paiement avec les clients, minimiser les stocks et sécuriser les approvisionnements. Sophie Susterac de Factofrance met l’accent sur l’importance d’une gestion efficace des comptes clients, tandis que Pierre Pelouzet, médiateur national des entreprises, insiste sur le suivi rigoureux des factures et des paiements. Financement du poste client par l’affacturage : Pour mémoire, l’affacturage est un moyen de financement permettant d’obtenir rapidement une avance de trésorerie par la cession de factures en attente de règlement, ce que l’on définit par « créances clients ». L’affacturage offre également un service de gestion des encaissements : relance et recouvrement de créances non réglées et se présente comme une solution majeure pour le financement à court terme. Sophie Susterac note que ses clients en croissance utilisent massivement l’affacturage pour financer leur BFR qui augmente. Ce mode de financement, basé sur la cession de créances clients, n’augmente pas le taux d’endettement des entreprises. Gestion des variations de taux d’intérêt : Pour limiter l’impact des fluctuations des taux d’intérêt, les entreprises peuvent utiliser des caps pour bloquer les taux d’intérêt ou des swaps pour passer d’un taux variable à un taux fixe. Ce sont des outils très efficaces pour se protéger contre la hausse des taux. Exploitation des aides de l’État : Les entreprises peuvent également bénéficier de dispositifs d’aide de l’État, comme les obligations Relance, destinées à renforcer les bilans des PME et ETI. D’autres sources de financement incluent des financeurs non traditionnels et la BPI, en particulier pour les entreprises travaillant avec des clients du secteur public. Évolution de la construction des prévisions de trésorerie : Les crises récentes et les variations de taux ont poussé les trésoriers à modifier leur approche de prévision de trésorerie. La tendance est à la progicialisation des processus de prévision de trésorerie pour améliorer la productivité et la qualité des données. La facturation électronique et l’e-reporting sont des outils prometteurs pour affiner les prévisions de trésorerie. En résumé, face aux défis financiers actuels, les entreprises doivent adopter des stratégies d’optimisation du BFR, explorer diverses options de financement, et utiliser des outils technologiques avancés pour une gestion de trésorerie plus précise et efficace. Pour en savoir plus sur les risques de fraude, contacter le 0806110020.
Tableau de flux de trésorerie : future star des annexes ?

L’ANC a publié un projet de modernisation des états financiers. Il prévoit notamment la possibilité d’intégrer dans les annexes un tableau de flux de trésorerie. Ce document est plus facile … L’ANC a publié un projet de modernisation des états financiers. Il prévoit notamment la possibilité d’intégrer dans les annexes un tableau de flux de trésorerie. Ce document est plus facile d’accès pour les non-initiés à la finance (projet de règlement du 1er février 2022 modifiant le règlement ANC n°2014-03 du 5 juin 2014). Modernisation des états financiers et tableau de flux de trésorerie Le projet de règlement récemment divulgué par l’autorité des normes comptables (ANC) vise à moderniser la présentation des comptes annuels. L’ANC précisera prochainement la date d’entrée en vigueur du texte. Il prévoit notamment : une nouvelle définition du résultat exceptionnel qui exclurait de fait les sorties d’immobilisation et la quote-part de subvention d’investissement virée au résultat (enregistrement désormais en résultat d’exploitation ou résultat financier pour les immobilisations financières) la suppression des transferts de charges une mise à jour du plan de comptes une nouvelle présentation des annexes. Le projet de texte prévoit en effet une nouvelle présentation de l’annexe par type d’information et non plus comme dans le PCG actuel, par catégorie d’entités. Des modèles de tableaux normés sont prévus et seront : soit à caractère obligatoire (articles réglementaires) soit à caractère indicatif (commentaires infra-réglementaires). En outre, il sera possible d’introduire un tableau des flux de trésorerie dans l’annexe des comptes annuels, avec des informations relatives à son élaboration. L’intérêt du tableau Dans le cadre de la loi sur les préventions des difficultés (loi du 1er mars 1984), certaines entreprises ont l’obligation d’établir plusieurs documents tels un tableau de financement, un compte de résultat prévisionnel et un plan de financement prévisionnel. L’ANC propose à ce titre des modèles en infra-réglementaire pour répondre notamment à ces exigences réglementaires. Il est préconisé désormais d’utiliser un tableau de flux de trésorerie plutôt qu’un tableau de financement classique. Modèle : projet de règlement du 1er février 2022 Le tableau de flux de trésorerie présente l’avantage de la simplicité de compréhension même pour les non-initiés. Il permet d’analyser la génération de trésorerie au cours du dernier exercice en distinguant : les flux de trésorerie liés à l’activité : ils sont déterminés à partir du résultat net en retraitant les charges et produits sans mouvement de trésorerie, et en déduisant la variation du BFR (besoin en fonds de roulement) afin de tenir compte des délais de paiement les flux de trésorerie liés aux opérations d’investissement : acquisitions et ventes d’immobilisations au cours de l’exercice les flux de trésorerie liés aux opérations de financement : versement de dividendes, augmentation de capital, émission et remboursement d’emprunts. Source : Projet de règlement du 1er février 2022 modifiant le règlement ANC n°2014-03 du 5 juin 2014 Source : Legifiscal
Pourquoi l’IT et la finance ont-ils tout intérêt à travailler ensemble ?

L’IT et la Finance – Le DAF et le DSI ne collaborent pas forcément. Pourtant, les bénéfices d’un tel partenariat sont nombreux. Voici trois pistes pour rapprocher les deux départements et les effets bénéfiques que l’on peut en attendre. De nombreux responsables financiers et IT se comportent comme des adversaires, une opposition exacerbée par l’inflation qui augmente et des budgets qui diminuent. La nécessité d’un partenariat entre les deux est pourtant essentielle pour les entreprises – de plus en plus nombreuses – qui cherchent à mener une transformation digitale de leurs opérations financières. Selon une enquête de Workday (éditeur de SIRH, mais aussi d’outils de gestion comptable), parmi les entreprises qui constatent que leurs directions financières et leurs DSI ne travaillent pas étroitement ensemble, seuls 28 % auraient lancé un projet de « digitalisation » de leurs finances (un chantier qui va au-delà de la simple numérisation). Pour y remédier, voici quelques stratégies que les DAF et les DSI peuvent mettre en œuvre pour améliorer leurs relations. 1. Créer des équipes « mixtes » informatiques e17t finances La création de groupes de travail composés de membres des deux directions peut grandement améliorer la prise de décision, car les employés des services IT et financiers peuvent apporter leurs expertises respectives, surtout lorsque le sujet (ou le projet) concerne les deux départements. La formation de groupes de ce type peut aussi contribuer à mettre en évidence les points communs cachés entre la finance et l’informatique. Le fait de confier à une personne du département financier la tâche de devenir un expert des opérations informatiques, et à l’inverse à un employé de l’IT celle de se familiariser avec le département financier s’avère souvent très efficace. « Vous pouvez aussi avoir un responsable financier dans l’équipe informatique et vice versa », ajoute Dave Roberson, président de RoseRyan, une société de conseil en finance et en comptabilité du groupe ZRG Partners. 2. Mieux comprendre les activités de l’autre service Les DAF et les DSI ne se rendent souvent pas compte du peu qu’ils savent des besoins et des objectifs de l’autre groupe. La technologie est souvent la dépense la plus importante pour une entreprise, estime Khalid Kark, directeur de la recherche sur les DSI chez Deloitte. En retour, la complexité de l’environnement IT et le recours à des fournisseurs externes brouillent la valeur créée par l’informatique et peuvent rendre peu clairs les besoins réels de l’entreprise en outils technologiques. Résultats, les DAF peuvent trouver facile de refuser les demandes d’investissement IT. Les responsables financiers et les responsables informatiques doivent donc s’efforcer de mieux comprendre les priorités de l’autre département. L’IT peut généralement faire un meilleur travail de « marketing des besoins informatiques », et la finance peut faire un meilleur travail pour comprendre plus finement la valeur apportée par le numérique et les besoins de l’informatique. 3. Inviter l’IT et la finance à brainstormer sur des stratégies Le DAF et le DSI peuvent demander aux membres de leur département de réfléchir eux-mêmes à la manière d’améliorer la collaboration entre les deux entités. Les employés peuvent avoir des idées sur leur collaboration actuelle avec d’autres départements ou sur des processus de travail qui, selon eux, pourraient se dérouler plus harmonieusement. Par exemple, les membres du département informatique peuvent suggérer des moyens d’automatiser – et donc d’accélérer – le travail du département financier sur le budget annuel (et en particulier sur celui de l’IT). Les bienfaits de la collaboration entre la finance et l’IT Une meilleure collaboration entre finance et informatique peut apporter un certain nombre d’avantages globaux aux entreprises. De meilleurs investissements technologiques Selon Khalid Kark, le principal avantage d’un partenariat solide entre le DSI et le DAF est la discipline financière, c’est-à-dire une transparence et une responsabilité accrues en matière d’investissements technologiques. De nombreuses organisations passent encore trop de temps à élaborer des analyses de rentabilité sans suivre les performances des investissements par la suite (ce qui est tout aussi, si ce n’est plus important). Les directeurs financiers peuvent aussi aider à désigner en amont des responsables pour la création de valeur et ainsi optimiser cette valeur et son suivi, ajoute Khalid Kark. Amélioration de la sécurité des informations et de la conformité Avec l’aide de l’informatique, les pratiques de sécurité du département financier vont probablement s’améliorer. La nécessité de protéger les données sensibles n’a jamais été aussi grande. Finance et IT ont tout à gagner à s’attaquer ensemble aux risques posés par les activités cybercriminelles. Il en va de même pour les exigences de conformité. Meilleure prise de décision budgétaire Lorsque le DAF et le DSI travaillent fréquemment ensemble, les discussions difficiles sur le budget deviendront probablement plus faciles. Si ces départements entretiennent déjà de solides relations de travail, le DAF et le DSI seront probablement plus à même de débloquer des budgets, de répartir équitablement les fonds, voire de prendre des décisions difficiles qui profiteront à l’ensemble de l’entreprise. Source : Le Mag IT
Flux de trésorerie d’exploitation

Flux de trésorerie d’exploitation : comprendre, interpréter et décider Un flux de trésorerie est une entrée ou une sortie de liquidités. Le paiement d’une facture fournisseur, le prélèvement d’une échéance de prêt et le règlement d’une créance client sont autant d’exemples qui illustrent ces mouvements financiers. Les flux de trésorerie d’exploitation correspondent aux encaissements et aux décaissements générés par l’activité courante d’une entreprise. Quel intérêt présentent-ils ? Quelles informations, utiles à la prise de décision, procurent-ils aux entrepreneurs ? Appelés cash flow en anglais, ils sont des indicateurs objectifs de la santé financière d’une entreprise et une aide précieuse pour le pilotage financier. La place du flux de trésorerie d’exploitation dans le tableau de flux de trésorerie La trésorerie est un concept clé dans la gestion des entreprises. Son analyse s’effectue à partir du tableau de flux de trésorerie (TFT). Elle a pour buts de prévenir les risques de défaillance et de compléter l’étude du bilan et du compte de résultat. Qu’est-ce que le tableau de flux de trésorerie ? Le tableau de flux de trésorerie est un document de synthèse comptable qui explique la variation des entrées et des sorties d’argent sur une année. Il informe aussi sur l’emploi des liquidités sur la période et fournit la situation de la trésorerie en fin d’exercice. Il n’est pas obligatoire en France sauf pour les entreprises soumises à la tenue des comptes consolidés. Le tableau décompose les flux de trésorerie en 3 cycles : les opérations d’exploitation regroupent les encaissements et décaissements produits par l’activité ; les investissements comportent, par exemple, les achats et cessions d’immobilisations ; les financements concernent, notamment, les augmentations de capital en numéraire. Calcul du flux de trésorerie d’exploitation Le flux de trésorerie d’exploitation d’une entreprise figure en haut du TFT. Deux méthodes de calcul permettent de le déterminer. La méthode directe, moins utilisée, s’appuie sur le résultat d’exploitation retraité de la variation du besoin en fonds de roulement (BFR). Elle classe les produits et les charges par rubriques et possède une valeur explicative. La méthode indirecte est toutefois privilégiée puisqu’elle se construit à partir du bénéfice net (ou de la perte) inscrit au compte de résultat. Opérations d’exploitation Résultat net – Amortissements et provisions – Plus ou moins-values de cession = Marge brute d’autofinancement – Variation du BFR (stocks, créances, dettes) Flux net de trésorerie lié à l’activité Comment interpréter le résultat du flux de trésorerie lié à l’activité ? Pour mieux interpréter le résultat du flux net de trésorerie lié à l’activité, l’entrepreneur doit se familiariser avec les notions de marge brute d’autofinancement et de besoin en fonds de roulement. Comprendre les notions de marge brute d’autofinancement (MBA) et de variation du BFR Dans le cas de la méthode directe, le TFT fait apparaître la marge brute d’autofinancement qui exprime le flux potentiel de trésorerie. Il s’agit de la marge dégagée par l’activité de l’entreprise. Elle ne prend pas en compte les décalages de paiements, c’est pourquoi elle est retraitée de la variation du besoin en fonds de roulement entre l’exercice en cours (N) et le précédent (N-1). Le BFR est, lui, constitué par la somme des stocks et des créances clients à laquelle on soustrait les dettes non financières. La variation du BFR est optimale quand la société maîtrise ses stocks, encaisse rapidement les règlements des clients et dispose de délais de paiement des fournisseurs convenables. Analyser le solde du flux net de trésorerie d’exploitation Un flux net de trésorerie d’exploitation positif indique clairement aux dirigeants, aux actionnaires et aux partenaires financiers, que l’entreprise est dans une situation économique assez saine et que ses activités sont rentables. Les marges dégagées sur ses ventes ou ses services sont suffisantes pour générer du cash. L’entreprise est en mesure de maintenir sa capacité opérationnelle. Elle gère son cycle d’exploitation (elle paie ses fournisseurs à échéance, collecte ses factures clients sans encombre…). La société rembourse ses emprunts. Elle dispose du cash nécessaire pour verser des dividendes. Elle finance le développement de sa production en partie ou en totalité. À l’inverse, un résultat négatif est souvent synonyme de difficultés. C’est un signal d’alerte fort pour un entrepreneur. Des mesures ciblées et efficaces se révèlent alors indispensables pour redresser les chiffres rapidement et éviter le risque de faillite. Cependant, il faut considérer qu’en phase de croissance ou de création, une entreprise affiche parfois une trésorerie négative. Elle traverse probablement une phase où le volume de dépenses liées à ses activités est supérieur à ses encaissements. Le flux de trésorerie d’exploitation comme outil d’aide à la décision Grâce à l’analyse du flux de trésorerie d’exploitation, l’entreprise est en mesure d’établir une stratégie financière en matière de production, d’investissement et de placement financier. Agir sur son cycle d’exploitation Si le flux net de trésorerie ne correspond pas à l’objectif attendu, la société doit trouver des solutions. Elle peut alors : revoir ses marges sur ses produits et services en tenant compte de son secteur d’activité ; réduire ses charges fixes ; maîtriser ses stocks ; organiser la gestion de sa trésorerie autour d’un plan prévisionnel, d’un suivi régulier et de procédures fiables. Comment optimiser la gestion de trésorerie d’entreprise ? Investir pour accroître son activité Face à un flux de trésorerie d’exploitation nettement excédentaire, un entrepreneur peut décider d’investir pour développer ou bien diversifier sa production. Une trésorerie disponible mobilisable sans délai et sans risque lui offre une capacité d’autofinancement totale ou en partie. Ce type de financement offre souplesse et agilité en matière de prise de décision. Le dirigeant opte pour la stratégie la plus adaptée à son secteur : croissance externe, interne ou renouvellement des immobilisations devenues obsolètes. Placer ses disponibilités À l’inverse, l’entreprise peut faire le choix de décaler ses investissements dans le temps pour augmenter sa trésorerie disponible ou préparer un projet de grande ampleur. Le recours à l’investissement est une réponse efficace pour sécuriser son argent tout en percevant des intérêts. De nombreuses solutions existent sur le marché. Avant de s’engager, il faut déterminer le niveau de risque, de rendement et de liquidité à atteindre. L’épargne classique comprend les dépôts à vue, à terme, ou les certificats de dépôt. Elle reste mobilisable, ne présente aucun danger, mais elle est peu rémunérée. Les solutions alternatives pour placer l’excédent de