FORUM MATA – 06 JUIN 2019

FORUM MATA DU 06 JUIN 2019 à l’Hôtel Val-Vignes – Saint Hippolyte 9H00 : ACCUEIL ET PRÉSENTATION DE LA JOURNÉE 9H15 : INVOKE – BILAN DE LA CAMPAGNE FISCALE 2019 Dialoguez avec l’éditeur et découvrez les nouveautés en matière de télétransmission Anne-Sophie ALLEZ et Régine BREJUIN : INVOKE 10H00 : INSIDE : SOLUTION DE REPORTING DÉCISIONNEL ET DE CONSTRUCTION BUDGÉTAIRE SOUS EXCEL Exploitez vos données dans Excel, avec une mise à jour automatique de vos tableaux de bord Thierry CARON : INFINEO 10H45 : PAUSE 11H00 : ELO : AUTOMATISEZ LE TRAITEMENT DE VOS FACTURES FOURNISSEURS   Optimisez le processus de vérification et de comptabilisation des factures d’achat. Pascal HERRMANN et Stéphane GEUS : KEMATA 11H45 : GEC : ACCÉLÉREZ LE LETTRAGE DE VOS ENCAISSEMENTS CLIENTS Automatisez vos saisies comptables et le lettrage de vos encaissements clients Fanny GRAVIER : DIMO Software DÉJEUNER À L’HOTEL RESTAURANT VAL VIGNES À PARTIR DE 12H30 14H30 : ANIMATION : CARVING GOURMAND D’ETÉ (ENVIRON 1H30) Préparation de sculptures sur fruits et légumes en équipe sur les conseils d’un sculpteur professionnel. Dégustation de boisson détox et fruits sculptés. INSCRIPTION

Les 6 questions à se poser avant de produire et d’envoyer sa liasse fiscale

Le stress et l’appréhension se font souvent ressentir avant d’envoyer ses déclarations à l’administration fiscale. Pour limiter ces effets négatifs, il est important de préparer au mieux l’ensemble des éléments de sa liasse. Quels sont donc les bons réflexes à adopter avant de produire et de télétransmettre sa liasse fiscale ? 1. Ai-je vérifié que  mes documents et mon logiciel sont à jour ?   D’une année à l’autre, les formulaires d’une liasse fiscale sont susceptibles d’évoluer. Il est nécessaire de vérifier que l’on produit ses états fiscaux dans le bon millésime. Votre solution de déclarations fiscales doit ainsi être mise à jour selon les évolutions du millésime pour vous permettre de produire des états fiscaux justes et actualisés. Vous pouvez vérifier ces informations en ouvrant une liasse et en identifiant très simplement son millésime en haut à droite du document. 2.  Ai-je pensé à référencer toutes les sociétés déclarantes ? Lors d’un changement de SIRET ou de l’ajout d’une ou plusieurs sociétés déclarantes, il est nécessaire d’en informer votre partenaire EDI. Celui-ci mettra à jour le périmètre des sociétés déclarantes pour permettre la télétransmission de vos liasses fiscales. 3.  Ai-je créé tous mes exercices comptables ? Un exercice comptable doit forcément être créé pour chacune de vos sociétés déclarantes. Si vous produisez votre liasse fiscale pour un grand nombre de sociétés, vous avez la possibilité de créer des exercices en multi-sociétés. Cette opération peut aisément être réalisée, par exemple, dans l’outil Invoke Exploreur, sur la base d’une société modèle. 4.  Ai-je pensé à utiliser le même format d’import de ma balance que celui utilisé l’année précédente ? Lorsque vous importez des données qui proviennent de votre logiciel de comptabilité, il est nécessaire de définir un format d’import adapté à votre outil de déclarations fiscales. Si pour l’exercice 2017, vous aviez importé une balance présentée sous la forme : Libellé du compte / Compte / Débit / Crédit, il vous faudra veiller à utiliser cette même présentation pour l’année 2018. Une modification du format d’Import est toujours possible. 5.  Ai-je bien créé ma signature électronique, nécessaire à la télétransmission de la liasse fiscale ? Pour télétransmettre vos états fiscaux en toute sécurité, il est nécessaire de créer votre signature électronique qui validera l’échange de données entre votre solution de déclarations fiscales et la DGFiP.  Cette signature, qui peut être générée en quelques minutes, doit impérativement être valide pour l’envoi de votre liasse fiscale. 6.  Ai-je pensé à vérifier la date limite de dépôt de ma liasse fiscale ? Pour la campagne fiscale 2019, la date limite de dépôt des liasses fiscales est fixée au 3 mai. Il est important de noter cependant que, depuis la campagne fiscale 2017, la DGFiP octroie un délai supplémentaire de 15 jours à toutes les entreprises qui effectuent leur déclaration par voie électronique. Question bonus : à quoi correspond la déclaration 2069-RCI, déclaration qui suscite des interrogations tous les ans ? Vous êtes nombreux à nous poser cette question en période fiscale ! Cette déclaration est une annexe libre pour les crédits d’impôts. Elle peut être ajoutée si besoin à votre liasse fiscale. Vous vous lancez dans la production ou l’envoi de votre liasse fiscale et vous avez d’autres questions à nous adresser ? N’hésitez pas à nous contacter ! Source : Invoke

Baromètre des risques Allianz 2019 : la France inquiète sur la cybersécurité

Grande révolution de ce début de troisième millénaire, le numérique est encore davantage entré dans une nouvelle ère ces dernières années. Si ses avancées sont en constante progression, le numérique est également rattrapé par son succès concernant sa protection. Un élément qui se vérifie en ce début d’année, plus particulièrement en France. Le verdict du baromètre AGCS des risques pour 2019 est sans appel. Pour la première fois en huit éditions, les incidents cyber sont désormais le principal risque du baromètre Allianz Global Corporate & Speciality SE dans l’Hexagone. Une « gravité croissante des incidents cyber » Sur le plan national, la France est d’ailleurs le seul pays majeur à faire de la cybersécurité sa principale cause pour cette année 2019. Pour 41% des sondés, les incidents cyber arrivent ainsi en tête de liste devant les interruptions d’activités (40%), en baisse de sept points par rapport au baromètre 2018. Les incendies (29%), les catastrophes naturelles (28%) et les évolutions parlementaires et législatives (28%) complètent ce TOP 5 du baromètre des risques 2019 pour la France. CEO d’AGCS France, Corinne Cipière apporte une explication à ces sources d’inquiétudes liées à la cybersécurité. « Les entreprises françaises sont de plus en plus préoccupées par la fréquence et la gravité croissante des incidents cyber, les plaçant ainsi pour la première fois en tête du classement des risques en France », confie ainsi l’intéressée au moment d’évoquer ce baromètre 2019.   La cybersécurité au second plan aux Etats-Unis  Dans les autres pays de premiers rangs de ce baromètre, les Etats-Unis, l’Allemagne ou encore la Chine placent pour leur part les interruptions d’activités en tête de leurs préoccupations. Les incidents cyber apparaissent à la deuxième place de ce classement chez les Américains et les Allemands. La Chine ne place quant à elle pas la cybersécurité sur le podium de ses préoccupations. A noter enfin que sur les plans européen et mondial de ce baromètre des risques 2019, lesincidents cyber – en constante progression ces dernières années – arrivent en tête avec respectivement 38% et 37% des voix.     Source : faceaurisque.com

Cybersécurité : une société sur trois a subi une fraude en 2017

cybersecurite

« La cybersécurité n’est pas seulement l’affaire des grands groupes. On parle de 6 milliards d’euros d’impact pour les entreprises françaises en 2017 », pointe Delphine Gény-Stephann, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances pour le lancement ce lundi 1er octobre du « Mois européen de la cybersécurité » auprès des agents publics, des entreprises et des particuliers. Prendre conscience du risque numérique et cyber   À cette occasion et pour la seconde année, une campagne de sensibilisation au risque cybernétique est lancée par le Haut fonctionnaire de défense et de sécurité des ministères économiques et financiers. Cette campagne présente des mesures simples pour protéger les échanges et les systèmes informatiques du grand public, des entreprises et des administrations. Il s’agit de sécuriser les navigateurs et les messageries par des pratiques simples à partir de technologies existantes et de mettre à disposition des sous-traitants et des acteurs de la sécurité informatique un ensemble de clauses qui figureront désormais dans les marchés informatiques, publics et privés. « Le numérique est partout et transforme la société, souligne Mounir Mahjoubi, secrétaire d’État chargé du numérique. La confiance en ligne des internautes est fondamentale. Les entreprises comme les particuliers doivent prendre conscience qu’il est important de protéger leurs données. Le risque est que les citoyens et les sociétés s’éloignent de l’espace numérique alors que nos TPE-PME sont déjà très en retard dans la digitalisation. » Si le risque cyber devient un risque comme les autres pour les entreprises, notamment celles du CAC 40, le gouvernement souhaite évangéliser auprès des TPE-PME en préconisant trois actions concrètes : la sauvegarde des données, les mises à jour régulières de leur système d’exploitation et l’installation d’un antivirus. « Il est fondamental que les entreprises mettent en place ces principes, la perte de l’intégralité de leurs données est un enjeu crucial », précise le secrétaire d’État du numérique. Et depuis ce lundi 1er octobre, le ministère des Finances propose un site internet expérimental pour sécuriser les e-mails, le portail vérifie en effet les adresses suspectes des messages adressés aux internautes : https://ssi.economie.gouv.fr/ Il suffit pour cela de saisir le nom de domaine et de cliquer sur « analyser ». Le site analyse alors la qualité de la sécurisation en notant de A à E. Source : ecommercemag

CLUB U – SAGE XRT ADVANCED

CLUB UTILISATEURS SOLUTION SAGE XRT Le mardi 20 novembre à partir de 14h00 au Château de l’Ile à STRASBOURG Déroulement de la présentation Évolutions et nouveautés de l’APPLICATION Trésorerie Communication Bancaire Paiements Présentation du produit Focus sur les fonctionnalités innovantes Échanges Questions & Réponses Utilisateurs et futurs utilisateurs, soyez prêts à poser vos questions sur notre produit (utilisation au quotidien, fonctionnalités techniques et nouveautés), nous serons là pour y répondre. Inscription

Les clés pour protéger l’ERP et les bases de données de la fraude

La cybersécurité est devenue un défi pour toutes les plateformes, mais elle passe en premier par l’association de vos collaborateurs et de vos outils, les premiers doivent être sensibilisés et intégrés au processus de protection : comment protéger l’ERP de la fraude ? Les clés de prévention du risque, un bon Système d’Information ? Quasiment toutes les entreprises du tissu économique sont victimes d’attaques, 20% d’entre elles se soldent par des fraudes effectives, identifiées et chiffrables. L’entreprise perd alors de l’argent, des données et, souvent les deux en même temps. Le Système d’Information percé, ce que votre entreprise perd d’inestimable finalement, c’est le fruit de son travail et les informations qui la démarquent de ses concurrents. Pourtant ce sont bien vos SI qui devraient être garants de cette richesse… mais ils ne sont pas les seuls responsables. Les clés résident en 3 grands axes de réflexion pour prévenir les risques de fraudes et de cyberattaques : 1- La mise en place des dispositifs habituels de mise à jour applicatives, les firewalls et les antivirus 2- La mise en place de sauvegardes applicatives. Un complément insuffisant car c’est la multiplicité des solutions qui assure une efficacité maximum. 3- La combinaison de solutions techniques, humaines et, la mise en place de processus efficaces, en rapport avec votre métier. Ce sont ces 3 clés mises en place de manière conjointes et synchronisées qui feront le succès de votre stratégie de protection. Effectivement, quel que soit le ou les systèmes de gestion d’entreprise pour lesquels vous avez opté, ERP, logiciel spécifique ou solution de gestion modulaire, le SI est le socle qui conditionne les scénarios possibles et envisageables. Il doit prendre en compte les problématiques de gestion, les fonctionnalités métier et la sécurité afin d’en améliorer les performances, ainsi il permet de donner la souplesse attendue aux utilisateurs, tout en prévenant théoriquement les risques. Mais seul il ne peut pas tout faire. Les équipes de Mata construisent un espace sécurisé entre vos solutions de gestion et vos banques. Elles déploient une solution modulable qui sécurise et automatise le traitement de vos flux. Base de données unique, exclusive et cryptée, signature électronique…, leur mise en place renforce votre sécurité et autorise l’organisation d’un workflow identifié, automatisé à 100% avec des règles strictes. Cela couvre les failles éventuelles de votre solution de gestion et permet d’unifier le traitement des flux notamment vers l’étranger. L’humain viendrait ensuite en appui à ces solutions techniques ? Un second workflow ?   Selon le niveau de maturité de votre entreprise et la stabilité du workflow principal déjà en place ou en cours de mise en place, il faut envisager de compléter votre stratégie. La dématérialisation des flux et leur traitement automatisé, crypté, contrôlé, permet d’accélérer leur traitement et de limiter les erreurs. Quant aux fraudes elles peuvent être prises en charge dans les processus de contrôle inclus dans les applicatifs. Mais ces processus de contrôle sont souvent partiels et il peut s’avérer nécessaire de combiner plusieurs solutions de prévention des risques. Elles vont varier selon le volume des flux à traiter et les processus métiers, mais sont à envisager dans tous les modèles opérationnels d’entreprises. L’avantage d’un second workflow de validation, c’est qu’il vient se positionner derrière toutes les applications qui génèrent des règlements, et non pas que dans l’ERP. Il permet également de prévoir des valideurs autres que ceux autorisés dans l’ERP, car il est bien connu que plusieurs cerveaux valent mieux qu’un. Et puis, il faut se souvenir que l’ERP le mieux sécurisé du monde finit par produire un fichier de paiement en clair qui sera déposé sur un répertoire du réseau de l’entreprise, et ceci constitue une grosse faille de sécurité ! Parce que la lutte contre la fraude ne se cantonne pas à une application, elle doit être multi-applications et multi-métiers ! Pour optimiser vos workflows de prévention des risques, notre spécialiste est disponible ici

PROTOCOLE TLS

L’agence nationale pour la sécurité des systèmes d’information, l’ANSSI, publie un message d’alerte sur le protocole TLS et fait ses recommandations de sécurité : Le protocole TLS est une des solutions les plus populaires en matière de protection des flux réseau. Dans ce modèle client–serveur, les données sont encapsulées de manière à assurer la confidentialité et l’intégrité des échanges. Le serveur est obligatoirement authentifié et des fonctions additionnelles permettent l’authentification du client. Depuis 1995, le protocole TLS a été adopté par de nombreux acteurs de l’Internet pour sécuriser le trafic lié aux sites web et à la messagerie électronique. Pour ces raisons, le protocole et ses implémentations font l’objet d’un travail de recherche important qui a permis de révéler des vulnérabilités. Ces failles ont motivé le développement de corrections et de contre-mesures pour préserver l’intégrité des échanges. L’utilisation de logiciels mis à jour et l’ajustement des paramètres en fonction du contexte autorisent des déploiements TLS sûrs. Les explications apportées par le présent guide sont complétées par plusieurs recommandations visant à atteindre un niveau de sécurité conforme à l’état de l’art, notamment au sujet des suites cryptographiques à retenir. Source ANSSI : Recommandations de sécurité relatives à TLS  

RAPPORT TRACFIN :

L’unité de lutte contre la fraude, TRACFIN, RÉVÈLE dans son rapport les dernières tendances aux FRAUDES financières.  Parmi les dernières innovations dont vous pourriez vous-même être victime : la fraude au Prélèvements bancaires (SEPA) De nouvelles formes d’arnaques ont pointé leur nez, en 2016, selon le rapport publié mardi 12 décembre 17 par Tracfin , la cellule anti-blanchiment d’argent de Bercy. Certificats d’économie d’énergie, prélèvements bancaires, investissements dans les diamants… Prélèvements bancaires : les fraudeurs exploitent les failles de la réglementation européenne Depuis 2014, la norme SEPA a permis d’instaurer un standard, en ce qui concerne les paiements en euros. Mais celle-ci contient une faiblesse dans laquelle les escrocs n’ont pas manqué d’en profiter. Dans le cas de la mise en place d’un prélèvement, la banque ne vérifie plus si le client a donné son autorisation : “La banque du débiteur qui réceptionne la demande de prélèvement, présume de l’existence d’un mandat et débite son client”, explique Tracfin. De ce fait, les escrocs en profitent pour émettre une “vague de prélèvements transfrontaliers, pour ensuite virer les fonds vers d’autres comptes tiers avant de disparaître”. Autre méthode de détournement : certains fraudeurs tirent parti du remboursement automatique, qui peut s’effectuer jusqu’à 8 semaines après l’émission du débit, en cas de contestation auprès de la banque. Par exemple, Ils paient des prestations de services via des prélèvements SEPA, et demandent un remboursement de ses services réellement consommés… Source : Article Capital.fr « Escroqueries Financières : Les nouvelles failles exploitées par les fraudeurs »  Comme rapporté dans l’article ci-dessus, le rapport TRACFIN dénonce les nouvelles tendances à l’escroquerie financière et notamment la fraude au prélèvement SEPA. Aujourd’hui pour vous prélever, il suffit de connaître votre compte bancaire, car la banque n’a aucun moyen de faire un contrôle sur une autorisation de prélèvement qu’elle ne détient pas. Elle va pouvoir opérer un contrôle sur la forme, mais pas sur le fond. Pour vous protéger de la fraude au prélèvement, MATA I/O CONTRÔLE avec : Le rapprochement direct de la liste blanche des prélèvements autorisés avec les prélèvements annoncés par vos banques. Une alerte automatique en cas de prélèvement non autorisé. La garantie de la bonne exécution de vos ordres bancaires, par la lecture des comptes rendus bancaires PSR et ARA. MATA I/O Contrôle fonctionne de manière complètement automatique, sous forme de service. Il transmet les alertes aux responsables lors de la détection d’un prélèvement ne figurant pas sur la liste blanche. Pour en savoir plus sur notre solution , assistez à nos prochaines web démonstrations : 25 janvier 2018 à 15h00 et 22 février 2018 à 15h00.    

Sécurisation des flux financiers

Entretien avec Marie-Thérèse BROGLY et Pascal HERRMANN dans le magazine de l’AFTE : La lettre du Trésorier – édition Nov. 2017 La société MATA a été créée en 1999 pour devenir intégrateur de solutions de trésorerie et de communication bancaire. Il y a 4 ans de cela, l’entreprise est devenue éditeur spécialisé dans la sécurisation des flux. Avec 14 collaborateurs agiles, 300 clients qui ont des idées, quatre partenaires experts, MATA est devenu un acteur incontournable, avec une vraie vision sur le marché avec la solution Mata I/O Bank Suite.    Nous travaillons pour nos clients sur des indicateurs de sécurité supplémentaires : liste blanche (ou noire) de pays, avertissement sur montant, alerte sur nombre de règlements pour un même tiers sur une période… Marie-Thérèse BROGLY