Internalisation de la liasse fiscale : une option à considérer

liasse fiscale

La liasse fiscale, un ensemble de déclarations de résultat nécessaires pour déterminer l’impôt à payer par une entreprise, est un élément crucial de la comptabilité d’une entreprise. Souvent, les entreprises se tournent vers des experts-comptables pour gérer ce processus complexe. Cependant, de plus en plus d’entreprises envisagent l’internalisation de leur liasse, c’est-à-dire la gestion de ce processus en interne.   Qu’est-ce qu’une Liasse Fiscale ? Avant d’entrer dans les détails de l’internalisation, il est essentiel de comprendre ce qu’est exactement une liasse fiscale. Une liasse fiscale est un ensemble de déclarations et de documents nécessaires pour établir le résultat imposable d’une entreprise et calculer l’impôt à payer. Elle doit être transmise au service des impôts par voie dématérialisée. En plus d’être une obligation fiscale, la liasse va aussi servir de référence pour évaluer la santé financière de l’entreprise vis-à-vis de ses parties prenantes. Pourquoi externaliser sa liasse ? Il est courant que les entreprises externalisent la production de leur liasse fiscale, en la confiant à un expert-comptable. Cette décision est souvent prise lorsque les obligations comptables deviennent trop lourdes à gérer en interne, ou lorsque l’entreprise ne dispose pas des compétences ou des ressources nécessaires pour effectuer cette tâche. Cependant, il est possible de réaliser cette opération en interne, à condition de disposer d’un logiciel adéquat pour établir les bilans annuels ou intermédiaires en fonction des besoins. Avantages d’un logiciel de liasse fiscale interne Un logiciel de liasse fiscale que vous utilisez en interne présente de nombreux avantages. Il vous permet de faire vos déclarations sans attendre le cabinet comptable, ce qui vous fait économiser du temps et de l’argent. Vos équipes internes connaissent mieux votre comptabilité et les particularités de votre entreprise, ce qui les rend plus réactives en cas de changements de dernière minute. Grâce à des contrôles avancés, un logiciel de liasse réduit les risques d’erreur et offre une traçabilité pour assurer la qualité des déclarations, de la saisie à l’archivage. Points clés à considérer Avant de décider d’internaliser votre liasse, plusieurs points cruciaux doivent être pris en compte. Tout d’abord, il est essentiel de disposer d’outils à jour pour suivre les évolutions des formulaires fiscaux, qui peuvent changer d’une année à l’autre. Les solutions en ligne sont mises à jour automatiquement, offrant ainsi un avantage significatif. De plus, il est nécessaire de mettre à jour les informations relatives aux sociétés déclarantes, notamment en cas de rachats, de cessions ou de modifications d’activité. La télétransmission de la liasse fiscale étant obligatoire, il faut également mettre en place une signature électronique pour valider l’échange de données avec l’administration. Les fichiers sont ensuite hébergés via un portail déclaratif dédié et chaque échange est crypté par une procédure unique. Choisir la bonne solution Enfin, choisir le bon logiciel de liasse fiscale est crucial, car il est souvent difficile de s’y retrouver parmi toutes les déclarations auxquelles les entreprises sont soumises (TVA, IFU, CVAE, etc.) et leurs échéances diffèrent. Une solution web comme ULOA proposée par MATA, offrant un périmètre fonctionnel complet et un support de qualité, va grandement simplifier la production des bilans en fournissant des alertes sur les dates limites des obligations fiscales. En conclusion, l’internalisation de la liasse fiscale est une option viable pour de nombreuses entreprises, à condition de prendre en compte les points clés vus ci-dessus et de choisir les bons outils pour réussir ce projet.   Pour en savoir plus sur la liasse fiscale à internaliser, contacter le 0806110020.    

Condamnation des arnaqueurs de centre d’appels pour fraude aux virements bancaires

fraude aux virements bancaires

Une opération d’escroquerie élaborée, menée depuis un centre d’appels en Israël, a conduit à la condamnation de ses principaux acteurs. Cette fraude, qui a trompé environ trente entreprises, impliquait un système sophistiqué où les appels semblaient provenir de fournisseurs légitimes.   Les quatre cerveaux de cette escroquerie, basés en Israël, ont reçu des peines de prison allant de quatre à six ans. Alain Lasserie et Stéphane Benhamou, les principaux instigateurs, ont été condamnés respectivement à six et cinq ans de prison, assortis d’une amende de 300 000 euros chacun et de mandats d’arrêt. Emmanuel Fitoussi, qui comparaissait via visioconférence depuis la prison de la Santé à Paris, a été condamné à quatre ans de prison et 70 000 euros d’amende. Wilfried El Baze a également écopé de quatre ans de prison et d’une amende de 100 000 euros. L’arnaque, datant de 2015-2016, était orchestrée depuis un centre d’appels à Netanya, en Israël, et impliquait des sociétés fictives, principalement en Espagne, pour le détournement des fonds. Sur les 34 cas d’escroquerie identifiés, seules 17 entreprises victimes se sont portées parties civiles. Les escrocs procédaient en contactant d’abord les fournisseurs sous de fausses identités pour obtenir les montants des factures dues, puis en se faisant passer pour les clients pour détourner les paiements. Les 11 autres accusés dans cette affaire ont reçu des peines variant de 10 mois de prison avec sursis à un an de prison ferme, accompagnées d’amendes allant de 5 000 à 12 000 euros. Parmi les victimes de cette escroquerie, on trouve des entreprises de divers secteurs, y compris des blanchisseries, des abattoirs et des hôtels. Un syndic marseillais a même été dupé, payant plus de 100 000 euros en 14 factures à une entreprise de nettoyage suite à cette arnaque aux faux RIB.   Pour en savoir plus sur les risques de fraude, contacter le 0806110020.    

Un message de Nouvelle Année de MATA : Sécuriser 2024 avec nos vœux en vidéo

Chers partenaires, clients et amis de MATA, En tant que spécialistes dédiés à la sécurisation des flux financiers depuis 1999, nous chez MATA comprenons l’importance de construire un avenir sûr et prospère. Alors que nous accueillons 2024, nous souhaitons partager cette vidéo avec vous pour vous présenter nos vœux de manière unique et personnelle. Nous vous remercions pour votre confiance et votre fidélité, qui sont les fondements de notre réussite et de notre croissance. Ensemble, faisons de 2024 une année de sécurité, d’innovation et de succès partagés. Avec toute notre gratitude, Toute l’équipe MATA          

Optimisation du BFR et gestion de trésorerie

Gestion de trésorerie – Dans le climat économique actuel, marqué par la fin des aides gouvernementales et le début des remboursements des Prêts Garantis par l’État (PGE), de nombreuses entreprises font face à un risque accru de défaillance. Face à ces défis, ainsi qu’à l’inflation et à la hausse des taux d’intérêt, les entreprises cherchent des moyens d’optimiser et de financer leur Besoin en Fonds de Roulement (BFR).   L’augmentation des coûts et les difficultés d’approvisionnement exacerbent le besoin de fonds de roulement. Frédéric Piolti de June Partners souligne la complexité accrue pour les entreprises de renégocier leurs crédits ou de trouver de nouvelles sources de financement dans ce contexte. Cependant, des stratégies existent pour améliorer et financer le BFR. Optimisation du BFR : Stratégies d’optimisation du BFR Selon Frédéric Piolti, une approche efficace consiste à adopter une culture de gestion rigoureuse de la trésorerie, réduire le BFR, négocier de meilleures conditions de paiement avec les clients, minimiser les stocks et sécuriser les approvisionnements. Sophie Susterac de Factofrance met l’accent sur l’importance d’une gestion efficace des comptes clients, tandis que Pierre Pelouzet, médiateur national des entreprises, insiste sur le suivi rigoureux des factures et des paiements. Financement du poste client par l’affacturage : Pour mémoire, l’affacturage est un moyen de financement permettant d’obtenir rapidement une avance de trésorerie par la cession de factures en attente de règlement, ce que l’on définit par « créances clients ». L’affacturage offre également un service de gestion des encaissements : relance et recouvrement de créances non réglées et se présente comme une solution majeure pour le financement à court terme. Sophie Susterac note que ses clients en croissance utilisent massivement l’affacturage pour financer leur BFR qui augmente. Ce mode de financement, basé sur la cession de créances clients, n’augmente pas le taux d’endettement des entreprises. Gestion des variations de taux d’intérêt : Pour limiter l’impact des fluctuations des taux d’intérêt, les entreprises peuvent utiliser des caps pour bloquer les taux d’intérêt ou des swaps pour passer d’un taux variable à un taux fixe. Ce sont des outils très efficaces pour se protéger contre la hausse des taux. Exploitation des aides de l’État : Les entreprises peuvent également bénéficier de dispositifs d’aide de l’État, comme les obligations Relance, destinées à renforcer les bilans des PME et ETI. D’autres sources de financement incluent des financeurs non traditionnels et la BPI, en particulier pour les entreprises travaillant avec des clients du secteur public. Évolution de la construction des prévisions de trésorerie : Les crises récentes et les variations de taux ont poussé les trésoriers à modifier leur approche de prévision de trésorerie. La tendance est à la progicialisation des processus de prévision de trésorerie pour améliorer la productivité et la qualité des données. La facturation électronique et l’e-reporting sont des outils prometteurs pour affiner les prévisions de trésorerie. En résumé, face aux défis financiers actuels, les entreprises doivent adopter des stratégies d’optimisation du BFR, explorer diverses options de financement, et utiliser des outils technologiques avancés pour une gestion de trésorerie plus précise et efficace.   Pour en savoir plus sur les risques de fraude, contacter le 0806110020.    

Produire sa liasse fiscale en Saas

liasse fiscale

L’utilisation d’un logiciel en tant que service (SaaS) pour produire sa liasse fiscale présente plusieurs avantages. Les logiciels en SaaS sont généralement accessibles via un navigateur web, ce qui signifie que vous pouvez y accéder depuis n ‘importe quel appareil disposant d’une connexion Internet. Cela offre une grande souplesse et facilite le travail à distance. De plus, les logiciels en SaaS sont généralement conçus avec une interface conviviale et une prise en main rapide, ce qui réduit les besoins de formation.     Les logiciels en SaaS sont également conçus pour être hautement évolutifs, ce qui signifie qu’ils peuvent rapidement s’adapter à vos besoins croissants en termes d’utilisateurs, de capacité de stockage ou de trafic. Automatiser ses déclarations fiscales grâce au Saas : Le Saas est tout particulièrement adapté aux déclarations fiscales. Pour mémoire, la liasse fiscale est un élément incontournable dans la vie des entreprises.  Cette liasse est composée du bilan, du compte de résultat et des annexes comptables de l’entreprise. Ces documents, également connus sous le nom de formulaires Cerfa, sont utilisés pour communiquer sur la santé financière de l’entreprise et sont exploitables par tous ses partenaires financiers. Parfois, la production de la liasse fiscale est confiée à un expert-comptable. Il est pourtant possible de la réaliser en interne à condition de disposer d’un progiciel capable d’établir un bilan annuel, voire intermédiaire selon les besoins. Les solutions SaaS, accessibles et sécurisées, automatisent et facilitent la production de ces déclarations. Les points de vigilance à considérer pour réussir son projet : Avant de se lancer dans cette démarche, il est cependant important de prendre en compte plusieurs points clés. Tout d’abord, il est essentiel de disposer d’outils à jour. Les formulaires constituant la liasse fiscale peuvent évoluer d’une année à l’autre, il est donc nécessaire de s’assurer qu’ils sont à jour. Or, les solutions en ligne mettent automatiquement à jour ces formulaires et informent en temps réel des évolutions réglementaires dans ce domaine, ce qui constitue un avantage non négligeable Ensuite, il est important de référencer toutes les sociétés déclarantes. Au cours d’un exercice fiscal, plusieurs événements peuvent survenir tels que des rachats ou des cessions de sociétés, des modifications d’activité ou des changements de numéro Siret. Ces éléments doivent être signalés à l’éditeur (et partenaire EDI) pour garantir que la déclaration et la télétransmission des liasses fiscales soient correctes. Il ne faut pas oublier de prendre en compte tous les exercices comptables. Chaque société déclarante génère un exercice comptable. Si la liasse fiscale est produite pour plusieurs entreprises, il est essentiel de choisir une solution qui permette de gérer les données en multi-sociétés et en multi-utilisateurs afin de faciliter le travail de tous les collaborateurs. La télétransmission de la liasse fiscale est obligatoire, c’est pourquoi il est nécessaire de créer une signature électronique pour sécuriser cette opération. La signature électronique est utilisée pour valider l’échange de données avec l’administration. Les fichiers sont ensuite hébergés via un portail déclaratif dédié et chaque échange est crypté par une procédure unique. Choisir la bonne solution pour produire sa liasse fiscale : Il est souvent difficile de s’y retrouver parmi toutes les déclarations auxquelles les entreprises sont soumises (TVA, IFU, CVAE, etc.) car leurs dates diffèrent. C’est pourquoi le choix d’un progiciel de liasse fiscale et la qualité de l’accompagnement proposé par l’intégrateur sont déterminants. Pour faciliter et sécuriser la production des bilans, la solution Web ULOA proposée par MATA offre un périmètre fonctionnel complet et une assistance précieuse en gérant les nombreuses échéances réglementaires. Un workflow de suivi et des alertes push sur les dates limites permettent aux sociétés de mieux appréhender leurs obligations fiscales. Grâce à une navigation web optimisée et un service SaaS de qualité et hautement sécurisé, délivré depuis des plateformes d’hébergement localisées en France, produire ses déclarations fiscales n’a jamais été aussi simple ! Pour en savoir plus sur ULOA, contacter le 0806110020.    

En 2022, 57% des entreprises signalent avoir été victimes d’une fraude confirmée.

Depuis la pandémie de Covid-19, les risques de fraude ont augmenté. En effet, 69% des entreprises françaises affirment avoir été confrontées à au moins une tentative de fraude en 2022, et pour 57% d’entre elles, cette tentative a été couronnée de succès. Une enquête menée par l’assureur européen Allianz et la DFCG (association des Directeurs Financiers et de Contrôle de Gestion) met en lumière les répercussions financières de ces fraudes. Les impacts indirects incluent notamment la détérioration de la réputation de l’entreprise, particulièrement préjudiciable pour les sociétés cotées en bourse. Les secteurs les plus ciblés sont les services (61%) et l’industrie (58%), où les fraudes liées aux faux fournisseurs sont fréquentes, représentant 45% des cas. Dans ces escroqueries, le fraudeur se fait passer pour un fournisseur légitime et demande un changement de coordonnées bancaires. Les intrusions dans les systèmes informatiques arrivent en deuxième position (41%), avec pour objectif soit le vol de données soit le blocage des processus pour exiger une rançon. Armelle Raillard-Fau, experte en fraude chez Allianz Trade, note également une augmentation de 63% des tentatives de phishing. Les méthodes d’attaque restent similaires d’une année sur l’autre, avec notamment le phishing, les intrusions dans les systèmes d’information, et les escroqueries dites « au président ». La période estivale, avec les vacances du personnel comptable, est un moment de vulnérabilité accrue. Concernant la taille des entreprises, celles réalisant un chiffre d’affaires supérieur à 100 millions d’euros sont les plus ciblées, avec 91% d’entre elles ayant subi au moins une tentative de fraude en 2022. Les entreprises du secteur des services sont également particulièrement touchées, avec 76% d’entre elles ayant été ciblées. Curieusement, la situation en Ukraine n’apparaît pas comme un facteur majeur d’augmentation des attaques, puisque 86% des entreprises ne notant pas d’augmentation significative. Côté prévention, 71% des entreprises possèdent un plan d’urgence, et 90% ont identifié les risques de fraude. Selon Christian LAVEAU de la DFCG, les mesures prioritaires sont la sensibilisation interne, les audits de sécurité, le renforcement des contrôles internes et la mise en place de plans de continuité d’activité. Il ne faut cependant pas négliger les outils informatiques qui sont indispensables pour rendre les contrôles obligatoires et incontournables. On sait que la sensibilisation des personnels est importante, mais elle ne suffit pas. Il est nécessaire aujourd’hui de sécuriser ses outils informatiques afin de s’obliger à rester dans ses procédures. Plus concrètement, pour lutter contre la fraude, il faut pouvoir détecter en continu et de façon systématique tous les changements de coordonnées bancaires dans ses bases fournisseurs. L’entreprise doit ensuite être en mesure de vérifier les IBAN français et étrangers de ses tiers fournisseurs par interrogation automatique de bases de données interbancaires, mais aussi de contrôler ses fichiers de règlements avant envoi en banque. Car si la sensibilisation des collaborateurs est souvent assurée, l’urgence aujourd’hui pour les entreprises est de se doter d’outils informatiques dédiés à la lutte contre la fraude.   Pour en savoir plus sur les risques de fraude, contacter le 0806110020.    

MATA IO : La solution antifraude pour une trésorerie sécurisée

trésorerie sécurisée

Depuis plus de deux décennies, MATA a été aux côtés de nombreuses entreprises françaises, les guidant dans le choix et la mise en place de leurs solutions de trésorerie sécurisée. Cependant, face à une hausse spectaculaire des fraudes en France et dans le monde, MATA a réalisé que les solutions de trésorerie existantes, hyperspécialisées, ne répondent pas aux besoins de sécurité des entreprises. C’est pourquoi ils ont développé MATA IO, une solution innovante de contrôle des tiers et des virements. Une réponse aux besoins de sécurité des entreprises Conscientes de l’importance d’une visibilité accrue sur leur trésorerie pour prendre des décisions éclairées, les entreprises françaises recherchent également des solutions pour sécuriser leurs paiements. Toutefois, peu d’offres sur le marché répondent à cette double exigence. MATA IO s’est donc donné pour mission de combler ce vide en proposant une solution de gestion de trésorerie efficace, intégrant un système de paiement entièrement sécurisé. Une solution adaptable et modulaire Pour les entreprises qui sont déjà équipées d’une solution de trésorerie satisfaisante mais qui n’offre pas de fonctionnalité antifraude, la solution MATA IO existe aussi dans une version modulaire pour compléter et sécuriser une plate-forme de trésorerie existante. MATA IO a été conçu pour s’intégrer facilement aux systèmes informatiques des entreprises, assurant ainsi une couverture complète du risque de fraude. Quel que soit le logiciel de gestion de trésorerie utilisé, MATA IO s’interface harmonieusement, permettant même, le moment venu, une transition vers un nouvel outil sans remettre en cause le dispositif antifraude. Une automatisation complète pour une sécurité optimale Grâce à son automatisation avancée, MATA IO détecte systématiquement tout ajout ou modification d’IBAN et effectue une vérification des fichiers de règlement avant leur envoi en banque. En s’appuyant sur les meilleures bases de données bancaires et légales, MATA IO assure la validation automatique des IBAN des tiers pour éviter toute tentative de fraude. Une intégration fluide et discrète Lorsque MATA IO est combiné à la solution de trésorerie existante de l’entreprise, il devient une solution antifraude parfaitement intégrée au système informatique. Travaillant en arrière-plan de manière silencieuse, il ne se manifeste qu’en cas d’anomalie potentielle, garantissant ainsi un flux de travail inchangé mais sécurisé. Conclusion MATA IO se positionne comme un partenaire de confiance pour les entreprises cherchant à renforcer la sécurité de leur trésorerie face à la menace croissante de la fraude. Grâce à son approche modulaire et à son intégration fluide, cette solution antifraude offre une protection essentielle tout en préservant l’efficacité des outils de gestion de trésorerie déjà en place. Avec MATA IO, les entreprises peuvent faire face à la fraude en protégeant leur trésorerie et leurs transactions des menaces potentielles. Contactez MATA pour en savoir +    

Virements électroniques frauduleux : une augmentation surprenante en 2022

virements électroniques frauduleux

L’année 2022 a vu une augmentation de 64 % des virements électroniques frauduleux, représentant une perte totale de 313 millions d’euros. Ce chiffre est multiplié par quatre par rapport à 2017. Fraude par virement bancaire : la manipulation par téléphone continue d’être une tactique clé Bien qu’il soit considéré comme l’un des moyens de paiement les plus sûrs, le virement a connu un pic de fraude important en 2022. Selon l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement, publié chaque année par la Banque de France, le nombre de virements frauduleux a augmenté de 64 % en un an., avec un total de 313,1 millions d’euros volés. C’est plus du triple des 78 millions d’euros volés en 2017. Les particuliers et les petites entreprises ont été les premières cibles de ce type de fraude. Pour mener à bien leurs stratagèmes, les criminels ont utilisé diverses tactiques, notamment le phishing pour accéder aux services bancaires en ligne et des techniques de manipulation téléphonique pour persuader les victimes de divulguer des informations sensibles ou d’approuver une transaction. Une majorité des sommes volées, environ 70%, a été obtenues frauduleusement via les interfaces bancaires en ligne des victimes. Les virements bancaires restent le moyen de paiement le plus sûr malgré l’augmentation de la fraude L’une des techniques les plus redoutables est la « fraude au PDG », ciblant spécifiquement les entreprises. Dans cette escroquerie, le fraudeur se fait passer pour un cadre supérieur de l’entreprise ciblée, obligeant un comptable à effectuer des virements vers un nouveau compte. En février 2023, huit personnes ont été arrêtées pour leur implication présumée dans un stratagème massif d’escroquerie au PDG, entraînant une perte de 38,3 millions d’euros. Malgré l’augmentation des cas de fraude, le virement reste le moyen de paiement le plus sûr, souligne François Villeroy De Galhau, le gouverneur de la Banque de France. Le taux de fraude reste faible par rapport au nombre total de virements effectués. Il n’en reste pas moins, que face à cette hausse alarmante, l’Observatoire prévoit d’engager des efforts en septembre 2023 pour identifier de nouvelles mesures et freiner cette tendance. Ces efforts porteront sur les propositions issues de la révision de la directive européenne sur les paiements (DSP3), facilitant un meilleur partage d’informations en matière de fraude entre les banques et les prestataires de paiement. Pour en savoir plus sur le contrôle au prélèvement, contacter le 0806110020.    

Facturation électronique : bientôt obligatoire dans toute l’Europe ?

Fin décembre 2022, la Commission européenne a proposé un projet de directive relatif à la TVA à l’ère du numérique (VIDA pour VAT in the digital age). Il comprend notamment la généralisation de l’obligation de facturation électronique à toute l’Union européenne.   Alors que les entreprises françaises se préparent à l’obligation progressive de la facturation électronique entre entreprises en 2024, la Commission européenne réfléchit de son côté à rendre également obligatoire « l’e-invoicing » à travers toute l’Union européenne. Si cette obligation n’est pour l’instant qu’à l’état de projet (baptisé VIDA pour VAT in the digital age, soit la TVA à l’ère du numérique), elle pourrait bien voir le jour prochainement, étant donné que les Etats membres semblent atteindre le consensus (à part quelques points qui font encore l’objet de frictions). Mais qu’est-ce que cela changerait pour les entreprises européennes ? Facturation électronique imposée pour les flux intracommunautaires Le projet de directive, s’il est adopté, fera évoluer différents éléments relatifs à la facturation électronique. « Dès 2024, les Etats membres pourront imposer la facture électronique sur leur territoire sans demander une dérogation à la Commission européenne, comme c’est le cas aujourd’hui », rapporte Christiaan Van Der Valk, VP stratégie et réglementation chez l’éditeur de logiciel Sovos. Ainsi, la facturation électronique pourrait plus facilement se généraliser à travers toute l’Union européenne. Et ce d’autant plus que ce projet de directive prévoit la suppression de l’obligation d’obtenir l’acceptation du client afin de pouvoir émettre et transmettre une facture électronique. Par ailleurs, dès 2028, la définition-même de la facturation serait modifiée : toute facture s’entendrait comme électronique, sauf dans les Etats membres qui souhaiteraient toujours accepter dans leurs lois des factures papier. « Pour les flux intracommunautaires, la facturation électronique sera imposée, couplée à une obligation de reporting en temps quasi réel », ajoute Christiaan Van Der Valk. Pour les flux domestiques, les Etats membres pourront aussi imposer une obligation de reporting. De quoi favoriser les rentrées d’argent fiscal. La France, cap pour les groupes internationaux Les entreprises françaises sont-elles concernées par ce projet de directive VIDA étant donné qu’elles vont prochainement être soumises à l’obligation de transmettre et recevoir des factures uniquement sous format électronique (mais aussi de transmettre des informations complémentaires à l’administration fiscale) ? Laurent Chetcuti, avocat associé chez KPMG Avocats, constate que les groupes internationaux utilisent la France comme pilote pour étendre la facturation électronique de manière harmonisée dans l’ensemble de leurs filiales. « La grande information que donne VIDA c’est que le modèle de facturation électronique français est aujourd’hui considéré comme le modèle qui est le plus abouti pour les besoins de l’administration fiscale. Il donne un cap aux groupes qui le déploient petit à petit », estime-t-il. Christiaan Van Der Valk met cependant en avant une mesure qu’il s’agirait de prendre en compte dès maintenant : « Dès 2024, si le projet voit le jour, la facture électronique devra consister en un fichier structuré. Les formats hybrides ne seront pas acceptés comme c’est le cas en France ». Fichier structuré Ainsi, même si l’obligation française n’entre pas en contradiction avec la proposition de la Commission européenne, il serait judicieux de se préparer dès maintenant à émettre et recevoir un format de facture électronique qui soit valide également dans l’Union européenne. Pour cela, les factures devraient contenir l’ensemble des mentions fiscales et relatives à la TVA obligatoires et non pas uniquement les seules données à transmettre à l’administration fiscales, comme le prévoit la réglementation françaises. Notons de plus que dès 2028 trois nouvelles mentions obligatoires devraient figurer sur les factures si le projet de directive voit le jour, à savoir l’IBAN du fournisseur, la date d’échéance du paiement et le numéro de la facture initiale en cas d’avoir. Autant répondre aux obligations de la loi française en respectant dès à présent aux obligations européennes qui verront sans doute le jour. Un partenaire certifié PEPPOL Cela doit sans conteste entrer en compte dans le choix de son partenaire. Pour Laurent Chetcuti, c’est le point le plus important de la réforme de la facturation électronique en France : « Il faut un moment de pause et de respiration pour savoir quel partenaire choisir en prenant en compte différents paramètre comme le coût, la mise en place, le spectre couvert, etc ». Il s’agit donc aussi de questionner les partenaires éventuels sur leur connaissance de VIDA et leur conformité aux normes européennes qui seraient exigées si le projet de directive était validé. Il peut notamment être judicieux de s’assurer qu’il est certifié PEPPOL (Pan-European public procurement on-line soit le marché public paneuropéen en ligne) et peut donc utiliser le réseau d’échange de données implanté dans plusieurs pays européens, PEPPOL. Source : DAF MAG  

Comment faire un prévisionnel dans sa gestion de trésorerie ?

gestion de trésorerie

Après des années de taux bas et d’accès au crédit facile, on l’avait un peu oublié, mais la gestion de la trésorerie est cruciale pour toutes les entreprises. Une mauvaise gestion de la trésorerie peut entraîner des problèmes de liquidités, des retards de paiement aux fournisseurs, aux salariés et même mettre en péril la survie de l’entreprise. C’est pourquoi, il est essentiel de faire un prévisionnel de trésorerie. La prévision de trésorerie permet de prévoir les entrées et les sorties d’argent, en prenant en compte les revenus attendus, les dépenses prévues et d’autres facteurs conjoncturels qui peuvent influencer la trésorerie de l’entreprise. Mais, l’établissement d’une prévision de trésorerie efficace nécessite une analyse approfondie des flux de trésorerie passés, des tendances du secteur d’activité et des cycles d’exploitation de l’entreprise. Comment établir un prévisionnel de trésorerie correct de manière simple ? Il va falloir commencer par rassembler les données historiques sur les flux de trésorerie passés et identifier les tendances, puis travailler sur : L’estimation des revenus : Prévoir les revenus futurs en fonction des ventes prévues et des conditions du marché. La projection des dépenses : Identifier et estimer les coûts opérationnels, les salaires, les frais généraux, etc… Mais tenir compte aussi de facteurs externes tels que les taux d’intérêt, les fluctuations des devises, les conditions économiques générales, etc. Et pour finir, réviser régulièrement sa prévision de trésorerie pour tenir compte des changements survenus dans son environnement. Quels sont les outils de gestion de trésorerie proposés aux entreprises ? Toutes les opérations listées ci-dessus sont réalisables dans un tableur, certes, mais au prix de combien de temps ? Pour faciliter l’établissement des prévisions de trésorerie, de nombreux outils et logiciels sont disponibles. Ces outils automatisent le processus et fournissent des fonctionnalités telles que l’intégration avec les systèmes de comptabilité, l’analyse des données historiques ou la génération de rapports. Mais ces outils de budget sont souvent déconnectés de la gestion de trésorerie quotidienne et du fait, obligent l’utilisateur à faire des prévisions moyen/long terme dans un logiciel et à gérer ses relations bancaires dans un autre. Or, il existe des solutions intégrées, des logiciels de trésorerie dimensionnés pour les PME et capables de répondre à ces problématiques. Ces outils incluent les fonctionnalités primordiales, à savoir, le prévisionnel de trésorerie, le contrôle des IBAN payés, le reporting, ainsi que le suivi des financements, des placements et des comptes en devises. L’objectif de ces solutions intégrées consiste à regrouper les volets paiements et gestion de trésorerie dans la même solution. Le but reste d’anticiper sa trésorerie au mieux, mais aussi de gagner du temps et de simplifier les tâches des utilisateurs.   La société MATA IO s’est positionnée sur ce marché avec l’offre MATA IO Secure E Link qui propose un espace unique et sécurisé pour l’ensemble des opérations de trésorerie.  Et répondre ainsi aux besoins de visibilité et d’automatisation devenus indispensables aux PME pour renforcer leur position financière globale dans un contexte économique devenu plus difficile et moins prévisible. Contactez MATA pour en savoir +